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La rencontre (Episode 1)

par Histoires de Sissy

Mes débuts

Je m’appelle Constance … enfin pas vraiment. Constance, c’est mon petit prénom que je me suis attribuée pour mon côté féminin. En réalité, je suis un homme. 35Ans, un léger surpoids, des cheveux longs ondulés pour mon mètre soixante cinq. Depuis de nombreuses années, j’ai pris l’habitude de me vêtir en femme. Un petit bout de femme qui ne paye pas de mine avec des looks assez particuliers : gothique, rockabilly, victorien, etc, sans compter les divers uniformes… J’ai aussi un profond attachement pour l’univers fétichiste et notamment les matières plastifiées brillantes que sont le latex, le vinyle ou le pvc. Durant toutes ces années à me vêtir de la sorte, j’ai pu réunir une garde robe assez impressionnante.

Je peux dire, sans me tromper, que ma garde robe masculine est devenue ridicule. J’ai commencé ce changement féminin il y a de nombreuses années. Quinze, peut-être même vingt ans ou plus. Je ne me souvint plus très bien. Je me souvient surtout de mon tout premier achat. J’avais 18ans et je venais d’acquérir mon premier chéquier et ma carte bleue. Je m’empressais de passer commande via un site internet où on pouvait payer par chèque. Je choisis un site dans l’adresse était dans la grande ville proche de chez moi. Cela me réconfortait d’un côté alors que cela était parfaitement inutile.

Je commandais donc une paire de gants longs en vinyle, qui deviendra l’accessoire indispensable par la suite. S’en suivi bon nombre d’autres commandes, toutes basées sur le vinyle puis vint le latex. J’étais passionnée par ces matières qui m’excitaient énormément.

Ce n’est que bien plus tard que j’essayais les vêtement féminins basiques. Je piquais quelques fringues dans les affaires de ma sœur et de ma mère. Bon, rien de folichon ou sexy. C’est aussi à ce moment là que je testais les talons hauts avec une paire de bottes de ma sœur effet velours. Cela me plus beaucoup. C’est ainsi que je commençais à me faire toute une garde robe. Le temps passait et vint mon premier amour. J’avais 22 ans. Une belle fille dont les parents étaient des amis des miens. Elle, n’avait que 16ans. Nous restâmes ensemble 2 ans. L’envie de continuer à me travestir restait présent durant cette période. Un jour pour rigoler, cette fille me demanda de mettre quelques unes de ses fringues.

Grave erreur pour elle. Alors que ce n’était qu’un jeu, je prenais bien du plaisir et j’étais très souvent en demande de ça. Cela eu pour conséquence un éloignement avec elle qui se termina par une séparation la veille de Noël et par sms. Je repartie donc pour un célibat de longue durée malgré mes tentatives sur des sites de rencontres et un espoir vain de pouvoir revenir avec elle.

J’assume

Cela fait 4 ans que j’ai sauté un pas important, celui de me vêtir de la sorte devant mes proches, famille et amis. Ce ne fut pas chose aisée je dois bien l’avouer. Au début, je ne portais qu’une jupe longue que j’avais piquée à ma sœur avec mes t-shirt d’homme. Je la mis devant mes grands parents qui, bien que trouvant cela bizarre, ne firent pas plus de commentaires que ça. Une première victoire si je puis dire.

J’étais en vacance avec eux à l’étranger. Lors de mon retour, je remis ma jupe, tentant l’expérience avec ma mère. Elle aussi trouva cette attitude étrange mais ça n’allait pas plus loin même si je voyais bien que ça la dérangeait. Après la jupe, ce fut les premières robes. Des robes longues dans le styles bohème (style que j’affectionne encore aujourd’hui) puis vint les talons hauts. Mes proches te mes amis prirent l’habitude de me voir ainsi. Je prenait de plus en plus d’assurance mais pas encore assez pour oser me maquiller.

Je fis également connaissance avec une couturière qui me répara une robe renaissance. Elle me demanda si c’était pour moi et me dit que ça ne la dérangeai pas du tout. Alors que j’étais en homme, je revins la voir par la suite vêtue en femme, d’abord naturelle puis maquillée par la suite. Elle continua à me réparer des fringues et elle m’en créa également. Aujourd’hui, nous sommes encore en contact. Par ailleurs, je suis, aujourd’hui, capable de sortir faire des course ainsi vêtue (sans maquillage mais vêtue en femme).

