Le dĂ©but de l’histoire se trouve ici
Une envie de plus
Alors que notre prĂ©cĂ©dente rencontre s’Ă©tait finie sur une pseudo dĂ©ception, probablement mal comprise, les jours passent et nous ne reparlons qu’assez peu de ce qui c’est passĂ©. En mĂªme temps, nous en avions assez discutĂ© le lendemain. Cependant, je n’oublies pas ce moment fort que nous avons passĂ© ensemble. Je me retrouve dans le rĂ´le d’une jeune femme heureuse d’avoir fait l’amour pour la première fois et, surtout, heureuse de l’avoir fait avec quelqu’un pour qui j’ai de l’affection. Les jours se suivent et se ressemblent plus ou moins. Comme chaque soir, Alice et moi discutons via le tchat, de tout et de rien, de comment nous avons occupĂ© nos journĂ©es, des achats prĂ©vues, des problèmes de chacune, etc…
Rares sont les fois qui font Ă©tat de notre dernière rencontre. Je ne luis dit pas, non plus, que j’ai 3 autres achats prĂ©vus pour elle, Ă savoir un baby doll, une belle nuisette et un long dĂ©shabillĂ©, le tout en satin rose fuchsia comme elle aime. J’hĂ©site aussi Ă lui prendre la paire de cuissardes de la mĂªme couleur que j’ai vu. Alice, de son cĂ´tĂ©, a aussi prĂ©vu de me faire un cadeau mais, au vu de toutes les questions qu’elle me pose, je comprend très vite qu’elle souhaite m’offrir une paire de bottes ou de cuissardes mais elle hĂ©site sur le modèle. Elle en a vu des sympa mais se trouve hĂ©sitante car certains Ă©lĂ©ments ne pourraient pas me plaire.
Elle met un modèle de cĂ´tĂ© pour plus tard. Par ailleurs, j’ai l’impression qu’Alice est plus distante que par le passĂ©. Le fait de ne pas trop parler d’une future rencontre m’incite Ă le penser. Toutefois, j’ai toujours autant de dĂ©sir pour elle et, depuis quelques jours, je me met Ă imaginer, toujours dans mes instants Ă©rotiques, que les rĂ´les changent ou Ă©voluent. Moi qui suis, Ă l’instar d’Alice, d’un naturel soumise, je me vois d’avantage sa maĂ®tresse, sa dominatrice. Je l’imagine dans des poses que je lui imposerais, des ordres que je lui donnerais. Je m’imagine lui chuchoter des mots crus Ă son oreilles, rĂ©veillant ainsi ses pulsions de soumise et sa libido.
Je me vois m’occuper de son sexe et de sa chatte anale, la lĂ©chant avec aviditĂ© pour bien la lubrifier, insĂ©rant un puis deux puis trois doigts Ă l’intĂ©rieur afin d’Ă©carter au mieux son petit trou plissĂ© pour l’enfiler avec mon gros clito gonflĂ© de dĂ©sir ardent pour elle. Elle n’est pas amoureuse et le terme de « faire l’amour » la gène un peu ? Eh bien soit ! Je ne lui ferai pas l’amour, je me vois la baiser, non pas avec tendresse et dĂ©licatesse mais avec passion comme je pourrais le faire avec une amante. Je l’imagine encore vĂªtue de sa première tenue en latex (avec le chemisier et la jupe ouverte) qui m’Ă©moustille le bas ventre, le cul relevĂ© tandis que ses mains seraient menottĂ©es. Je l’imagine Ă ma merci, frĂ©missante, haletante, dans l’attente de subir mes assauts pĂ©niens.
Puis, un soir, de retour de week-end, nous reparlons enfin de notre dernière rencontre. Nous reparlons de ce moment de passion. Alice m’avoue que cela avait Ă©tĂ© un peu rapide, qu’on avait pas eu le temps de placer la scène. Je m’excusais de ne pas avoir su retenir ma libido et d’avoir agit qu’un une morfale. Elle m’avoua Ă son tour que le petit break après son massage Ă©tait pour qu’elle puisse se calmer car elle voyait que ça allait vite … trop vite pour elle.
