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“Une éducation” Chapitre 2 – Hygiène et première fellation

par Histoires de Sissy

Une histoire proposée par Axel Flowy (le chapitre 1 est ici

Tommy émergea du sommeil sans avoir fait de nouveau rêve. Il avait même, bizarrement, un souvenir assez net de ce qui lui était arrivé dans le début de l’après-midi. Il roula hors du lit avec précaution, en essayant de ne pas s’asseoir, il sentait que c’était une position difficile et douloureuse. Il avança péniblement jusqu’à la pièce qu’il avait perçue comme une salle d’eau, ressentant tout l’inconfort de cet objet fiché en lui.

La pièce était grande, carrelée de blanc sol et murs, équipée d’une douche à l’italienne, d’un wc, d’un lavabo et d’un bidet. Une grande fenêtre, alignée sur celle de la chambre, dispensait la lumière. Il regarda à l’extérieur : un parc bordé par une forêt. Il se trouvait manifestement au rez-de-chaussée du bâtiment. Il s’accroupit pour essayer de retirer en l’évacuant, le plug, mais grimaça de douleur. Sans avoir lubrifié son anus, l’opération était délicate. Il se rendit sous la douche, la fit couler et commença à se savonner le corps. Il décrocha la pomme de douche, s’accroupit à nouveau et dirigea le jet entre ses fesses, enduisant de savon son œillet sous la base du plug. Il poussa et, à son grand soulagement, éjecta l’objet. Il fut applaudi par Nelly qui l’observait depuis l’entrée de la salle d’eau.

“Bravo ma chérie. Tu t’en es bien sortie. Et toute seule ! Je sais que la première dilatation n’est pas toujours agréable, mais avec l’habitude, tu t’y feras. Et même, tu en redemanderas”, gloussa-t-elle. Tommy la regarda, bouche bée, soudainement honteux, “mais qu’est-ce tu…”, commença-t-il en couvrant son sexe de ses mains. “Oh, tu fais ta timide”, fit Nelly, “mais qui était bien contente que je m’occupe de son clitty tout à l’heure ? Coquine !”. A ce moment, Tommy sentit ses intestins gronder. Il fallait qu’il aille aux toilettes. Nelly s’aperçut de son trouble : “oh, tu as besoin de popo, c’est logique, j’aurais dû m’en douter. Je te laisse”. Et elle sortit de la pièce, au grand soulagement de Tommy. Elle n’alla pas loin. Dans la chambre où elle attendit. Elle compta jusqu’à cinq après voir entendu tirer la chasse d’eau avant d’aller retrouver Tommy.

Celui-ci, debout contre la fenêtre, regardait à l’extérieur. Elle admira son corps qu’elle voyait de profil, avec à nouveau l’envie de sucer son clitty si petit, si semblable au sien. Bien sûr, sa taille n’avait rien à voir avec celle des bites d’hommes qu’on lui avait mises en bouche pendant l’année écoulée, et qui l’avaient emplie, mais l’impression d’avoir affaire à une sœur en sissyfication rendait cette fellation particulière. Elle se sentait presque “amoureuse” de ce clitty alors que, jusqu’à présent, c’est du respect qu’elle témoignait pour les queues qui avaient déchargé dans sa gorge. Tommy se retourna et la regarda fixement ; elle s’aperçut qu’à évoquer ces souvenirs, son clitty se dressait à demi et que son petit gland rose venait d’apparaître sous sa courte blouse d’infirmière.

-“Mais, tu, tu es un garçon !” S’écria Tommy qui comprenait tout à coup l’étrange dialogue qu’avaient eu, quelques heures plus tôt, Jenny et Nelly au sujet de l’éducation d’une “autre” sissy.
-“Un garçon ?”, se récria Nelly, visiblement choquée. “Bien sûr que non ! Je suis une sissy mais je ne l’ai pas toujours su. C’est grâce à maîtresse Jenny que je l’ai compris. Tout comme toi tu le réaliseras”.
-“Jamais de la vie ! Vous êtes folles toutes les deux ! Et d abord, je vois bien que tu as une bite !
-“Ma pauvre chérie,” fit Nelly comme si elle s’adressait à un enfant, “tu ne comprends pas que c’est un clitty ? Et regarde mes petites boules”, dit-elle en soulevant sa blouse.