Cependant, j’évite les hauts talons dans ces conditions. Trop galère pour marcher longtemps ou conduire, d’autant plus que je dispose de très peu de chaussures ou bottes à petits talons. Je vis seule non loin d’une grande ville du Sud de la France.

Le site

En début d’année, je me suis inscrite sur un site qui s’apparente assez à un réseau social dédié à quelques pratiques érotiques dont le travestisme. Un site dans lequel je me suis sentie de suite à mon aise, ce qui m’a donné envie de participer activement. J’ai fait pas mal de rencontres d’autres travesties. Ça me fait me sentir moins seule. Je rencontre aussi bien de belles travesties, très féminines, que des travelos poilus qui suintent le mâle à 3km.

Mon activité s’intensifiant sur ce site, j’ai pris du galon et j’ai commencé à créer des sujets pour animer le forum. Les photos que je poste de moi ont un certains succès bien que je me trouve moins belle que d’autres. Certaines personnes m’abordent via le tchat pour me dire qu’elles me trouvent attirante mais, souvent, je tombe sur des gros beaufs qui ne pensent qu’avec leur bite. C’est le genre « Salut ! T’es bonne. ».

Le seul truc que je me dit dans ce cas là c’est « Au revoir ! Connard ! ». Je ne supporte pas ce genre de goujat queutard qui prend les travesties pour des putes ou des salopes. Bon, il est vrai que certaines le sont, pour notre plus grand malheur. A se demander si elles ont un tant soit peu d’estime pour elles même. L’été venant, j’organise un grand défi, celui de rencontrer d’autres membres durant les grandes vacances estivales.

Première rencontre : l’essai

Je dois patienter pour rencontrer une première travestie qui vit non loin de chez moi, prés de cette grande ville, ce qui me stresse pas mal, d’autant plus que certaines commencent déjà à poster des photos de leur rencontre. Très sympa au demeurant. Elle vient chez moi, déjà vêtue en femme et maquillée, pour un shooting photo et discuter. C’est ce que nous avions convenues. Point de relation sexuelle en vue car elle ne le souhaite pas mais je dois avouer que les premiers clichés qu’elle avait posté d’elle me donné envie d’aller plus loin.

Par respect pour elle, je ne tente rien durant notre rencontre même si certains essayages m’émoustillent pas mal, notamment le moment où je lui fait essayer une tenue de soubrette en latex. Elle est bien foutue mais malheureusement, mes tenus lui vont trop grandes. Vient le moment de faire briller cette tenue. Je badigeonne sa tenue de lubrifiant. J’évite autant que possible de m’attarder sur certaines zones comme ses fesses même si l’envie de les caresser se fait sentir. Après un bon après midi à faire des clichés, nous discutons un peu puis elle repart chez elle. Le lendemain, nous rediscutons un peu et prévoyons une seconde rencontre mais chez elle une semaine plus tard. Le programme ? Rebelote. Photos et papotage.

Un après midi bien sympa, comme la première fois. Par la suite, ayant échangé nos numéros, nous nous envoyons quelques sms pour se donner des nouvelles mais le contact avec elle se fait de moins en moins souvent. Je constate aussi que c’est surtout moi qui cherche à la contacter et elle a tendance à me répondre qu’elle est sacrément occupée. Elle peine également à me répondre à des mails que je lui envois, parfois une semaine plus tard. Depuis, constatant que cette rencontre n’a pas eu une grande importance pour elle, je ne l’appel plus. Pourquoi chercher à entretenir une relation quand l’autre n’y prête pas plus d’importance que ça ?

Seconde rencontre : l’attirance

C’est ainsi que, durant cette période, une autre travestie, Alice, débarque sur le site. Elle vient à ma rencontre via le tchat. Assez timide je dois dire mais peu importe. Elle écrit et s’exprime bien. Elle cherche à contacter des travesties plus expérimentées pour aller plus loin dans son parcours de sissy et mon statut de modératrice et une belle liste de contact lui font dire que c’est mon cas. Je tente de la rassurer, que les gens sont sympas ici et qu’elle n’a pas a hésiter à demander de l’aide. Enfin … il me semble que j’ai agit ainsi. Je ne me souviens plus exactement. Quelques temps plus tard, elle m’envoie, une première photo d’elle, vêtue d’une tenue d’écolière (chemise blanche, jupe courte et cravate).

