D’un auteur qui souhaite rester anonyme…
On est fin juin. Muriel, belle brune d’environ trente ans, assez grande, buste lourd et ferme, pourvue d’une large croupe très sensuellement érotique, monte dans le train avec son mari.
Ils partent à Agde, station réputée libertine, dans le sud de la France. Ce sont les parents de son mari qui leur ont prêté leur pied à terre, deux pièces plus salon et cuisine aménagée, agréable et calme, avec un joli jardin, bien en retrait de la circulation.
Le matin après leur arrivée ils vont se baigner. Ils n’ont qu’à traverser la rue piétonne pour être sur la plage. Ils en reviennent vers midi. Un petit apéro, un repas léger, puis une sieste coquine. Pendant une partie de l’après-midi, Muriel va hurler de plaisir, enchainant orgasmes sur orgasmes. Les vacances la déchainent, la décomplexent. Ici, elle ne connaît personne, il n’y a pas de proches voisins et elle peut laisser libre cours à son tempérament volcanique.
SalauuuUUUUUuuuuuuuud… salauuuuuUUUUuuuuuuud… soupire-t-elle… çà fait trois fois que tu me niques depuis ce matin…
Tu es tellement excitante… sourit son mari… je n’ai pas fini de te faire couiner… toute la semaine tu vas me sentir te pénétrer… te défooooooOOOOooooncer… te bouffer la chaaaaaaaaaaatte.
En fin de soirée, vers dix sept heures, ils retournent prendre un bain. Jusqu’à dix neuf heures ils s’amusent dans l’eau, comme des fous, sans se soucier des autres vacanciers qui gravitent autour d’eux. Les baisers sont torrides. Ils nagent en plein bonheur.
Arrête… dit Muriel à son mari, en se tortillant… sors tes doigts de ma chatte… attends que je te chope par les couilles… salauuuuuuuud… Essaies de les attraper… provoque t’il… si tu n’y arrives pas… tu auras un gage… d’accooooooOOOOOOOoooord… ?
Bien sûr, dans l’eau, elle n’a pas la même endurance que son mari. Elle abandonne car elle sait que le gage va être érotique et se négocier dans le lit. Elle en salive déjà. En rentrant de la plage ils vont directement à la salle de bains. Philippe en sort le premier, vêtu d’un short il s’installe dans le jardin et sirote une bière. Muriel finit de se doucher, rince les maillots et enfile une robe ultra courte.
Elle sort pour étendre le linge en se hissant sur la pointe des pieds pour atteindre le fil de fer. Ce geste a pour effet de faire remonter la robe à la hauteur de ses larges hanches de belle femelle. Son mari a devant lui la moitié des magnifiques fesses de sa femme, partagées par une raie parfaite.
Et si de derrière, on voit les fesses, de devant, on doit voir la chatte. Le jardin est séparé de la rue piétonne par un petit muret, surmonté d’une grille. Un semblant de haie masque la visibilité. Philippe ne peut pas résister à l’envie d’envoyer une main entre les cuisses offertes de sa charmante épouse.
Arrêêêêêêêêêêêêêêête… gronde-t-elle… çà va paaaaaaaaaaaaas… tu ferais mieux de réfléchir au gage que tu vas me donner…
Attirées par les voix, trois personnes se rapprochent du jardin pour se coller à la grille et se figent sur place, yeux grands ouverts. Un homme autour de cinquante ans et deux jeunes d’une trentaine d’année.
Muriel leur dit bonjour, sans trop réaliser qu’ils ont une vue imprenable sur son intimité. Les mateurs lui répondent poliment tout en restant tétanisés par la vision qui s’offre à eux. En voyant çà, une idée émerge de l’esprit de Philippe : Si j’exhibais ma femme à ces mecs… ce serait un bon jeu d’excitation et un super gage…
Il se lève, saisit le bas de la robe et la soulève jusqu’aux coudes de Muriel. Par en dessous, il prend à pleine mains les seins, lourds et copieux, pour entamer un massage en règle qui attise la libido de la belle femelle maintenant très en chaleur.