Effectivement, les testicules de Nelly ne devaient pas excéder pas la taille de deux noisettes. “D’accord, les tiennes sont un peu plus grosses, mais tu verras qu’avec le traitement, elles aussi vont diminuer. Tu sais, une bite et les testicules d’un homme sont beaucoup plus grosses que nos petites sucettes”.

Le sérieux avec lequel Nelly s’exprimait estomaqua Tommy. Il passa devant elle en la bousculant et ce précipita vers la porte de la chambre. Qu’il trouva fermée. Nelly le suivit. “Allons, soit raisonnable, calme-toi, je ne dirai pas à maîtresse Jenny que tu m’as bousculée. Reviens dans la salle d’eau, il faut donner un bain à ces jolies fesses, maintenant. Et puis tu auras droit à un nouveau lavement. Ta petite chatte doit toujours être parfaitement propre. Imagine que Maîtresse Jenny ou qu’un maître de passage ait besoin de l’utiliser !” Mais Tommy se précipita vers la fenêtre – fermée également – qu’il commença à tambouriner. A ce moment un molosse bondit en aboyant, de l’autre côté de la vitre. De surprise, le garçon recula et tomba entre les bras de Nelly. Elle lui bloqua le poignet qu’elle attacha à un barreau de la tête de lit, grâce à une paire de menottes qu’elle avait sortie de sa poche. Tout cela n’avait duré que quelques secondes.

“Ma petite chérie, je déteste avoir à faire ça”, et en le disant, Nelly semblait sincèrement désolée – presque émue – à un point tel que Tommy s’en voulut presque de faire de la peine à une aussi jolie – fille ? Il s’assit au bord de son lit, soudainement abattu. Nelly composa un code sur son smartphone et se plaça aux côtés du garçon. “Est-ce que tu veux goûter à mon clitty ? Je sais que je n’arrive plus vraiment à bander tout à fait, mais ça pourrait te détendre”, fit-elle en retroussant sa blouse. Dégoûté, Tommy tourna la tête vers le mur. “Tant pis,” dit Nelly, “tu aimerais sans doute un plus gros format, mais je pense que tu pourras l’apprécier quand même, en temps voulu.

Après quelques instants, Jenny fit son entrée dans la chambre.

-“Notre petite Tamina te pose des problèmes, Nelly ?” interrogea-t-elle.
-“En fait, elle est un peu désorientée et en colère”
-“Oui, c’est un premier jour. Elle n’a pas encore compris qu’elle est ici pour son bien, pour être révélée à elle-même. Pauvre chérie”.
-“Mais allez-vous arrêter de me traiter comme une fille ! Je suis un garçon, laissez-moi sortir d’ici !”, hurla Tommy qui se leva en tirant sur son bras menotté.
-“Elle nous fait une crise de nerfs”, soupira Jenny. “Passe-moi la mallette, Nelly. “Et toi vilaine fille,” fit-elle à l’adresse de Tommy, “penche-toi en avant”.
-“Hors de question ! Vous ne me ferez rien, laissez-moi !”
-“Ah oui, tu vas partir d’ici toute nue, sans doute”, répliqua Jenny. Et elle asséna une violente claque sur le fessier du garçon.  De surprise, Tommy bascula en avant sur le lit. “La prochaine fois c’est la badine. Maintenant, tiens-toi tranquille !” Et avant qu’il ait pu réagir, Jenny prit des mains de Nelly la seringue que celle-ci avait extraite de la mallette et en injecta e contenu dans la fesse gauche de Tommy. “C’est un peu comme la gélule de cet après-midi,  sauf que tu ne vas pas dormir. Tu seras simplement plus sage, plus tranquille.” Puis elle demanda à Nelly: “où en étiez-vous ? ”
-“Je me préparais à lui laver les fesses avant son lavement”.
-“Bien, vas donc remplir le bidet, ma chérie.  Eau tiède, bien sûr”
-“Tout de suite, maîtresse”.
“Cette ravissante poupée est une vraie réussite” songea Jenny, “il est presque dommage que je doive la rendre à sa propriétaire… Je devrais former une sissy pour mon propre usage dans les mois à venir… Mais bon, dans un premier temps, il s’agit de domestiquer cette petite chose”.

Et elle tapota le derrière de Tommy.