Le sourire est absent mais je lui trouve quand même un certain charme. Un visage fin et une perruque blonde qui fait d’avantage cosplay qu’une coiffure normale mais ça lui va bien au final. S’en suit rapidement une seconde photo de sa tête en gros plan, des lunettes de vue sur les yeux. Toujours pas de sourire mais les détails se dessinent. Enfin, elle m’envoie une troisième photo. Je flashe de suite. Cette fois-ci c’est la bonne. Le visage est de face et rayonnant de beauté et un joli petit sourire sur ses lèvres teintes en rose s’affiche enfin. Je vois d’avantage le maquillage de ses yeux, très réussi soit dit en passant. Bref, elle me plaît et je la trouve très attirante. Pendant de nombreux jours, nous discutons de sa condition de sissy, du site et de ses membres, des photos que j’ai déjà posté et qui l’attirent pas mal.

Je l’encourage même à franchir le pas et à se montrer en photos aux autres membres. Vu son physique, elle devrait avoir un certain succès mais elle n’ose pas, elle hésite car elle a peur qu’on la reconnaisse. Je tente de la rassurer et elle concède à s’afficher pour participer à l’un des défis. Malgré tout, elle cache son si joli visage. Je suis un peu déçu mais, après tout, c’est une étape de franchie pour elle. Je lui parle également d’un autre défi pour la période d’halloween. Bon, rien de folichon ou de sexy.

Il suffisait que les membres travesties se déguisent pour cette fête. Avec cette nouvelle sissy, nous discutons de ce défi et j’émets l’idée d’une soirée costumée le week-end suivant la fête des morts, en espérant recevoir celui que j’ai commandé. Elle trouve l’idée sympa. Habitant dans la même zone géographique que moi, je lui propose donc d’organiser cette soirée à mon domicile en invitant l’autre sissy que j’avais rencontré durant l’été. Je la sent hésitante car elle n’a jamais rencontré d’autres travesties en vrai. Encore une fois, je tente de la rassurer en lui disant que tout se passera bien et que l’autre sissy est bien sympathique et puis, je lui dit aussi qu’elle pourrait ainsi me montrer comment elle se maquille pour s’occuper de mon visage vu qu’elle paraît plus précise, notamment sur le eye-liner. Finalement elle accepte. Les jours passent.

Nous continuons à discuter chaque jour. Je découvre que nous avons finalement bien des points en commun, notamment un certains goût prononcé pour le latex, ce qui me ravie. Je lui dit aussi qu’il serait préférable de s’organiser un après-midi car la qualité des photos le soir n’est pas terrible. Elle accepte. Je m’inquiète de ne pas pouvoir recevoir mon costume à temps. De plus, je n’ai pas de réponse de la première travestie. Autre détails qui me gène et qui risque de tout faire capoter, la potentielle présence de proches le jour de la rencontre. 2-3 jours précédents la rencontre, j’ai deux nouvelles qui arrivent. Les proches ne seront pas là durant le samedi et l’autre sissy ne viendra pas car trop overbookée.

Je préviens Alice qui paraît ravie de la nouvelle car ça la stresse moins du coup. J’en profite pour lui donner mon adresse et mon numéro de téléphone des fois qu’elle se perde en chemin. En revanche, j’ai la bêtise de ne pas lui demander le sien. Elle m’indique également qu’elle viendra en homme et qu’elle se changera chez moi, ce qui ne me pose pas de soucis.

Le moment est venu

La veille de sa venue, je fais les derniers préparatifs. Un « petit » nettoyage de la maison s’impose. Je ne peux pas recevoir quelqu’un dans la saleté, encore que seules quelques pièces ont besoin d’un réel coup de balais. Il est prévu qu’elle arrive le samedi en début d’après midi. Le matin même, après une toilette et un bon rasage, je part faire 3 courses, manière de la recevoir et de lui offrir un truc à boire.

Un jus de fruit et un brownie devraient aller. J’en profite pour quelques achats pour le midi. Je finie 2-3 trucs dans la maison et je mange. Plus qu’une petite heure avant son arrivée. Il faut faire vite pour trouver quoi me mettre. Je souhaite mettre une tenue qu’elle a vu dans mes photos et qui lui plaît beaucoup, en l’occurrence une jupe crayon et une chemise cintrée, le tout en vinyle noir. Malheureusement, impossible de refoutre la main dessus. Je fouille partout mais je ne trouve pas. Je me rabat alors sur une autre tenue. J’enfile une paire de bas noir, mon corset en vinyle noir, une paire de gants mi-longs en latex noir, un chemisier manches longues en satin rouge foncé avec une lavandière devant, une jupe crayon longue en vinyle noir.