On parle alors de ce qui l’a bloquĂ©e l’autre fois et des questions qu’elle se posait Ă ce moment lĂ . Nous convenons qu’il serait bon qu’elle prenne le temps de faire une liste d’objectifs qu’elle souhaiterait remplir ou dĂ©passer. Je lui propose aussi, pour amĂ©liorer sa condition fĂ©minine, ou du moins pour la faire grandir en elle, de s’habiller en femme tous les jours dĂ©s qu’elle rentre du travail, sans forcĂ©ment passer par le maquillage, juste mettre des vĂªtements comme dormir en nuisette tous les soirs par exemple.
En outre, Alice m’envoie Ă©galement un rĂ©cit similaire Ă celui que j’ai Ă©crit mais de son point de vue. Il y a quelques oublis de type descriptif, notamment sur nos tenues, et je trouve très dommage qu’elle n’ai pas d’avantage extĂ©riorisĂ©e les sentiments et les Ă©motions qu’elle avait ressentie durant notre première rencontre, rendant son rĂ©cit presque … banal comme une simple rencontre. Au fond, je suis certaine qu’elle aussi a dĂ» ressentir bien des choses. Nous en rediscutons via le tchat et elle approuve en me disant qu’elle va le retravailler avant de s’attaquer Ă la partie 2. Cela lui fera un bon entraĂ®nement car la seconde partie reprĂ©sente une rencontre bien plus remplie en Ă©motion, sensation et sentiment.
Je lui parle Ă©galement d’un dĂ©fi que j’organise plus tard, un concours de beautĂ© et je lui demande d’y participer mais elle rechigne car elle ne se sent pas encore prĂªte Ă montrer son visage pourtant très joli. Nous commençons alors Ă parler de sa beautĂ© et je lui avoue que, devant sa beautĂ©, j’ai encore envie de l’embrasser comme avant. Manifestement elle aussi en a envie. Elle ne veut plus s’en cacher. Nous convenons, non sans excitation, que nous devons le faire durer bien plus longtemps cette fois afin de faire durer ce plaisir Ă son maximum. J’ose, sur le coup de la plaisanterie, l’appeler mon Alice chĂ©rie.
Une boutade sans importance probablement pour elle mais plein de sens pour moi. J’ai cette envie, grandissante, de l’appeler tout simplement « ma chĂ©rie « , « mon amour ». Après cette conversation, j’en suis Ă me demander si, elle aussi, ne ressent pas quelque chose pour moi. Si, elle aussi, n’a pas passĂ© le cap d’un sentiment d’amouritĂ© ou d’amoutiĂ© comme j’aime Ă le dire (mĂªme si ces mots n’ont aucune existence), entre amour et amitiĂ© et que quelque chose, de beau, pourrait subvenir dans un futur proche.
Le lendemain, je propose Ă Alice de me refaire quelques clichĂ©s d’elle mais nue afin de me servir de ça pour faire des modèles en dessin et imaginer des robes pour elle, les dessinant directement sur elle pour avoir un meilleur aperçu, plus rĂ©aliste qu’un modèle fĂ©minin. Le soir mĂªme, elle s’exĂ©cute, m’envoyant quelques clichĂ©s d’elle, maquillĂ©e et parĂ©e de sa perruque blonde mi-longue, d’abord vĂªtue de son nouveau legging et des chaussures que je lui ai offerte dernièrement, qui ne me laisse pas de marbre, loin de lĂ , surtout avec des clichĂ©s oĂ¹ on la voit de dos, penchĂ©e vers l’avant, les jambes Ă©cartĂ©es.
Un vĂ©ritable appel Ă lui donner du plaisir. Les clichĂ©s qui suivent la montre en petite culotte rose, très mignonne au demeurant. Ça lui va très bien et elle m’excite toujours autant malgrĂ© son corps masculin, sans poitrine. Je continu Ă voir Alice ainsi, probablement dĂ» Ă son visage maquillĂ©, sa culotte et ses chaussures.