Lorsque Nelly fut de retour, elle détacha le garçon. “Maintenant tu vas gentiment te rendre à la salle d’eau, n’est-ce pas, Tamina”, dit-elle. Dans la tête Tommy, tout se bousculait, mais sa révolte se heurtait à un sentiment extraordinaire de bien-être. Il flottait, et n’eut aucun mal à se laisser conduire par Nelly. Elle le fit asseoir dans le bidet et l’eau chaude fut un baume pour ses fesses rougies. Se plaçant derrière lui, Nelly, munie d’un gant de toilette, commença à le savonner, lui écartant les fesses pour atteindre son petit trou. “J’adore ta chatte mon chou, tu sens comme elle s’ouvre bien ? Attention, surprise, j’entre mon pouce à l’intérieur !”

Dans l’embrasure de la porte, Jenny observait la scène en souriant. L’enthousiasme de Nelly, sa manière de s’adresser à Tommy comme s’il était un enfant, la faiblesse de ce dernier, ses gémissements, étaient pour elle une source d’amusement. Elle fit un signe à Nelly, qui aida le garçon à se relever à demi. “Debout, ma grande, mais penche la tête, montre-nous ton joli cul, il faut le sécher, maintenant. Voilà, présente bien ta raie, comme une jeune fille obéissante.” Tout en parlant, Nelly avait vidé le bidet. Elle essuya soigneusement le garçon à l’aide d’une serviette de toilette et prit la poire à lavement que Jenny lui tendait. “Mets, toi à quatre pattes, mon chou. Je vais t’aider si tu te sens trop faible” lui dit-elle.

Malgré sa volonté de résistance, Tommy ne pouvait s’empêcher de trouver agréable la voix de Nelly et les soins qu’elle lui prodiguait. Il se sentait dans une bulle, voguant sans défense au gré des ordres et des compliments de la jolie sissy. Sa conscience lui disait que cet état auquel il s’abandonnait était lié au produit que Jenny lui avait injecté, mais il ne pouvait lutter. Lorsque la canule pénétra son intimité, il s’entendit gémir faiblement. “Essaie de garder le produit au maximum, ma chérie”, lui dit Jenny. Tommy tourna la tête vers la maîtresse de Nelly. Elle pouvait avoir le même âge que sa tante Emelyne, “entre trente-cinq et trente-huit ans”, estima-t-il, et était aussi blonde, d’un blond doré, que Nelly était brune.

Le bien-être dans lequel baignait Tommy – était-ce lié au liquide tiède et crémeux qui se répandait dans son ventre ? – lui fit se demander avec euphorie pourquoi il n’avait pas adoré Jenny dès la première fois où il l’avait vue. Plus grande que lui d’une demi-tête, elle possédait une taille fine mais des rondeurs très agréables à l’œil. Des fesses qu’on devinait voluptueuses, et une poitrine proéminente. Ses lèvres étaient charnues, maquillées d’un corail vif, et elle portait une robe moulante de la même teinte corail, très courte, qui mettait ses formes en valeur. Il avait envie de lui être agréable, de lui plaire, de lui obéir et se concentra, autant qu’il le pouvait dans son état, pour conserver en lui le liquide que Nelly lui avait injecté. Jenny le regardait avec amusement, consciente des efforts que faisait sa nouvelle sissy. Sous son examen, Tommy se mit à bander.

Il en fut aussitôt récompensé par Nelly dont la main libre (l’autre pressait toujours la poire à lavement dont l’embout était fiché en lui) massa ses testicules avant de s’emparer de sa queue. “Tu peux retirer la canule, Nelly, notre petite vicieuse est bien remplie. Je vais prendre le relais avec son clitty. Pendant ce temps-là donne-lui le tien à sucer, pour l’occuper”. Et tandis que Jenny prenait le sexe de Tommy pour le branler avec plus de vigueur, Nelly se déplaça et, à genoux, offrit sa demi-érection à la bouche du garçon. Ce moment était toujours un pari pour Jenny, Tommy, dans l’état d’esprit belliqueux qui était encore le sien quelques minutes auparavant, allait-il accepter d’accorder à Nelly cette fellation ?