Ce matin, elle a épilé et arrangé sa grosse chatte, pour bien dégager sa fente, en prévision des séances de baise. Un beau triangle noir, fournit et frisotté, bien net, orne la motte bombée. Les trois passants peuvent, tout à loisir, admirer son corps superbe. D’abord surprise, Muriel se débat pour remettre sa tenue en place. Mais avec les bras en l’air, elle n’est pas dans une position favorable.
Tu es fou… dit-elle… baisse çà… dépêche-toi… tu n’as pas honte de me montrer… de m’exhiiiiiiiber… je ne suis pas une pûûûÛÛÛûûte…
Mumuuuuuuuu… sourit-il… un gage… c’est un gaaaaaaaaaage… tu dois exécuter celui que j’ai choisi…
Philippe la pousse vers la grille. Elle essaie de freiner avec ses pieds, en vain. Petit à petit, ses jambes s’écartent. Elle arrive à portée des trois voyeurs, toujours collés à la grille. Ils n’en espéraient pas tant. C’est le ‘’quinqua’’ qui se montre le plus entreprenant. Il engage prestement une main à travers les barreaux et la glisse entre les cuisses de cette superbe femelle offerte à sa concupiscence. Celle-ci est morte de honte en imaginant le spectacle qu’elle doit donner à ces inconnus.
Arrêêêêêêêêêête… s’il te plait… supplie-t-elle d’une voix mourante à l’oreille de son mari… tu ne peux pas… me faire çààààà… tu ne peux pas… je suis ta femme… ooooOOOOOoooo… j’ai hôôôôÔÔÔÔôôônte…
Mais le ‘’quinqua’’ connait les points érogènes et sensibles d’une femme et Muriel, tout en se débattant, est troublée par les caresses de plus en plus précises de cet homme. En expert, il joue avec les lèvres humides, les frôle, insiste, insiste encore en appuyant, puis rentre un doigt entre elles et ressortant prend la motte juteuse à pleine main…. Sensible à ces tripotages, très efficaces, elle commence à se détendre !
OoooOOOooo… ââââAAAàâââ… il a décalotté… mon petit clitoris… gémit-elle… comme il me doigte… la chaaaaAAAAaatte… ce salauuuuuuuuuuud… aaaaaaaAAAaaaaaaa… je suis toute mouillée…
Le ‘’sexa’’, sûr de lui, passe la main entre les cuisses écartées et enfonçant son pouce dans le sexe remonte un doigt, comme un crochet, dans la raie culière…
AââââââAAAAAâââ… nooOOOooon… pas çaaaaaAAAAaaaa… vicieux… pas mon cul… noOOOOOOon… pas… paaaaaaaaas lààààààààààààààà… ouiiiiiiiiiiiiiiiiii… haaaaaaaaaaaaa… çà y est… ça y est… ça y est… il me le prend… il enfonce ses doigts… que c’est boOOOOOonnn… ôôôôôô… ouiiiiiiiiiiiiiii… je… je… jouiiiiiiiiiiiiiiiiis… ââââââAAAAââ… ouaiiiiiiiii… c’est salauuUUUUuuud… salauuUUUUUUuuud… devant toiiiiiiiiiiiiiiiii…
Tu veux que je lui dise d’arrêter… demande son mari.
NooOOOOOooon… surtout paaaaaaaaaaas… saââââââââlaud… c’est toi qui a voulu… alors assume… ouiiiiiiiiii… assuûûûûûûûûûûme… soupire Muriel… ââââââÂÂÂÂââ… il me fait les deux trooOOOOOooous… c’est trop boOOoon… aaaaaaaAAAaaaaa… oooooOOOoooo… putain… je… encore… encore… je jouiiiiiiiiiiiiiiiiis… encooooOOOOOoooooooore… !
Puis, très excitée par cette chaude situation des plus salace :
Demande… demande… aux jeunes… de me faire… voiiiiiIIIIiiiir… leurs queues… je crois qu’elles sont… très groooOOOOOoosses et j’ai envie d’en voir… des groooOOoosses… des très grooooosses… ça me plait… !
Sur un signe de Philippe, ils baissent leurs bermudas.