Le dĂ©sir et l’excitation montent
Nous sommes 10 jours avant NoĂ«l. Le prochain dĂ©fi arrive Ă grand pas, Ă savoir nous dĂ©guiser en mère NoĂ«l. Je profite d’une journĂ©e seule pour faire le shooting photo pour le concours . J’emballe un carton vide avec du papier dorĂ© rapidement. Le rĂ©sultat n’est pas terrible mais bon … c’est juste pour quelques photos. Je part me maquiller dans la salle de bain. Cette fois-ci, je fais un maquillage rouge et blanc pour rappeler la mère NoĂ«l. Du eye-liner noir et de l’ombre Ă paupière rouge et blanche, suivi d’un rouge Ă lèvre rouge vif.
Je descends toutes les affaires dont j’ai besoin et je m’habille. J’enfile ma robe rouge et blanche Ă capuche, mes gants longs noir en vinyle, mes bottes Ă talons hauts noires vernies. Je garde seulement ma culotte et mes bas rayĂ©s de la tenue que j’ai mise toute la journĂ©e. Je me positionne ainsi devant l’objectif de mon tĂ©lĂ©phone. D’abord sans le cadeau puis avec. Une petite idĂ©e me vint. J’Ă©cris Alice sur le cadeau et j’entame de nouveau quelques clichĂ©s en me disant que ça lui fera bien plaisir. Sur la fin, je ne peux m’empĂªcher de sortir mon sexe et de penser Ă elle. Je me masturbe et prends quelques clichĂ©s, mon sexe sortie de son Ă©crin de tissus durant quelques minutes. Je remonte ainsi mettre les photos sur l’ordinateur mais je constate Ă mon grand regret que la qualitĂ© des photos est vraiment mĂ©diocre.
Assez flous et peu Ă©clairĂ©es. ForcĂ©e de constater que le temps Ă l’extĂ©rieur n’aide pas pour avoir de la clartĂ©. Il fait gris et il pleut. Je suis assez déçue mais tant pis. Je verrai une prochaine fois et ça ne m’empĂªche pas de continuer de plus belle ma masturbation, toujours en pensant Ă Alice, jusqu’Ă finir par jouir. Profitant du maquillage, j’entame un autre shooting avec une tenue vintage d’infirmière. Une blouse longue blanche aux manches ¾. J’y adjoint une paire de gants mi-longs en latex noir et la fameuse coiffe. Je garde mes bottes du prĂ©cĂ©dent shooting. Je prends Ă©galement un stĂ©thoscope pour plus rentrer dans le personnage. Je prends quelques poses semblables au prĂ©cĂ©dent shooting, jouant Ă©galement avec le stĂ©thoscope, puis je fais toute une sĂ©rie en portrait. Ce shooting est plus sage que l’autre. Par la suite, j’envoie une photo Ă Alice via mon tĂ©lĂ©phone portable, je met aussi ces clichĂ©s sur l’ordinateur puis je part me coucher un peu au lit, ressentant de la fatigue.
Alors que je somnole, je reçoit une rĂ©ponse d’Alice qui demeure impatiente d’Ăªtre ma patiente. Comme d’accoutumĂ©e, nous en revenons Ă nous dire Ă quel point il nous est difficile d’Ăªtre dans l’attente de notre future rencontre. Je me lève alors et je vois qu’elle est connectĂ©e sur le site. Nous commençons alors Ă discuter. Je la chauffe un peu en lui disant que je lui ferait une surprise avec mon costume de mère noĂ«l et qu’elle ne le dĂ©couvrira que bien plus tard. Je lui envoi malgrĂ© tout l’ensemble des photos en infirmière mais comme une conne, j’omets de retirer quelques photos de la mère noĂ«l, ce qu’Alice ne tarde pas Ă me faire savoir. Je suis très déçue par ma bĂªtise.
Elle me dit qu’elle n’en a vu qu’une et qu’elle supprimera toutes ces photos mais le mal est fait. Je m’en veux. Elle finie de tĂ©lĂ©charger les photos et me dĂ©cris ce qu’elle aime. Je la sent Ă©moustillĂ©e par ce qu’elle voit. Nous en venons vite Ă nous chauffer et je recommence Ă me masturber. J’envoie une photo Ă Alice via mon tĂ©lĂ©phone de moi en pleine masturbation. Je sais qu’elle aime voir ça, surtout que je lui fait savoir que c’est elle qui me met dans cet Ă©tat. Elle cherche Ă se concentrer sur un film qu’elle regarde mais je ne la laisse pas en paix. Je fini par jouir dans ma main gantĂ©e. Je refais un clichĂ© montrant mon gant souillĂ© par le sperme et un autre avec un filet de sperme s’Ă©tirant entre ma main et ma bouche. Je lui envoi ces 2 photos et lui disant de plutĂ´t se concentrer sur ça.