Elle compta sur l’effet des opiacés dont il était le jouet et, pour l’encourager, lui donna une tape sur les fesses. Le garçon ouvrit la bouche et Nelly en profita pour y introduire son sexe. “Suce-moi bien, ma chérie”, lui dit-elle en prenant sa tête entre ses mains. Tommy, sous l’effet de la masturbation opérée par Jenny, ne put qu’accepter d’obéir à Nelly. En fait la texture, l’élasticité du sexe de la jeune femelle, la douceur de son gland sur la langue lui donnèrent un frisson de plaisir. Un frisson doublé de la sensation perverse et délicieuse de goûter un clitty semblable au sien. “Elle bascule du côté sissy”, songea Jenny. “Une belle soumise en devenir”. Mais il semblait de plus en plus difficile pour Tommy de conserver le liquide en lui. Le visage toujours solidement plaqué contre le ventre de Nelly, il se mit à se contorsionner. Jenny comprit le message et le libéra.

“Va t’installer sur les toilettes, ma chérie”. Tommy s’assit sur la cuvette pour expulser avec soulagement tandis que Nelly, debout face à lui, prenait à nouveau son visage entre ses mains pour qu’il continue sa fellation. Jenny fit une photo de ce moment parfait. Tommy assis, la tête maintenue plaquée contre le ventre de Nelly et avalant complètement le sexe de la sissy qui se cambrait vers l’avant. “Pour le blog”, pensa-t-elle. Puis elle s’adressa à Nelly: “il va falloir un deuxième lavement. Cette petite a besoin d’être d’une parfaite propreté. Comme tu le sais, la bonne hygiène d’une sissy est quelque chose de primordial.”
-“Bien sûr maîtresse”, répondit Nelly. Elle leva Tommy, le fit s’asseoir sur le bidet, rinça soigneusement son anus à l’aide d’une douchette puis lui demanda de s’installer à nouveau à quatre pattes, comme précédemment, avant de lui redonner son clitty à sucer. “Je sais que tu aimes ça ma chérie, lui dit-elle. Tu vas devenir une parfaite suceuse, j’en suis sûre”, gloussa-t-elle en passant la main dans les cheveux de Tommy.

Pendant ce temps-là, Jenny avait préparé un nouveau lavement et changé l’embout de la poire. La nouvelle canule était plus longue, d’un diamètre plus important, et se terminait par une excroissance qui évoquait un gland. Elle la lubrifia avant de l’introduire avec détermination dans l’anus de Tommy. Sous l’effet de la surprise le garçon voulut crier mais la bouche pleine et le visage solidement maintenu contre le ventre de Nelly, il ne le put.

Tout en pressant la poire à lavement, Jenny commenta : “J’ai l’impression que Tamina devient gourmande des deux côtés !” Ce qui fit rire Nelly. Puis, le ventre de Tommy bien rempli, elle retira avec précaution la canule de son anus. Il fut autorisé à expulser le liquide quelques instants plus tard, puis lavé à nouveau.
-“Tu n’as pas joui, ma chérie”, demanda Jenny à Nelly.
-“Non maîtresse, et pourtant Tamina s’est appliquée”.
-“Oui, mais c’est logique au vu de ton traitement.  Il te faut une stimulation plus forte. Tu viendras me voir quand cette petite aura dîné, j’ai un gode-ceinture que tu connais bien qui devrait te satisfaire”.
-“Oh, merci maîtresse “.
Le garçon fut reconduit au lit où Nelly lui menotta les mains dans le dos tandis que Jenny emprisonnait son sexe dans une cage de chasteté. “Juste pour une heure, avant ton repas”. Puis elles l’assirent, et il fut confortablement calé contre ses oreillers, ses chevilles attachées aux montants du pied de lit. Elles approchèrent la table de lit et Jenny y installa un ordinateur portable qu’elle ouvrit et alluma. “Un film pour t’occuper”, lui dit-elle.

Les premières images montraient une jeune femme brune nue, de dos, dans sa cuisine, un simple tablier noué autour de la taille, en train de presser des oranges. Une deuxième jeune femme, rousse, vêtue d’une nuisette noire transparente qui ne lui couvrait les fesses qu’à moitié, entrait dans le champ et venait enlacer la première. Le deuxième plan, cadré sur leur visage de profil, les montraient s’embrasser avec passion, puis la caméra descendait, s’attardant un instant sur les mains de la brune qui titillait les tétons de ĺa rousse avant de descendre encore, au niveau de leurs sexes.