Je complète le tout par une veste en vinyle que je me suis fait faire et une paire d’escarpin à bout ouvert en vernis noir brillant. J’ajuste ma coupe de cheveux par un serre-tête. Pas de maquillage de prévu puisqu’elle est censée me le faire. Toutefois, même si je sais qu’elle viendra en homme, je n’aime pas cette situation de me présenter à elle sans maquillage. Il est vrai que je préfère m’en cacher de mes proches et de mes amis mais pas des autres travesties. J’ai cette impression de ne pas montrer la Constance qu’Alice connaît et qu’elle apprécie.

Je reçois alors un message de sa part. Elle m’indique que, pour ne pas me choquer, elle m’envoie une photo d’elle au naturel, en homme. Ça ne me choque pas des masses mais j’avoue ne pas être fan de voir les sissy au naturel. Je trouve que ça gâche pas mal, voir ça peut couper tout moyen, surtout quand une travestie comme elle m’attire beaucoup. Je regarde, malgré tout sa photo et cela me perturbe. J’y vois une certaine ressemblance avec Alice mais cela reste vague. Je n’éprouve pas d’attirance pour le genre masculin. Ce qui m’attire chez les travesties, ou les transsexuelles d’ailleurs, c’est cette part de féminité, que ce soit la tenue vestimentaire, le maquillage ou la coiffure. Concernant Alice, sur ce point, je la trouve très attirante … mais pas son alter ego masculin.

Ce n’est pas que physiquement il soit moche mais je ne suis pas attirée par le mâle. Par ailleurs, qui suis-je pour critiquer le physique ? Le mien n’est pas terrible et ne m’a jamais valu une quelconque attirance de la gente féminine si ce n’est ma première petite amie. C’était il y a douze ans. Elle me voyait comme le prince charmant mais cette propension au travestissement aura eu, en partie, raison de cette relation de deux ans (enfin d’un an et demi, les derniers six mois étant assez …chaotique, sur un plan relationnel).

L’heure vient mais pas elle. J’attends un peu dehors, côté jardin arrière, même s’il ne fait pas spécialement chaud. Je vérifie la moindre voiture qui vient dans ma direction pour voir si elle ne ralentie pas vers chez moi. Il va se passer une bonne vingtaine de minutes avant que je vois enfin sa voiture. Je rentre chez moi et je souffle un bon coup avant d’ouvrir la porte. C’est un peu idiot car, ayant eu une précédente rencontre, je ne devrait pas être stressée. Elle est en train de sortir une énorme valise de son véhicule.

Je plaisante un peu en imaginant qu’elle déménage chez moi. Arrivée à ma hauteur, je croise son regard. Je le sent insistant. Je la fait rentrer et, étant peu de temps après le repas, je lui propose un petit café qu’elle accepte volontiers. Même si je ne la regarde pas directement, je sent quand même que son regard reste insistant. Je me dit que ça doit être ma tenue et que j’ai finalement fait un bon choix. Nous discutons un peu et elle me fait découvrir le contenu de sa valise. Je crois qu’elle a dévalisée sa garde robe. Pas mal de fringues de différents styles mais un choix de chaussures très limité. Une paire de bottines seulement. Elle me montre l’ensemble qu’elle avait acheté pour Halloween ainsi que son costume d’écolière.

Nous montons alors dans la salle de bain pour se préparer et se maquiller. Elle commence devant le miroir. Premier constat que je fais lorsqu’elle se maquille, elle est assez précise mais va par petits gestes, ce qui fait que son maquillage est assez long à mettre en place. Alice en profite pour me présenter sa trousse à maquillage et son contenu. Elle à moins de produits que moi mais c’est plus des produits de qualité plutôt que mes produits « low cost » acheté dans des Gifi et autre Foire-fouille. Une fois terminée, elle enfile sa perruque que j’avais vu sur les photos.