Elle m’avoue ne jamais avoir goĂ»tĂ© son sperme, ou du moins elle a essayĂ© une fois en se forçant. Nous en venons Ă parler du goĂ»t que cela a et la similitude gustative entre le sien et le mien. Elle me dit qu’elle aimerait bien essayĂ© de me sucer la prochaine fois et moi de lui rĂ©pondre que je voudrais qu’elle me prenne. Elle est assez hĂ©sitante lĂ dessus et prĂ©fĂ©rerai le contraire. Je dois bien avouer que je ne m’attendais pas Ă cela de sa part car mon sexe, bien que n’Ă©tant pas un braquemart d’Ă©talon, il n’en reste pas moins plus grand et gros que le sien et, la sachant dĂ©jĂ impressionnĂ©e par ma collection de godes, je pensais qu’elle aurait bien plus d’hĂ©sitation Ă me proposer une telle chose. Cependant, cette excitation retombe car elle remet le couvert sur son problème d’Ă©jaculation trop rapide.
Je la sent stressĂ©e voir, en colère. J’ai l’impression qu’elle me fait un reproche sur la chose. Je lui rappel que je ne lui en ai jamais tenue rigueur et que, au contraire, je cherchais Ă l’aider pour ça. Elle en convient et son esprit semble s’apaiser. Ouf, on a Ă©viter une crise. Nous finissons notre discussion sur des sujets divers et variĂ©s, m’indiquant avoir commandĂ© mon cadeau pour notre prochaine rencontre. Elle part au lit tandis que je me relance dans l’Ă©criture de ce rĂ©cit.
Le lendemain, nous discutons de tout et de rien, nous regardons ensemble les chaussures, bottes et cuissardes qui nous intĂ©ressent pour de prochains achats. Je lui envoi Ă©galement quelques liens trouvĂ© ici et lĂ sur le net pour ses soucis de rapiditĂ© qui la perturbe. La lecture la rassure un peu sur sa condition, dĂ©couvrant qu’un tiers des hommes ont le mĂªme soucis. Au dĂ©tour de notre conversation, elle en vient Ă m’appeler « ma chĂ©rie », ce qui me ravie, bien que je doute qu’elle ai conscience de l’impact que cela a sur moi. Cela me met de plus en plus en condition de lui avouer les sentiments, forts, que j’ai pour elle, cette envie de l’appeler « mon amour » ou tout autre mot doux se reportant Ă un lien d’amour que l’on pourrait avoir dans un couple.
Cependant, je ne le tente pas cette fois, me laissant Ă imaginer lui dire alors que nous serions en train de faire l’amour. Lui avouer durant nos Ă©bats me semblerait plus qu’opportun mais c’est Ă double tranchant. Ça peut la faire chavirer de bonheur tout comme la troubler au point de faire retomber la tension Ă©rotique entre nous deux.
La longue attente
Les vacances de NoĂ«l sont lĂ . Alice est partie de son cĂ´tĂ© pour faire le rĂ©veillon dans sa famille, Ă plusieurs centaines de kilomètres de lĂ et, sans doute dans un but de discrĂ©tion, elle ne se connecte pas au tchat. Je n’ai de ses nouvelles qu’en lui envoyant quelques sms. Le jour du rĂ©veillon, je lui envoi une photo de moi en mère noĂ«l, tenant un paquet cadeau notĂ© Ă son nom, participant Ă©galement Ă un concours pour l’occasion sur le site oĂ¹ on tchate.
J’avais fait, quelques jours plus tĂ´t, tout un shooting photo pour ça et je lui rĂ©serve l’ensemble des images. Il lui tarde de les voir toute et cette impatience se fait plus pressante en voyant la photo que je lui envoie. Le lendemain, en guise de cadeau de NoĂ«l, je lui envoi quatre autres clichĂ©s de la mĂªme sĂ©rie dont un que je n’osais pas lui montrer. En fait, j’avais beaucoup d’hĂ©sitation Ă le garder. On m’y voit en mère NoĂ«l, tenant un morceau de papier sur lequel j’avais notĂ© que je l’aimais.
