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Qui cherche trouve…

par Histoires de cocus

Il fait nuit et l’autoroute est vide. La tête pleine des belles images de ces vacances d’été, je conduis et laisse mon esprit vagabonder. Tu t’es endormie à côté de moi. Tu portes une très jolie robe d’été. Très jolie et surtout très fine et très légère. Les vacances sont formidables mais les tribulations, les voyages et les amis empêchent de se laisser aller à des ébats.

Cela fait quelques jours qu’on n’a pas eu la moindre intimité et le moindre contact sexuel ou même sensuel. La route est monotone avec le régulateur de vitesse et les longues lignes droites assez vides me laissent le temps de laisser mon excitation grandir au fil de mes pensées. Je sens un début d’érection arriver mais n’y prête pas attention.

Ma main droite est laissée libre par la conduite très facile qui me berce et le laisse cette main trainer vers toi. Je te caresse doucement l’épaule, descend sur ton dos. Tu pousses un gémissement dans ton sommeil. Ma main glisse vers le creux de tes reins et tes fesses rebondies. Je joue avec le tissu de ta robe qui remonte vers tes hanches. Tes fesses sont maintenant dénudées et je peux les caresser … je constate avec plaisir que tu as mis un petit string en dentelle noire. Sans doute pour préparer notre arrivée.

Cela me fait plaisir de sentir que tu partages mes envies et mes attentes. Je caresse tes fesses au fil des kilomètres et de la route. Je cherche à un moment donné mon chargeur pour brancher mon téléphone dont la batterie montre des signes de faiblesse.

J’allume pour cela la lumière de l’habitacle. Une fois cela fait je repose ma main sur tes fesses pour continuer ma caresse distraite sur tes fesses en oubliant d’éteindre la lumière. C’est à ce moment qu’un phénomène étrange apparaît.

Plusieurs fois, alors que je double des camions et des camionnettes, on me fait des appels de phare. Cela m’inquiète dans un premier temps, je me demande si quelque chose ne va pas avec ma voiture. Au fil des minutes et des appels de phare, je réalise que, peut-être, on peut voir à l’intérieur de mon véhicule, et donc, ton que je serais involontairement en train d’exhiber ton cul à des inconnus. Je veux en avoir le cœur net.

Alors que je continue à rouler, je vois que je me rapproche d’un camion et qu’il n’y a personne derrière moi. Alors que je suis sur la file de gauche, je fais quelques appels de phare pour attirer l’attention du chauffeur. Alors que j’arrive à l’aplomb de l’énorme machine, juste sous la cabine, je me mets à la même vitesse que le camion. Je continue alors à caresser tes fesses pendant quelques instants, la boule au ventre mais une énorme excitation montant.

Le camion klaxonne deux fois alors que j’accélère, je me dis que peut-être que je me suis fait des films et qu’il me demande de dégager, mais alors que je finis de le 2 doubler, il klaxonne à nouveau et me fait 2 appels de phare. Je vois dans mon rétroviseur arrière la cabine s’allumer et un homme me tendre la main, le pouce levé.

C’est donc cela. Je suis en train d’exhiber ton cul parfait à tous ces inconnus. Un peu honteux, pendant de nombreux kilomètres j’éteins la lumière de l’habitacle et je cesse toute cette activité. Mais l’ennui de la route et l’excitation remontent progressivement. Je recommence distraitement à caresser tes fesses et tes petits gémissements m’y encouragent encore plus.

Soudain, je décide d’allumer à nouveau la lumière de l’habitacle et je continue mes caresses. Je reprends alors mon petit manège avec les camions. N’oubliant pas de les prévenir par des appels de phare de mon arrivée. Je caresse tes fesses, laisse passer mon doigt dans la dentelle de ton string à certains moments. Je pousse même le vice à parfois laisser mon index glisser dans cette délicieuse fente toute lisse que je trouve humide et gluante ou à poser la pulpe de mon index sur cette petite rosette que nous explorons de plus en plus souvent et qui te procure tant de plaisir. La lumière attire les regards sur tes fesses qui s’exhibent de plus en plus au fil des kilomètres.