Je reconnais bien la sissy que j’avais vu sur le site et je m’en ravie, d’autant plus que je n’avais pas remarqué ses yeux verts bien mis en valeur par le eye-liner noir, ce qui la rend vraiment craquante.
Elle m’indique que c’est à mon tour. Elle me fait raser un peu plus mon visage, notamment prés des oreilles puis commence son affaire. Elle s’y prend à plusieurs reprise sur le mascara qui n’est pas assez sombre puis tente un maquillage assez précis des lèvres mais n’est pas satisfaite. En me regardant, c’est vrai que c’est un peu de travers.

Je prends un mouchoir et essuie toute ma bouche en lui disant que je vais lui montrer ma méthode, plus rapide et simple. J’étale donc le stick à lèvres sur ma bouche, l’étale en bougeant les lèvres, quitte à dépasser pour agrandir mes fines lèvres et, avec mon petit doigt, je passe dans le sillon entre le nez et la bouche pour refaire le creux du milieu. C’est pas parfait mais c’est mieux. Nous redescendons au rez de chaussée où elle enfile une première tenue, celle d’écolière. Une chemise blanche et une jupe crayon assez courte avec des bas en dessous et sa paire de bottines. Pas de cravate noire cette fois mais elle reste très belle.

Nous commençons à prendre quelques clichés avec mon téléphone portable dans le salon puis je lui propose d’aller un peu dehors pour continuer. On rentre rapidement à cause de la fraîcheur extérieur et je sent aussi qu’elle stresse qu’une voiture qui passe par là nous remarque. Une fois dedans, c’est à mon tour de poser. Je retire mes gants et ma veste et prends quelques poses après quoi nous faisons quelques clichés ensemble, nos têtes l’une contre l’autre.

Elle met son costume d’Halloween par la suite. Une chemise style victorienne blanche, une jupe mi-longue asymétrique et une veste noire à manches évasée. Elle a malheureusement paumée sa fausse paire de canines pour faire vampire mais c’est pas bien grave. Elle est quand même superbe. Pour être dans le ton, je m’habille moi aussi avec une chemise blanche à jabot et manches évasées et une longue robe noire.

Je regrette de ne pas trouver la bonne jupe que je voulais pour faire d’avantage victorienne. Comme précédemment, je pose à mon tour et nous posons ensemble. La tenue suivante qu’Alice met est assez provocante car elle veut un style pute. Elle enfile un petit haut très court qui se noue devant, une mini jupe rose fuchsia, des mitaines en filet rose et une belle paire de cuissardes noires vernies à lacets arrière. Les poses ne sont pas des plus sexy mais bon … On a pas trop d’idées en fait pour ça. De mon côté, je revêts une tenue d’infirmière courte en vinyle rouge et noire, une paire de cuissardes vernies et une paire de gants longs noirs en vinyle.

Je fignole le tout par une coiffe d’infirmière en vinyle noire et rouge. Pas de photo ensemble cette fois. N’ayant pas trop d’idée pour la suite, je l’invite à visiter ma chambre pour qu’elle choisisse l’une de mes tenues si elle souhaite en essayer. Elle jette son dévolue sur une tenue de soubrette noire dans le style des soubrettes lolita japonaises, avec les lanières du tablier qui se croisent au dos.

Je lui prête une paire de chaussures lolita vernis noir légèrement trop grandes pour elles (elle fait une pointure de moins). Elle est toujours aussi belle. Cet uniforme lui va à ravir. Avec sa perruque, on dirait un personnage de hentai. Pour être dans le ton, je met une tenue de soubrette victorienne longue noire avec le long tablier blanc devant en rajoutant une petit coiffe sur la tête. Je lui dit de choisir plusieurs fringues pour faire plusieurs tenues en une série de photos. Nous redescendons au salon. Le soleil commence à se coucher, déjà. Nous reprenons le shooting photo mais nous déplaçons dans la cuisine, mieux éclairée que le salon. Encore une fois, elle commence devant l’objectif puis c’est à mon tour et quelques photos ensemble. Nous nous tenons par la taille, nos têtes étant l’une contre l’autre. J’aime beaucoup cela, je dois bien l’avouer. L’avoir toute prête de moi me donne quelques frissons.