Un message qui peut paraĂ®tre difficile Ă transmettre quand on ne sait pas ce que ressent l’autre ou, du moins, quand on se doute que l’autre ne ressent pas la mĂªme chose. C’est donc avec une certaine apprĂ©hension que ce clichĂ© part avec les 3 autres. Elle finie par me rĂ©pondre Ă son rĂ©veil, heureuse de l’envoi de ces 3 photos mais sans en dire d’avantage. Cela me rend un peu sceptique. A-t-elle fait attention au message ? Ou bien, le prend-t-elle juste pour une marque de sympathie ? Je n’en sais rien. Nous nous mettons alors Ă discuter un peu des cadeaux reçu Ă l’occasion de cette fĂªte.
Elle me manque beaucoup mais j’essaie de ne pas trop y penser, cherchant Ă m’occuper l’esprit sur autre chose, notamment en me remettant Ă faire des crĂ©ations 3D sur mon ordinateur.
Le retour
Alice rentre enfin de vacances mais elle est assez occupĂ©e par d’autres dĂ®ners en famille dans les environs. Toutefois, alors que je m’impatientais de pouvoir lui reparler, c’est avec une belle surprise qu’on se revoit sur le tchat plus tĂ´t que prĂ©vu. Je suis heureuse de pouvoir enfin lui reparler car cela me manquait beaucoup. Nous discutons des fĂªtes de fin d’annĂ©e puis nous reparlons des cadeaux que nous allons nous offrir, sans toutefois dire de quoi il s’agit. Nous reparlons Ă©galement de notre future rencontre, de ce que nous y ferons et des tenues que nous porterons. Nous nous mettons d’accord sur nos tenues en latex. Je porterai une robe d’infirmière verte menthe avec des bas que je dois recevoir et des gants longs blancs.
Elle, portera son ensemble chemise, corset jupe ouverte, bas et gants, comme la fois prĂ©cĂ©dentes. Je lui ai fait savoir que j’aimai beaucoup cette tenue. Il nous tarde autant Ă l’une qu’Ă l’autre que ce jour arrive. D’ailleurs, tous les jours suivants, nous rediscutons de ce moment futur et nous nous chauffons rĂ©gulièrement sur ce que nous souhaiterions faire et les tenues que nous porterions. Je n’hĂ©site plus trop Ă lui dire des « je t’aime » ou Ă l’appeler ma chĂ©rie mais sans jamais avoir les mĂªmes rĂ©ponses de sa part. Ça m’attriste un peu mais je m’y fait. Durant ces jours, quelques bonnes nouvelles s’accumulent. Tout d’abord, j’ai reçu les trois paquets attendus ainsi que de nouveaux bas en latex semi-transparent noir et, elle, a reçu aussi mon futur cadeau.
Enfin la plus grande nouvelle. Alors que je souhaitais la rencontrer le week-end après le nouvel an, j’avais bien des apprĂ©hensions quand Ă la venue de proches, comme Ă chaque fois mais dĂ©s le jeudi, j’appris que j’allais Ăªtre tranquille pour tout le week-end et je lui fis savoir, ce qui la ravit au plus haut point. Le petit bĂ©mol Ă©tait que j’étais invitĂ© Ă un anniversaire d’un proche le samedi soir. Ça me frustrait grandement car j’avais idĂ©e de passer aussi ma soirĂ©e avec Alice. Nous avons tant de chose Ă faire mais je finie par me dire que d’autre occasions seront bientĂ´t lĂ pour en profiter.
Après tant d’attente …
Le jour J arrive. J’ai eu un peu de mal Ă dormir suite Ă un cauchemar. Alice va Ăªtre un peu en retard. Je recevait un sms de sa part alors que j’Ă©tais en pleine prĂ©paration. Elle passe dans une boulangerie pĂ¢tisserie pour prendre le dessert du midi. Pendant ce temps, je m’habille comme elle le souhaitais. Une chemise style victorienne en satin noir et une jupe Ă©galement de style victorienne avec des froufrous un peu partout. J’y adjoint des bas noirs auto fixant et une paire d’escarpins rouge vernis. Le maquillage est basique. Fond de teint clair, blush rose, eye-liner et ombre Ă paupière noire et rouge Ă lèvre rouge vif (pour rappeler les chaussures).