Muriel n’est pas déçue et elle sent sa mâchoire s’ouvrir de surprise… Comme on dit, ils ont ce qu’il faut, là où il faut… deux superbes bites, comme on en voit dans les films pornos.
Longues, grosses, veineuses, aux glands trigonocéphales. On devine la lourdeur de ces pieux au balancement érotique qui les agite, en pleine exhibition devant cette femelle qui semble comme hypnotisée… L’ambiance devient lourde de stupre et semble préparer une séance de fornication…
Hééééééééééé… dit l’un d’eux… ce soir on va prendre un verre en ville… au « Live Bar »… tu peux venir… avec ou sans ton mari…
Le soir, Muriel qui n’a pas oublié l’invitation, finit de se préparer. Il est vingt deux heures. Elle est vêtue d’une minijupe qui lui arrive au ras de la motte, d’un micro string et d’un chemisier noué à hauteur du nombril, qui valorise la superbe paire de seins à peine contenus dans un balconnet taille 90 E. Les grosses pointes de ses copieux nibards saillent au centre d’aréoles bien grumeleuses. Ses longues jambes se terminent par des talons de 15 centimètres qui augmentent la sensualité animale de sa large croupe de femelle pleine et ronde.
Tu es sûre que c’est ce que tu veux… lui demande son mari… sois prudente ma chérie…
C’est juste pour un pot… je ne vais pas m’éterniser… je prends un ou deux verres… et quand je rentre je compte bien te faire ta fête… tu m’as particulièrement mise en chaleur… dans le jardin… en me faisant m’exhiber et doigter… les jeunes avaient leurs glands tout coulants… ils ont du se branler en rentrant à leur hôtel… quand je reviendrais… tu verraààààààààààààààs çààààààà… ça sera ta soirée «grande baise…»… je vais copieusement te viiiiiiiiiiiiiiider…!
Philippe accompagne Muriel jusqu’au « Live Bar », la regarde entrer et s’éloigner dans la foule cosmopolite. A peine arrivée, elle est prise en charge par un seul des deux jeunes de l’après-midi et le ‘’quinqua’’.
Je m’appelle Jean-Pierre et voici Edgar… on vous offre une petite coupe de Champagne… ?
Muriel accepte et leurs verres à la main ils discutent un moment. Un deuxième verre, puis un troisième achèvent de décontracter complètement l’atmosphère. Elle regarde les deux hommes. Ils sont pas mal bâtis, vêtus de chemises d’été et de shorts moulants qui laissent deviner les sérieux atouts qu’elle a pu mater il y a quelques heures à peine.
Sous prétexte d’avoir un peu d’air frais ils l’attirent à l’extérieur du bar, au bord de l’eau, là où règne une pénombre complice. Sans perdre de temps Jean-Pierre glisse une main entre les jambes de Muriel. Elle esquisse un petit mouvement de défense, mais Edgar passe derrière, ouvre le chemisier et lui empoigne les seins. Cette caresse, qui est celle qui la fait jouir quand elle se gamahuche, la débloque totalement, si tant est qu’elle ait eu envie de ne pas se laisser faire…
Après tout c’est son mari qui a eu cette idée de gage l’après-midi… En forme de coupe les mains enserrent les lourdes mamelles, tout en triturant les grosses pointes qui dardent rapidement et salacement au centre de ses aréoles bien grumeleuses…
Jean-Pierre fait glisser la minijupe en accrochant au passage le mini string. Elle l’aide en levant les jambes. Ils quittent leurs shorts sous lesquels ils sont nus. Muriel saisit les imposantes bites qui anticipent la fête en suintant du méat. Trois, quatre va et vient sur les longues queues et les voilà opérationnelles. JP s’allonge à coté des cabines de la plage et demande à Muriel de l’enjamber pour descendre vers lui et s’empaler sur son membre. Elle ne peut, tout en obtempérant avec empressement, s’empêcher de penser à son mari… Elle était sortie prendre un verre et là elle sent que la situation lui échappe totalement et dérape…
Son Philippe voulait lui faire tenir un gage… et bien il ne va pas être déçu… cocuuuuuu… il va être cocuUUuuuu… somptueusement cocùùùùùùu… grâce à sa femelle qui devient très adultérinement salope…
En sentant la grosse verge de JP s’abuter contre sa fente elle pousse un gloussement de plaisir… qui se transforme en râle de gorge au moment où le gros membre s’enfonce dans son ventre.