Elle se change et met une tenue d’écolière que j’avais portée pour un défi. Ça lui va un peu grand mais bon … S’en suit une robe de soirée à épaules nues qui lui va très bien. Quelques petits moments de rigolades ponctuent cette série de clichés.
Le latex

Le manque d’idée se fait sentir et nous remontons dans ma chambre pour trouver d’autres tenues. Nous décidâmes de jeter notre dévolue sur deux tenues de soubrette en latex. Il est grand temps de passer aux choses sérieuses et coquines, si je puis dire. La suite ne me donnera pas totalement tort. Nous descendons les tenues et nous habillons dans le salon. Nous nous déshabillons.

Elle reste en culotte tandis que moi je n’hésite pas à me montrer nue devant elle. Elle enfile des bas en latex et tente de mettre une paire de gants longs qui lui sont un peu trop grand sur le haut. Alice décide d’enfiler une paire de mitaines à la place. De mon côté, je mets un porte jarretelle, mes bas, une paire de gants longs et mon uniforme auquel j’accroche le tablier blanc. Je viens vers elle pour l’aider à enfiler sa robe car il n’y a pas de système pour l’ouvrir.

Décidément, je la trouve vraiment désirable dans sa tenue. Je lui propose de l’aider à lubrifier sa tenue pour la faire briller. Je profite de pouvoir toucher son corps fin pour tout étaler, qu’elle soit bien brillante. Je m’attarde un peu sur son joli cul et ses bas. Je veux profiter un peu d’elle, de son corps, sans que cela se remarque trop. Si je ne me retenais pas, je commencerai à lui embrasser ses fesses désirables et ses jambes devenues bien brillantes. A mon grand regret, je doit cesser ces caresses furtives, sa tenue étant entièrement lubrifiée. C’est donc à mon tour d’être lubrifiée et être touchée par elle sur tout mon corps m’excite bien.

J’espère que cela ne se voit pas trop … Encore que … Nous profitons de cette séance de lubrification pour prendre quelques clichés. Comme je le craignais, la qualité des photos devient plus faible. Elle me lubrifie le dos et, sans que je m’y attende, pour avoir une bonne photo, Alice vient se collait contre moi, ce qui m’électrise complètement. Je colle mes mains sur ses jambes pour la collait d’avantage. J’aurai tellement que ce moment dure bien plus longtemps. J’aimerai tellement pouvoir me retourner et procéder à un long baiser sur sa petit bouche peinte de rose mais je n’ose pas bouger car je ne sais pas la réaction qu’elle aurait si j’avais tenté cela.

Je ne veux pas passer pour quelqu’un de trop pressée, trop accroc au sexe et, elle, est plutôt timide et ne sais pas trop comment réagir avec une autre sissy. Je ne veux pas la brusquer même si son geste me fait dire qu’elle commence enfin à se lâcher. Je l’imagine déjà aller encore plus loin et, lors de la lubrification de mes bas, j’aurai tant aimer qu’elle me caresse les jambes. Malgré cela, je ne bande presque pas. Tout est dans ma tête et le besoin de me contrôler pour ne pas aller trop vite en besogne m’empêche d’avoir une érection qui pourrait être terrible si les choses venaient à aller plus loin. Une fois lubrifiée, l’une et l’autre, nous continuons les clichés un peu plus décomplexés.

A peine quelques photos et elle change de tenue en se mettant une robe courte en latex. Elle change également sa paire de chaussure pour une paire d’escarpins qui, après vérification des clichés, lui vont bien trop grand. Je fait quelques photos basiques et, avant de rechanger de tenue, je lui demande une dernière photo avec sa robe relevée pour voir ses bas … et accessoirement ses jambes.

Le bondage

Une idée me vint. Je lui demande si elle a déjà tenté le bondage. Elle me répond négativement mais elle souhaiterai essayer. Qu’à cela ne tienne ! Je remonte dans ma chambre pour aller chercher le nécessaire. Dans les escaliers, alors qu’elle ne me voit pas, je me dit à voix basse : « Si elle savait comment elle me fait de l’effet… J’ai tellement envie d’elle ». Je prend une boite contenant tous les accessoires servant au bondage ainsi que mes sex-toys. Je redescend et lui montre un peu tout ce que j’ai pour faire les prochains clichés.

Elle est impressionnée par la taille de certains godes, m’indiquant qu’elle n’en utilisait pas d’aussi gros et grands. Je prends le nécessaire et on va s’installer dans la cuisine. On prend une chaise avec nous. Comme je suis encore en soubrette et elle en robe courte, on va dire que c’est la dominatrice et moi la soubrette. Je m’installe sur la chaise.

