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Il fit de moi sa sissy soumise

par Histoires de Sissy

Une histoire écrite par Amber.

Quelques semaines auparavant, j’avais branché ce mec sur un site libertin, l’aguichant avec quelques photos de moi et un “live” très convaincant.

Ce soir, nous avions rendez-vous, et il me conduirait dans un lieu “qui devrait me plaire”. J’avais loué pour quelques jours un studio dans le quartier chaud de la ville, bien décidée à vivre en femme très coquine, de laisser dès le début et jusqu’à la fin de mon séjour, mes vêtements d’homme au placard. Je passais près de 2h30 de bonheur à me préparer comme j’en ai l’habitude, à quitter mes déguisements de mec, à me faire belle et à préparer mon corps et mon esprit à ce qui m’attendais, avec en fond sonore les podcast de Fabrika

Lisse et lavée, la chatte pluggée, clity bien sage sous un slip gaff, sein de silicone et corset en taille de guêpe, escarpins et bas de grande marque, juste un peu trop maquillée, chevelure blonde, jupette et petit haut de vinyle noir, j’avais tout ce qui fait bander les queues des hommes…

Le mien arriva à l’heure, j’étais fin prête et tellement féminine, tellement moi. Lorsque je l’accueillis, qui me vit ” en vrai” pour la première fois, je sentis qu’il était heureux d’être venu et me trouvait à son goût.

Quelques mots de présentation, un verre de vin partagé, il était grand, parlait fort, cheveux en brosse, entre deux âges, des mains caleuses de manuel, un air militaire et un peu fruste, un alpha dans toute sa splendeur.

Son regard courait sur mes courbes avec un mélange de concupiscence et de mépris, son énorme dard saillant sous son pantalon sans élégance attirait mes yeux. Je me suis tout de suite mise en situation de soumission, mon regard vers le bas, m’adressant à lui en le vouvoyant respectueusement, lui servant à boire en faisant saillir la croupe.

Ecartant les jambes, il déclara soudain “montre ce que tu sais faire avec ta bouche de sissy, tu dois me prouver que tu mérites que je te conduise à cette soirée. Ce que tu sais faire du reste, on verra plus tard” . Ne sachant pas désobéir à l’ordre d’un vrai homme, j’ai vite fais de me mettre à genou face à lui qui était assis dans le fauteuil. La main sur ma tête, me contraignant à la gorge profonde, il semblait en extase… “C’est bien Sissy, tu suces bien comme une vraie chienne, on sent que tu aimes la queue”.

Au bout de quelques minutes de ce jeu, une accélération dans son rythme puis, soudain comme tétanisé, il lâcha un cri comme un râle, et je sentis son sperme jaillir dans ma bouche. J’avalais la plus grande partie de ce flot abondant avec plaisir, jouant quelques secondes avec le reste de la substance visqueuse, entrouvrant la bouche et passant la langue sur mes dents pour lui montrer le plaisir que j’y prenais…

C’est bien, dit-il, tu t’es bien comportée, je suis content de toi, tu es une salope. Alors va te repoudrer, fais toi belle pour venir avec moi. Et surtout ne te lave pas la bouche, garde bien ce goût.
Quelques minutes plus tard, le rouge à lèvres retouché, je vins le rejoindre. Il sortis de la poche de son manteau une laisse et un collier. “Tiens, mets le collier. Une fois sur place, je te mettrais la laisse, ce soir je suis ton maître”.

La boîte n’était pas très loin, nous y sommes allés à pied. N’ayant pas encore l’habitude de sortir en femme, c’était un moment très excitant de traverser la grande place en le tenant par le bras, comme pour compenser l’imperfection de ma maîtrise de la marche en talons. J’avais mis une jupe plus longue et un imper j’étais presque décente.

Une fois passé le vestibule, dans lequel une femme lui fit payer son entrée et lui remis sa serviette (j’avais bien sûr tout pour rester “habillée”), je découvris les vestiaires puis juste derrière, le bar autour duquel une quinzaine d’hommes et 3 ou quatre travestis étaient regroupés. Mon maître me mis la laisse et nous trouvâmes place au bar. Je sentis immédiatement le poids du regard des hommes. Mon maître me présenta, il connaissait les lieux et y était connu, cette entrée en laisse était destinée à montrer ses droits sur moi mais il me dit bien vite “tu peux aller t’amuser”.

Le remerciant, je montais l’escalier métallique en colimaçon dans une quasi obscurité. Je sentais des mains me frôler, courir sous ma jupe, cherchant à savoir ce qu’il y avait entre mes jambes, caresser mes fesses. Dans les couloirs de plus en plus obscurs, j’avançais à tâtons, au summum de l’excitation, prête à défaillir. J’entendais les chuchotements de ces mâles que je rendais fous de désir, les râles de plaisirs masculins et féminins, les fessées administrées avec force et reçues avec jouissance.

Arrivée dans une salle avec un lit bas et tournant, je trouvais là mon maître, il m’attendait, il me fit mettre à quatre pattes sur cette table, de sorte que ma bouche et ma chatte, de chaque côté de la table, était à la hauteur des queues. A tout seigneur tout honneur, il  prit ma chatte préparée par le plug, il y rentra délicatement mais sans difficulté, puis fourragea longuement, tandis qu’un autre face à moi, enfournait sa bite dans ma bouche. Évidemment le spectacle avait du succès, d’autres me caressaient et tous parlaient de moi comme d’un objet sexuel que j’avais beaucoup de plaisir à être. Alors la table tourna…

Je comptais, dans une demi conscience, une dizaine d’hommes, tous sucés, presque tous vidés de leur semence, ma chatte était dilatée comme jamais. La soirée a duré longtemps, je ne saurais la décrire plus en détail, dans les vapeurs de poppers, le reste est un peu confus. Je me souviens d’un avec qui je suis restée à deux dans une cabine… j’ai du être un peu maladroite, et il m’a giflée fort, je crois que j’ai aimé. Je me souviens, en fin de soirée, d’avoir pris une faciale magistrale. Mon maître m’a déposé à la maison, titubante et hagarde. Nous nous sommes promis de remettre ça, mais c’est une autre histoire…

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