Là, Tommy découvrit qu’elles étaient toutes les deux munies d’un pénis en érection pressés l’un contre l’autre. “Des transgenres”, pensa le garçon dont le propre pénis gonflait, essayant sans succès d’extraire ses six centimètres de la cage qui le comprimait. Et il le compara à celui des deux actrices qui, un peu plus plus conséquents, devaient atteindre huit à neuf centimètres. Il ne savait pas s’il enviait leur taille ou s’il voulait simplement les prendre en bouche, comme il l’avait fait avec Nelly quelques instants auparavant. Un titre apparut alors en surimpression, “Sissies à la maison”, suivi du nom de la réalisatrice, Clara X, et des acteurs/ices, Jena, Clarisse, Rudy. Puis ce titre fut remplacé par l’image d’une bouche qui s’ouvrait en gros plan, et accompagnée d’une voix de femme :” tu es une sissy, tu aimes sucer”.

Le message fut répété à trois reprises, puis l’image remplacée par celle d’un plan large dans la cuisine. Un homme venait d’y entrer, entièrement nu. Ses testicules se balançaient au rythme de sa marche et son sexe énorme, en érection, devait avoisiner les vingt-six centimètres. Tommy eut alors la réponse à sa question précédente, il n’enviait pas son sexe, il voulait juste le sucer. A l’écran, retour de la bouche en gros plan avec, cette fois-ci un nouveau message : “tu es une sissy, tu aimes la bite”, répété en leitmotiv. Et puis on retrouvait les deux “filles” aux genoux de l’homme, l’une absorbant son gland avec délice tandis que l’autre gobait ses testicules. Coincé dans sa cage, le sexe de Tommy était douloureux, mais il ne pouvait s’empêcher d’être fasciné par les images.

A la fin du film, Nelly fit son entrée dans la chambre, chargée d’un plateau repas. Comme l’actrice qu’il venait de voir, elle avait noué autour de sa taille un petit tablier blanc volanté de dentelle. Les seuls autres vêtements qu’elle portait étaient une paire de bas, blancs également, maintenus à mi-cuisse par un ruban de satin rose, et des escarpins à talons hauts. “La petite bonne apporte son dîner à mademoiselle”, fit-elle d’une voix enjouée, “mais avant, enlevons cette vilaine cage”. Et au grand soulagement de Tommy, après avoir déposé son plateau sur la table et déplacé l’ordinateur, elle déverrouilla la cage de chasteté minuscule qui maintenait son clitty rougi prisonnier. Il lui fallut beaucoup de caresses et de baisers de Nelly pour qu’il consente à se relever. Enfin, il dressa fièrement ses six centimètres. “Voilà, c’est mieux”, dit Nelly. Et elle déposa un dernier baiser sur le petit gland.

Tommy ne pouvait détacher les yeux de la sissy et de ses jeunes seins dont on devinait que la croissance n’était pas terminée. “Tu les aimes, ?,” dit-elle en pinçant ses tétons entre ses doigts. “Bientôt tu en auras toi aussi, ma chérie. Et tu aimes ma tenue ? Je me suis inspirée de celle de l’actrice de ton film”. Elle tourna sur elle-même, révélant son postérieur au garçon

Elle portait entre les fesses un plug dont la partie “émergeante” était un cœur rose. “Tu sais, il fait la même taille que celui que tu avais cet après-midi. On s’y habitue très bien. Il faut que je me dilate un peu, maîtresse Jenny m’a promis son god ceinture tout à l’heure”, expliqua Nelly avec fierté. “Mais il faut que tu manges, à présent. Ouvre la bouche”. Et elle préleva une cuillère de nourriture dans l’assiette posée sur la table de lit, qu’elle avait glissée devant Tommy. Elle porta la cuillère à la bouche du garçon, il s’agissait de blanc de poulet mixé très finement et de pâtes sur lesquelles achevait de fondre une noix de beurre. “Maîtresse tient à ce que nous ayons une nourriture simple et équilibrée, “avec le moins possible de résidus,” comme elle dit. Elle tient à ce que les lavements journaliers soient clairs dès la première expulsion. Sinon elle nous punit. Si tu ne l’as pas été tout à l heure, c’est parce que tu es nouvelle.