Elle me met les attaches aux chevilles, des menottes aux poignets et, petit plus, une boule bâillon qui peine à rentrer. J’ai aussi pris une cravache pour qu’elle soit dans le rôle mais je ne la sent pas à l’aise dans ce rôle là. Elle est plus de nature soumise. Je comprend sa réticence car je suis comme elle, soumise par nature, encore que je m’adapte en fonction de la sissy. Je peux aussi jouer à la dominatrice. Après quelques clichés, elle décide de se changer pour mettre un catsuit. Pendant qu’elle se change, je prends quelques selfies avec la cravache en mode soubrette dominatrice. En quelque sorte, je me prépare à ce qui va suivre.

C’est durant ce petit laps de temps que je la vois hésitante sur un détail, anodin au demeurant, à savoir mettre la combinaison avec ou sans culotte. Elle se décide, finalement sans. J’ai alors le plaisir de la voir nue un très court instant. D’abord de dos alors qu’elle passe la combinaison en latex puis de face quand elle remonte la fermeture éclair, m’imprégnant de la vue de son petit clito tout mignon qui disparaît pratiquement aussitôt sous le latex. Je l’ai à peine aperçu et pourtant, il me fait énormément envie… comme le reste d’ailleurs. Elle remet ses cuissardes et une paire de gants courts pour compléter sa tenue.

Elle revient vers moi, s’amusant un peu avec la cravache puis s’asseyant sur la chaise. Je commence alors son initiation au bondage. Un premier aperçu soft de cette discipline. J’aimerai avoir plus de matos pour y jouer mais je fais avec le peu que j’ai. Comme elle fît pour moi, je lui attache les chevilles, les poignets et je lui met la boule bâillon dans la bouche. Elle est tout simplement délicieuse. On dirait une petite créature apeurée et chétive. J’hésite à jouer le rôle de mère pour la rassurer ou celui, prévu, de soubrette sadique. Après quelques photos, je lui demande de se lever, le temps de virer la chaise. Je joue toujours de la cravache et l’utilise pour lui indiquer (ou plutôt lui ordonner) de se mettre à genou devant moi.

On se regarde dans les yeux. J’aime son regard, je ne peux m’en détacher, ce qui est plutôt une bonne chose pour prendre une photo. Je la fait mettre à quatre pattes, et lui assène, sans forcer, un petit coup de cravache sur les fesses. Alors qu’elle regarde devant elle, une multitude de chose me viennent à l’esprit quand je baisse les yeux pour mater ses fesses de latex. L’envie de continuer à la cravacher mais je ne veux pas lui faire de mal, l’envie de lui caresser les fesses, voir d’ouvrir sa combinaison pour lui titiller de ma langue sa petite chatte de sissy pendant que je lui caresserai les fesses d’une main et son clito de l’autre. Toutes ces images se mélange dans ma tête.

L’envie également de me caresser mon propre clito alors qu’elle ne regarde pas. Toutefois, je n’en fait rien. Je ne veux pas aller trop loin avec elle. Je ne la sent pas encore prête pour ça et j’ai toujours cette peur de passer pour une folle du sexe qui ne sait pas se contrôler.

Elle me sort de mes pensée en me proposant de faire des photos avec une cagoule en latex ne laissant que les narines et la bouche d’ouvertes. Elle l’enfile sur sa tête après avoir dû enlever sa perruque mais je souris en voyant que ça lui déforme légèrement le visage et son nez car elle n’est pas implacablement bien placée. On fait sensiblement les mêmes photos que précédemment. Je la fait mettre à genou à côté de moi tel une chienne assise aux pieds de son maître puis de nouveau à quatre pattes. Je repose une dernière fois la cravache sur ses fesses pour la photo et elle retire la cagoule. Je lui demande si je peux l’essayer pour voir les sensation.

Je n’en ai jamais portée de telle et cela m’intrigue et m’attire fortement. Elle accepte et me l’enfile sur la tête. C’est une sensation étrange et agréable ma foi. Ça me serre assez le visage tant bien que, même si cela couvre les yeux, ces derniers restent fermés. Je peine également à pouvoir ouvrir la bouche. Elle me fait mettre à genou, cravache à la main puis à quatre pattes, comme elle et reproduit ma fessée cravachée. J’ai une petite idée et, au fond de moi, j’espère que ça va l’émoustiller. Je relève ma robe pour laisser apparent mes fesses entourées des jarretelles et de mes bas. Je ne sais pas si elle y prend plaisir à voir cela mais elle me recale la cravache sur le fessier, juste posé dessus, sans donner de fessée. Après un énième cliché, je me redresse, elle m’enlève la cagoule et nous faisons une ultime photo l’une à côté de l’autre, vêtue en latex.