OooOOOOooooOOOOooo… ma petite chatte… gémit Muriel… tu es en train de te le faire mettre… quels coups de queue tu es en train de prendre… haaaaaan… tu es toute mouillée salope… tu sens comme il est monté ce queutaààààààààààààrd de ‘’quinqua’’… çà te change… de la petite bite de ton mariiiiiiiiiIIIIIiiiiiiii… il va te faire jouiiiiiiiiir… lui… ce vieux salaud… aaaaaaaaaaaaa… ouaaaaaaaaaaaaiiiiii… nique… nique-moiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii… j’y suis… ouiiiiiiiiiiiiii… âââââââÂÂÂÂÂââââ… tu es boooooOOOOOOOooon… râââââÂÂÂÂââââ… âââââAAAââââàà…
Tiens… espèce de pute… râle le ‘’quinqua’’… c’est bon de se tirer une jeune femelle en chaleur… aaaaaaaAAAAAaaaaaa… han… prends çà… ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii… prends ma queue… salooope… ça te plait… heiiiiiiiiiiin… ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii… saloOOOOOOOOooope… ouiiiiiiiiiiiiiii… ôOOOOOôôô… saloooOOOOooOoOoooope… d’être partouzée… et ton gentil cocuuuuUUUUuuuu… il croit vraiment que tu bois un verre… ?
A cette évocation de son mari… de son maintenant ‘’cocu’’, Muriel anéantie par une sorte de « jouissante transe de honte », s’écroule sur le corps de JP qui, impavide, continu de la limer en donnant la cadence à son large cul de baiseuse.
Il n’en a pas finit avec cette femelle qui devient une vraie pute affamée de sexe. Elle monte… descend… monte… descend… dans un bruit humide et feutré de peaux qui se frottent…
La présence dans sa chatte de cette grosse queue étrangère, adultérine et cocufiante, la met dans un état second… elle flippe salace et crapuleux… Son mari voulait qu’elle voit des bites… et bien… des bites elle en a vu et maintenant elle en prend… elle en prend plein sa motte… et son cocu aussi sera content quand elle rentrera, chaude, lourde de stupre… toute défoncée et remplie de sperme…
Elle se sent femelle… baiseuse… pute…salope adultère… cocufiante… honteuse… et… plus elle a honte… plus elle jouiIIIIIt… Bien cramponné à ses larges hanches JP lui force les lèvres avec la langue… toute honte bue elle ouvre la bouche et s’abandonne. Maintenant elle sent qu’elle n’est plus qu’une vraie bourge en chaleur, une femelle bien pute en désir de bites. Edgar, attiré par les fesses cambrées de Muriel, s’avance, mouille le bout de sa grosse queue, la place contre le petit trou et commence doucement à appuyer… puis d’une seule poussée défonce l’anus…
Muriel hurle à pleine gorge… au diapason de l’engin qui s’enfonce dans son boyau culier… ses dernières barrières sont tombées… elle accepte de se savoir, là, sur une plage en pleine nuit, entre deux inconnus, qui sans aucun scrupule la partouze comme une putasse en mal de queues. Ses seins s’écrasent sur le torse de son crapuleur qui continue de la bourrer copieusement, à une cadence impressionnante. Le gros gland pénètre copieusement et Muriel a un mouvement de retrait vite arrêté par le fait que, sous elle, JP stoppant sa cadence lui tient bien la croupe à pleine mains.
AaaaaaAAAaaa… il m’encule… il m’encule… ooooOOOOOOOOoooo… salaud… quelle bite il a… lui aussiiiiiiiiiiiiiii… comment vous baisez ma petite chatte… et mon cul…. ma petite chatte… et mon cuùùùùl… ouiiiiiiiiiiiiii… aaaaaaaAAAaaaa… ma petite chatte… et mon cuùùùùl…
Seule la clarté de la lune éclaire la plage. On voit nettement le corps de Muriel s’agiter entre les corps des deux hommes. Pendant deux heures la bacchanale va se dérouler, avec les hurlements de plaisir de cette femelle qui vont déchirer la nuit, jusqu’à ce que, dans un spasme violent et secouée de violents tremblements elle les désarçonne.