Allez, encore une cuillérée. Et Nelly continua de nourrir Tommy jusqu’à ce que le plat soit terminé. Elle lui donna ensuite à boire avec une gourde dont le bouchon était muni d’une pipette. La gourde était rose et décorée d’une licorne ailée assise sur un arc-en-ciel. Sous celui-ci on lisait “Tamina”. “Tu l’aimes ? C’est ta gourde et c’est moi qui l’ai choisie”. Devant le sourire de Nelly et sa volonté évidente de lui faire plaisir, Tommy ne put que répondre “m…merci, Nelly”. La jeune sissy sembla ravie de sa réponse et lui présenta le plat suivant. Il s’agissait d’un bol de fromage blanc. “Il y a un peu de sucre vanillé à l’intérieur”.

Le goût sembla un peu étrange à Tommy, sucré, bien sûr, mais avec une petite touche salée, ce qui en faisait l’originalité et le côté “goûteux”. Très addictif. Il s’en régala et Nelly lui fit laper le bol. Elle le fit ensuite boire à nouveau et lui expliqua: “la recette est simple: deux tiers de yaourt, un tiers de sperme – le mien – et un peu de sucre.”

-“D… Du sperme !?!..”
-“Oui, tu sais, il y a quatre mois, quand j’arrivais encore à éjaculer, maîtresse m’a fait traire par plusieurs de ses amies, chez qui j’étais domestique, deux fois par jour pendant deux semaines. Je devais recueillir ma crème dans de petits sachets que maîtresse a mis au congélateur. J’étais tellement vexée tout à l’heure de ne pas avoir pu jouir dans ta bouche, malgré tous tes efforts. Mais maintenant ça y est. J’ai goûté ta crème et tu as goûté la mienne. Nous sommes comme deux sœurs. Deux sœurs de sperme. J’adore.”

Et Nelly se mit à sourire, manifestement émue, en regardant Tommy avec tendresse. Pour le garçon, une partie de lui avait l’impression de nager en pleine folie, mais la drogue qui lui embrumait le cerveau lui faisait considérer sa situation, ce sentiment de folie, comme un rêve étrange et paradoxalement agréable. La réalité lui échappait.

Jenny entra à ce moment dans la chambre. “A-t-elle bien tout mangé ?”, demanda-t-elle à Nelly en insistant sur le “tout”.
-“Oui, maîtresse. Elle a beaucoup aimé son dessert”.
-“Je m’en doutais.” Et Jenny s’assit sur le côté du lit pour caresser la joue de Tommy. “Petite gourmande” lui dit-elle. Puis: “Nelly, nous allons détendre ses liens pour la nuit”.

Nelly défit le lien qui enserrait sa cheville droite pour lui substituer un galon plus long et répéta l’opération à gauche. Tommy n’était plus limité à la position allongée, sur le dos, et les jambes écartées. Il pouvait désormais ramener l’une de ses jambes sur l’autre et dormir en chien de fusil s’il le souhaitait. Ses mains étaient toujours menottées, à hauteur de son sexe. Jenny posa un urinoir, un “pistolet”, comme on les appelle à l’hôpital, mais rose et orné de la même petite licorne que sa gourde, sur son matelas.

“Si tu as envie de faire pipi, tu pourras t’asseoir et tenir ton clitty. Nelly, embrasse cette petite, il faut la laisser dormir, maintenant. Demain nous avons rendez-vous avec la doctoresse pour son traitement. Nous te laissons une veilleuse, ma chérie”.

Jenny appuya sur un interrupteur pour faire descendre le volet roulant extérieur et il ne subsista plus dans la pièce que la seule lueur de la veilleuse, une poupée tenant un ballon qui s’illuminait de l’intérieur -rose, vert, bleu, orange- dans ses mains.

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5 Commentaires

  1. Avatar

    j’aimerais qu’il y’ai une suite car l’histoire est palpitante

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  2. Avatar

    Merci beaucoup Sacha, d’avoir pris le temps de lire cette histoire et d’y trouver du plaisir. Ton commentaire est adorable.

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  3. Avatar

    Je voulais dire addictif… quelle idiote je suis ! ☺️

    Réponse
  4. Avatar

    Ooh merci infiniment pour ce nouvel épisode tout aussi troublant, envoûtant et additif…
    Je suis encore “sonnée”, excitée et si impatiente de découvrir la suite.
    Quel délice d être dans cet état, totalement démunie !

    Réponse
    • Avatar

      Très excitante histoire, quelle chance elle a, cette Tanina!. J’ai hâte de lire la suite…

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