Alors que je passe un petit coup d’Eludril pour avoir une bouche saine et une bonne haleine fraĂ®che, j’entends taper Ă la porte. J’ouvre la petite fenĂªtre et lui propose d’entrer le temps que je finisse. Je descends trente secondes plus tard. Je vois Ă son sourire que ma tenue lui plaĂ®t. En mĂªme temps, c’est elle qui le voulait. Nous nous saluons par une bise. Elle me tend la boite issu de la pĂ¢tisserie que je m’empresse de mettre au frigo alors qu’elle commence Ă se dĂ©shabiller. En effet, comme je lui avais soumis l’idĂ©e, elle pourrait venir dĂ©jĂ habillĂ©e, ses vĂªtements fĂ©minins en dessous des masculins, afin de gagner un peu de temps pour la prĂ©paration. Elle a donc mit un haut rouge ornĂ© de grosse dentelles sur le haut et un legging en simili-cuir. Elle retire ses chaussures pour enfiler une paire qu’elle vient de recevoir, rose et noire, au talons de 16cm bien qu’elle ne soit pas habituĂ©e Ă une telle hauteur pour marcher avec.
Elle enfile alors un petit bolĂ©ro en dentelle noire, manifestement trop large pour elle aux Ă©paules mais dont les manches semblent trop courtes. Alors que je suis prĂ©s d’elle, mon regard se porte sur une poche plastique dans laquelle se trouve un paquet cadeau de bonne taille. Nous discutons rapidement et je lui indique que, ma sÅ“ur passera me prendre pour le repas du soir vers 19h30, ce qui fait que nous avons jusqu’Ă 19h environ pour nous amuser avant de tout plier. Elle file dans la salle de bain pour se maquiller. De temps en temps, je passe la voir pour voir oĂ¹ cela en est. Comme Ă son habitude, elle met pas mal de temps pour se faire belle mais le rĂ©sultat en vaut la peine. Elle souhaite tester une autre idĂ©e que je lui ai soumise via le tchat. Après avoir vue quelques photos d’une autre membre du site, je souhaitais la voir avec un maquillage gothique noire et une perruque blonde.
Pour se faire, elle s’entoure les yeux d’un maquillage noir profond et met un rouge Ă lèvre noir. Elle enfile ensuite la perruque qu’elle portait la première fois, un peu cosplay et forcĂ© de constater qu’elle est superbe ma petite gothique. Nous redescendons et entamons le shooting photo. Contrairement au passĂ©, elle sera le sujet principal des photos mĂªme si je passe devant l’objectif aussi. Nous faisons Ă©galement bien plus de photos Ă deux et je me montre bien plus tactile que d’habitude. J’aime Ăªtre dans ses bras, j’aime la sentir près de moi mais j’Ă©vite de trop forcer car je ne veux pas en faire trop de suite. Elle m’a tellement manquĂ©e que je veux en profiter un maximum pour la tenir contre moi. Elle change de veste par une qu’elle avait mis prĂ©cĂ©demment, avec des manches Ă©vasĂ©es, celle en dentelle l’agaçant un peu par la trop grande taille. Je l’aide Ă©galement Ă tirer son legging vers le bas pour diminuer les plis et donner un effet serrĂ©. Nous faisons quelques photos, main dans la main puis elle change encore de haut.
Elle retire sa veste et son haut rouge pour enfiler une mini-robe noire moulante Ă manches longues. Nous refaisons des photos ensemble, l’un derrière l’autre, se tenant par la taille. Nouveau changement de haut pour elle par un haut style victorien blanc tandis que je me change pour mettre une robe noire satinĂ©e du mĂªme style. Elle m’aide un peu pour le corsage arrière car la robe Ă©tant assez juste, je ne souhaite pas qu’elle se dĂ©chire Ă certains endroits. Je change aussi mes escarpins par une paire noire suivi de quelques clichĂ©s oĂ¹ je joue aussi les modèles.