Elle jouit, bestialement… elle orgasme… elle sent des ondes nerveuses partir des zones érogènes de son corps pour se relier entre elles et la faire se trémuler comme électrisée…
Ce qu’elle vient de faire la met en violente excitation sexuelle, avec le trouble crapuleux de cette situation de femme devenue une adultère cocufiante, qui sait en plus qu’elle va en redemander.
Muriel insiste pour que ses deux amants d’une nuit viennent chez elle pour prendre un dernier verre.
Philippe, assoupit, est réveillé par des bruits. Il se lève et reste cloué sur place. La scène qui se déroule devant lui est irréelle. Muriel est a quatre pattes sur le fauteuil du salon, elle n’a gardé que ses bas et ses hauts talons, sa jupe remontée à la taille, jambes écartées et ses gros nibards bien dardés valident qu’ils ont été pétris par des mains expertes. Devant elle un mec se fait tailler une pipe et un autre est derrière qui se prépare à lui défoncer la chatte.
Mais chériiiiIIIIIIiiiiiie… mais que fais-tuùùùùùùùùùùùù… on est mariés depuis samedi et tu es déjà en train de me tromper…
HuuuuuuUUUuuuum… uuuuuuuuuum… ooooOOOOOOOoooo… mon chéri… si tu savais comme ils se sont… amusés avec moi… huùùùm… quels coups de queues ils m’ont mis… trois… quatre… chacun… sans débander… sans capote… ouiiiiiiiiiiiiiii… sans capote… je suis pleine de leurs foutres… ouiiiiiiiiiiiiiii… uuuuuuUUUUUUUuuuum… que c’est boooooOOOOOOooon… et regarde ce salaud… il va forcer mon petit trou avec sa grosse queue… ooOOOOooooOOOOoo… avant c’était ma petite chatte… il écrasait mon clitoris… huuuuuuuuum… ouiiiiiiiiiii… que c’est boooooon… ââââââÄÄÄÄÄÄÄaââaa… ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii…
La semence de Jean-Pierre déferle dans la gorge de Muriel par jets puissants. Elle s’en étouffe presque mais tient à tout avaler.
Ben dis donc… tu as de la réserve mon cochon… Edgar… à toi… viens que je viiiiiiiiiiiiiiiiiiiide tes groooOOOoosses couilles… tu vas gicler en moi… giiiiiiiiiiicler lourd et gras… j’aime le sperme… c’est ma drooooogue…
C’est maintenant au tour d’Edgar de se faire emboucher par les lèvres gonflées de Muriel, qui le pompe à grands coups de gosier, tout en regardant son cocu de mari droit dans les yeux.
Serrant les bourses du type qui lui baise la bouche elle le fait décharger dans sa gorge et avale la liqueur en exagérant les bruits de déglutition, juste pour exciter son mari.
Philippe, sans réaction, est affalé sur sa chaise, les bras ballant le long du corps avec une putain de trique entre les jambes.
Fais pas cette tête… sourit JP… on ne lui a pas fait de mal… on ne l’a pas forcée, au contraire… je reconnais qu’elle est bonne… tu ne dois pas t’emmerder mon salauuuuuuuuuud… on s’est juste un peu amusé avec elle… elle le demandait et elle le vaut bien…
Muriel saisit les deux hommes par les testicules et les soupèse en les faisant rouler dans ses doigts. Ce qui leur provoque une nouvelle érection.
Elles sont encore pleines… fait remarquer Muriel…chéri… çà te fais rien de prendre le canapé… j’irai bien au lit avec eux… hein mon trésor… j’ai encore envie de me faire mettre… pour une fois que j’ai deux grooOOOOooosses… très groooOOOoosses bites… rien que pour moi… ah au fait… je t’ai pas dis… pour te faire plaisir… j’ai décidé de prolonger ton gage… toute la semaine… mais tu pourras… toi aussi… me bourrer à ta convenance…
Merci mon amooooooooooooooour…
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