Je regarde l’heure. Il est presque 20h30. Je lui propose de rester manger. Il me reste un peu du repas de midi. Elle accepte volontiers. Nous partageons donc un repas qui n’est pas spécialement copieux mais c’était des restes en même temps. Nous discutons en mangeant, notamment du site sur lequel nous nous sommes rencontrées, des membres, des défis, etc… A la fin du repas, elle commence à fatiguer.

J’hésite à lui proposer de dormir ici pour lui éviter de prendre la voiture mais je me dis que ça serait peut-être too much après un premier rendez-vous. Nous remontons donc dans la salle de bain après s’être déshabillées. Un démaquillage autrement plus rapide que la préparation de départ. On se rhabille et on redescend au salon pour qu’elle range sa valise et ses affaires. Une fois fait, nous nous disons au revoir dans l’espoir de se revoir rapidement.

Pour autant, je n’en finie pas avec elle. Un petit tour devant mon ordinateur pour lui envoyer les photos prises au cours de notre rencontre et faire un tour sur les réseaux sociaux mais je ne tarde pas à fatiguer. Il est tard et je décide d’aller me coucher. Je m’endort rapidement mais je me réveille sur les coups de 3h du matin. Je pense à elle et ça m’excite au point de me toucher le clito. Je ne peux m’en empêcher. Je la veux, je la désire. Même si cette rencontre s’est très bien passée et que le courant est passé entre nous, j’ai ce regret d’avoir bridé mes envies, mes tentations. Je ne sait pas comment elle va le prendre mais je me lance dans un long message sur le site dans lequel nous avons fait connaissance.

Elle n’est pas connectée, bien entendue, sans doute déjà dans le monde merveilleux des songes, mais je prend mon courage à deux mains pour lui exprimer ce regret et cette envie qui m’habitait tout au long de notre rencontre. Cette envie d’aller plus loin, de faire des choses plus osées, sans jamais clairement dire des choses plus sexuelles mais je pense que c’est assez compréhensif pour y songer. Après cela, je retourne me coucher.

Les confessions

Je me réveille assez tard dans la matinée. Elle m’a répondue. Je stresse beaucoup de ce qui va suivre mais finalement je suis rassurée. Elle m’y indique qu’elle aussi avait remarquée qu’elle m’avait fait de l’effet, surtout au moment de la lubrification du latex et que je lui avait, moi aussi, fait un effet similaire. Je lui répond en remettant une couche sur ce que j’ai ressentie et cette insatiable envie de la caresser. Elle ne réponds qu’en début de soirée alors que je me levé d’une longue sieste pour rattraper mon sommeil de cette nuit mouvementée. Elle entame un long message me décrivant sa journée qu’elle a passée en ma compagnie.

Sa déception mitigée de me voir pour la première fois, sans maquillage ou ma voix qui n’est pas spécialement féminine. C’est vrai que je ne fais aucun effort là dessus aussi. Une déception vite surpassée par mon accueil et, surtout, après que je soit maquillée. Elle me décrit que, elle aussi, a ressentit des choses mais qu’elle n’était pas prête à aller plus loin à ce moment là, par principe de tenir ses engagement ou sa parole sur le fait de ne pas être prête pour plus. Je suis finalement rassurée sur le bridage de mes envies.

J’aurai pu tout gâcher sans ça et cela m’aurait fait mal au cœur. On discute un peu et elle m’avoue qu’elle serait prête à aller un peu plus loin la prochaine fois, notamment dans la pratique du bondage et que le coup de cravache que je lui avais mis, était pour elle une caresse.

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2 Commentaires

  1. Avatar

    Une belle description pour une découverte et une séduction progressives. J’ai envie de connaître la suite.
    Biz, Karol

    Réponse
    • Avatar

      La suite a déjà été écrite, même 2 chapitres. Je ne sais pas quand sera la diffusion. Cela dépendra de Fabrika. Un autre est en cours d’écriture et sera peut-être le dernier.

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