Régulièrement mes appels de phare alternent les chauffeurs du spectacle qui arrive sur leur gauche. J’essaye de rester le plus longtemps possible à l’aplomb de tes admirateurs. Les remercient fusent, sonores ou visuels. Deux motards nous doublent également et chacun prend le temps de rester près de la vitre et de lever un pouce approbateur avant de disparaître dans la nuit. Ce petit jeu ne prête pas à conséquence mais mon excitation ne fait que monter.

Ma bite se tend, durcit et me fait presque mal. Il faut que je fasse quelque chose. Je ne vais quand même pas me branler là, comme ça, dans la voiture. Ça serait étrange et sans doute dangereux. Une aire d’autoroute. Je mets mon clignotant, je n’en peux plus. Je sors de l’autoroute et réalise que c’est une petite aire.

Zut, je ne pourrais pas justifier mon envie soudaine de me branler par l’idée de prendre un café. ET je n’ai pas envie d’aller me branler dans les toilettes douteuses de ce genre d’aire. Ce n’est pas grave, j’irai dans les fourrés là-bas. Je serais tranquille. Je me gare et tu entrouvre un œil.

« On est arrivés ? » « Non non je dois juste aller aux toilettes ma chérie. Dors ne t’inquiète pas. » Gêné par une forte érection je quitte la voiture, plusieurs dizaines de mètres plus loin je réalise que tes fesses étaient encore découvertes quand j’ai quitté la voiture. Tant pis, il faut que je me branle. Je repère le bosquet derrière l’aire d’autoroute et je m’enfonce dans les bois. Une fois que j’ai marché assez longtemps pour ne plus entendre la route ni voir les lumières qui viennent de l’aire, je défaits ma ceinture et sors ma queue.

Rapidement et très excité je 3 commence à me branler. Vite, fort. Repensant à toutes ces images et j’éjacule à grands flots sur la mousse du sol. Soulagé, je reviens vers la voiture. Je ne sais pas bien combien de temps je suis parti, mais je m’arrête en revenant sur le parking, surpris.

Ma voiture, qui était isolée sur le parking quand je suis parti, est entouré par deux véhicules. Un gros camion et une moto. J’ai une boule au ventre, il me semble reconnaître les couleurs du camion. J’avais passé de longues minutes à sa hauteur il y a une petite heure. La moto elle ressemble au gros bolide qui s’est retrouvé 3 fois à ma hauteur au cours du voyage et dont le pilote semblait très intéressé par notre petit jeu. Non, je dois me faire des films. J’arrive près de la voiture, mon cœur s’arrête.

Elle est vide.

Des gémissements viennent de derrière le camion. Non ça n’est pas possible. Je fais le tour du capot du camion le cœur battant et … Et je te vois, à genoux entre deux hommes.

Le motard est un bel homme d’une quarantaine d’année au crâne rasé et à l’air viril, habillé dans sa tenue de cuir. Un sexe très très épais est sorti de son pantalon et ta petite main gauche va et viens dessus.

Le camionneur lui est un jeune homme d’environ 25 ans, blond, la mâchoire carrée, une barbe de trois jours et un corps svelte. Il a le jeans aux chevilles et son sexe, très long et invraisemblable est dans ton autre main.

Ta bouche va et viens sur ces bites en essayant de ne pas faire de jaloux. Je suis figé de stupeur. J’avance d’un pas, voulant dire quelque chose, quand tu délaisse la bite que tu suçais et tourne vers moi, ton visage luisant de bave et de salive, les yeux brillants d’excitation. Tu es toujours à genoux entre les deux grands males et branle leurs bites luisantes de bave.

«Non mon chéri, reste là. Une autre fois peut-être, mais là, ce soir, tu regardes et c’est tout. Ça t’apprendra à jouer avec le feu. Tu croyais que je ne voyais pas ton petit jeu à montrer mon cul à tout le monde ? Ces deux beaux garçons nous ont suivi, ça aurait pu être grave. Mais comme tu le vois ils sont charmants et ils ont des bites superbes. Alors mon chéri reste là et regarde le résultat de ton petit jeu », me dit-elle.