Par la suite, je lui propose de changer de perruque pour tester l’une des miennes, une longue perruque blonde aux cheveux lĂ©gèrement ondulĂ©s. Je lance le gaz pour faire chauffer la poĂªle pendant l’essayage. Nous remontons dans la salle de bains et entamons les essais. Le rĂ©sultat est superbe, tout simplement. J’adore, ça lui va très bien. Toute cette chevelure bonde lui entourant le visage fait bien ressortir son regard et sa bouche teintĂ©s de noir. Se voyant dans la glace, elle aime beaucoup le rĂ©sultat et se promet d’en acheter une elle aussi. Nous redescendons encore, le temps de faire deux-trois photos le temps que la nourriture cuise puis je met la table et nous mangeons enfin. Du lĂ©ger avec des lĂ©gumes, suivi des trois pĂ¢tisseries qu’Alice a emmenĂ©e et que nous partageons Ă moitiĂ©.
Alors que nous remontons dans la chambre pour choisir des tenues, Alice me tend le paquet cadeau et je lui donne le mien. Ainsi, nous dĂ©couvrons nos cadeaux respectifs. Elle dĂ©couvre alors l’ensemble des fringues qui lui permettrons d’Ăªtre belle mĂªme en dormant. De mon cĂ´tĂ©, je dĂ©couvre une très belle paires de bottes blanches en cuir, Ă lacets sur le devant avec une petite sangle Ă la cheville et des talons de 14cm avec une belle plate-forme. Alice paraĂ®t un peu inquiète de savoir si ça me plaĂ®t mais est bien vite rassurĂ©e. Je m’empresse de les essayer et elles me vont impeccables.
De mon cĂ´tĂ©, je suis heureuse de voir qu’Alice apprĂ©cie aussi son cadeau qu’elle essaie de suite. La taille des vĂªtements paraĂ®t la bonne mais elle tilte sur les culottes livrĂ©es avec les tenues, qui sont deux strings qui ne cacherons rien de son clito, mĂªme non gonflĂ© et s’en amuse mĂªme. Nous revenons Ă nos moutons en regardant les tenues a tester. Je lui choisie une robe d’Ă©tĂ© lĂ©gère, rouge Ă pois blancs, qui me va assez serrĂ©e. Inutile de lui prendre des vĂªtements qui me vont bien car ça lui irait bien trop grand et ça lui tomberai, ce qui ne serait pas terrible pour les photos. J’y adjoint une robe en vinyle rouge que je voulait lui faire essayer. C’est une robe sirène prĂ©s du corps Ă manches longues Ă©vasĂ©es sur le bas et Ă col haut.. Me concernant, je me prend une robe d’Ă©tĂ© rouge Ă pois blancs et tour de cou ainsi qu’une robe longue en vinyle Ă tour de cou avec col intĂ©grĂ©. C’est le style robe Marilyn Monroe avec le haut blanc et la jupe noire.
Je rajoute à ça mes gants longs en vinyle noir. Je me change de suite pour mettre la robe rouge tout en gardant les nouvelles bottes. Nous redescendons mais pour aller dans le bureau oĂ¹ se trouve un canapĂ© clic-clac. Alice commence Ă prendre quelques photos avec sa lingerie de nuit, prenant quelques poses sur le canapĂ©. Je la rejoint encore une fois pour quelques photos amusantes, tantĂ´t assises l’une Ă cĂ´tĂ© de l’autre, tantĂ´t allongĂ©es sur le canapĂ© ou l’une allongĂ©e sur l’autre qui est assise. Alice se change pour enfiler la robe longue Ă pois. Les poses sont sensiblement les mĂªmes qu’avant mais Ăªtre l’une contre l’autre me plaĂ®t beaucoup et nous faisons les idiotes par des poses un peu absurdes. Je dĂ©cide de changer le rouge Ă lèvre pour que cela aille d’avantage avec la robe. Je me met du stick noir mais le rĂ©sultat ne me plaĂ®t pas. Alice me vient en aide puis nous redescendons au bureau.
coucou je viens de dĂ©couvrir ce site et je dois avouez que je l’adore dĂ©jĂ ^^ .
je ne sais donc pas si ce poste est vieux ou pas mais j’adore cette histoire et bien envie de connaitre la suite