Tu te jettes à nouveau sur la bite énormément large du motard, la mâchoire distendue et de ta main droite tu branles le camionneur encore plus vite. Assez rapidement, le beau camionneur en veut plus, il te fait te redresser et te tourne vers lui. Il te domine de toute sa taille. ME lançant un regard de provocation tu tends ta bouche vers lui.

Tu sais qu’à la différence de moi, il ne se privera pas de te rouler une pelle, malgré tout tu le laisse faire. Il pose ses lèvres sur les tiennes et je vois de profil vos langues se mélanger.

Derrière, le motard plein de charisme remonte ta petite robe sur tes fesses et commence à masser tes deux globes fessiers. Il ricane :  « Comme je l’imaginais … sympa mec … bien joué. Elle est sublime ta femme. Magnifique »

Je le vois écarter ton string à deux doigts et poser son énorme gland sur ta jolie petite fente humide. Devant, le camionneur a sorti tes seins et les malaxe tout en t’embrassant. Tu pousses un petit cri de surprise et de plaisir, derrière toi, l’homme a entré son énorme machin dans ta petite chatte et commence rapidement ses va et viens.

L’excitation est intense pour tout le monde et il n’y a pas de grande tendresse. Te sentant bouillante, le camionneur se recule un peu et appuie sur ta nuque. Tu comprends le message et te penche en avant.

Tu me lance un nouveau regard de provocation excitée et gémis avant d’emboucher : « Putain ouiii baise moi. Elle est tellement grosse ta bite … » Je peux m’en prendre qu’à moi-même, en effet je récolte ce que je mérite.

Mon excitation est aussi forte que ma rage.

Mais ma bite semble avoir envie de bondir de mon jeans. Je te vois emboucher le très long sexe fin de ton deuxième amant pendant que, te tenant par les hanches, le motard te lime à toute vitesse.

Ressortant la bite du camionneur et le branlant tu gémis : « Elle est superbe haaaann … hannnn … ta … hannn bite … superbe … tuuuu … tu vas m’enculer avec ? … »

Les deux hommes sourient en voyant à quel point tu es chaude. D’un mouvement de rein tu te dégage de l’étreinte du motard, prenant les choses en main tu pousses le motard à s’allonger sur le sol et tu l’enjambe.

« Donne moi ta belle bite llààààà … voilàààààààà hummmmmmmmm » D’une main tu places le machin sur tes lèvres luisante de mouille. Son gros gland s’engouffre dans ta petite chatte. Tu lèves les yeux vers moi. Puis lance au camionneur : « Viens … viens m’enculer maintenant … viens … mon chéri rêve que je fasse une double pénétration … viens … viens … »

Le camionneur passe derrière toi et enduit ses doigts de salive. Il les poses sur ton petit anus tendre et alors que le motard ralentit un peu le mouvement, il pose son long sexe fin sur ton petit trou. Il commence lentement à s’enfoncer dedans.

Tu es prise en sandwich entre ces 2 hommes et lève les yeux vers moi. Je vois le plaisir et l’extase dans ton regard. Je sors ma bite pour me branler.

Tu me souris.

Je te vois te faire secouer sous les coups de boutoir des hommes. Ils accélèrent, tes orgasmes s’enchainent. Ils donnent de plus en plus grands coups de 5 bite et tu hurle ton plaisir maintenant. Fasciné par la scène je me branle très fort.

Alors qu’ils éjaculent dans tes trous en grognant, mon sperme vole vers toi et frappe ton menton et ta gorge.

Souriante tu te relèves et te retire des bites de ces males. Tu remets la robe sur tes fesses et fais mine de te recoiffer. « On y va mon chéri ? Ça t’a plu de me voir prendre mon pied avec des grosses bites ? La prochaine fois tu pourras participer, peut-être. » …

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