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Point de départ

par Histoires de cocus

Je crois que l’on peut dire que depuis le début de ma vie sexuelle, je suis libertin ou plutôt candauliste et cocu volontaire.

Ma première vraie histoire d’amour était avec Sophie, pour elle aussi, c’était sa première histoire sérieuse.
Nous avions un peu plus de 18 lorsque nous avons commencé à flirter. C’est ensemble que nous avons découvert notre sexualité. Durant les deux premières années, nous nous amusions au lit, mais il faut avouer que nos ébats étaient très banals, avec le temps je dirais même assez fades et rapides !

Nous faisions un sport collectif dans le même club et souvent Sophie était le centre d’intérêt des mecs.
Il est vrai que dans ses petits shorts ou dans ses leggins moulants, ma chérie ne pouvait pas laisser indifférents les autres membres du club.
De mon côté, j’étais plutôt très proche de Jérémy, un de mes coéquipiers que je considérais comme mon grand frère car celui-ci avait 28 ans.

Nous nous confions beaucoup de choses et je lui avais déjà avoué que l’idée d’un plan à trois avec Sophie m’attirait.
Je n’étais pas rentré dans les détails et nous n’avons plus discuté du sujet, d’autant plus que j’avais eu l’impression que cette discussion n’intéressait pas Jérémy.
Mais, vous imaginez que si je vous parle de lui et de ma découverte du candaulisme, mon ami va, bien sûr, jouer un rôle dans cette histoire !

Dans notre couple, Sophie était beaucoup plus coquine que moi ! Elle semblait avoir plus de besoin que moi , elle était plus demandeuse de sexe et plus joueuse ! Plus on faisait l’amour, plus j’avais l’impression que le sexe devait omniprésent dans ses pensées.

Sophie nous avait accompagné, lors d’un match que nous avions disputé à l’extérieur et pendant le trajet retour, nous nous étions installés au fond du bus, elle, moi et Jérémy.

Très vite la discussion s’orienta vers le sexe et notamment sur les techniques de fellation. Jérémy a dû s’apercevoir que dès lors qu’on parlait de cul, Sophie semblait excitée, alors il lui lança un défi.

– Sophie, j’aimerai bien voir ta technique, suce ton mec maintenant et montre-moi ! Bien qu’à mon avis, tu n’es surement pas cap de faire ça ! dis Jérémy.
– Pas cap ? Toi, tu me connais mal, je vais te montrer mes talents de suceuse et après tu vas rêver de ma bouche, répondit-t-elle.

Nous avons tous éclatés de rire, ce qui me rassura, car j’avais cru qu’Sophie allait vraiment le faire !
Mais je n’allais pas être rassuré très longtemps !

– Allez chéri, baisse ton survêt et sors ta queue, que je montre à Jérémy que je ne suis pas une dégonflée !
– Pas là, tu es folle, je n’ai pas envie que Jérémy voit ça ! lui répondis-je assez nerveusement !
– Allez, arrête, il t’a déjà vu à poil dans les vestiaires et puis tu aimes quand je te suce et là, j’en ai envie, alors pas de chichi, on est entre amis là !

En disant cela, Sophie venait de baiser mon survêtement et mon boxer. Elle tenta de me sucer , mais je restais flasque, trop nerveux de la situation, je finis donc par la repousser et remonter mes fringues.

– Eh bien, chéri, tu es nul, tu aurais dû te laisser faire, tu aurais pris ton pied dans le bus, je trouve ça trop excitant ! J’aurai du sucer Jérémy, je suis certaine qu’il se serait laisser faire, me dit-elle.

Ses mots me firent bander, mais ce n’est pas le fait qu’elle dise qu’elle m’aurait fait jouir avec sa bouche là dans le bus, mais c’est l’idée qu’elle aurait pu sucer Jérémy.

Plusieurs semaines s’étaient écoulées après cet événement lorsque Jérémy nous invita à une petite fête chez lui
Vers 2 heures du matin, tout le monde était en train de partir, c’est alors que Jérémy proposa e rester pour gouter, avec lui, à un bouteille de rhum qu’on lui avait offert.

Un verre, deux verres, trois verres et la discussion tourna inévitablement autour du sexe.
– Bon, arrêtons de parler de cul, les garçons car à cause du rhum et de vous, je pourrais très bien décider de vous sauter dessus à tous les deux, dit Sophie.
– Alors oui, arrêtons le rhum et de parler de cul, de toute façon, on va bientôt rentrer, n’est-ce pas Sophie, on ne va pas faire de bêtises ? répondis-je à ma petite amie, aussi nerveux que tenté.
– Chéri, c’est toi qui vois.
– Que veux-tu dire Sophie, tu seras prête à coucher avec Jérémy et moi, là, maintenant ?
– Peut-être, oui pourquoi pas, si vous avez envie tous les deux, ça peut être sympa, tu en penses quoi Jérémy ?

Jérémy ne prononça pas un mot et en guise de réponse, il s’est approché de ma petite amie et a commencé à l’embrasser.

Sur le moment, je trouvais le jeu plutôt marrant et bon enfant. Mais après une simple embrassade, les mains ont commencé à devenir baladeuse, les vêtements ont commencé à tomber.
Voir ma copine presque nue dans le salon de mon ami était troublant. C’était une explosion de sentiments contradictoires, j’étais jaloux, j’étais excité, je voulais voir encore, je voulais que ça s’arrête, je voulais, je voulais plus, je voulais tout et son contraire en fait.

Mais tout cela n’était que le début de cette vague d’émotions.

De ses mains, il commença à explorer le corps de Sophie, je savais que dans peu de temps, il connaitrait toute l’intimité de copine. Elle ne restait pas immobile, elle caressait l’entre jambe de mon ami au travers son jean.
Quant à moi, je me sentais comme un stagiaire à son premier jour de stage ne sachant pas réellement quoi faire.
Comme Jérémy venait de sortir son sexe, mon cœur accéléra fortement, car je savais que bientôt il serait dans la bouche à celle que j’embrasse si souvent.

Je ne m’étais pas trompé, je pouvais voir le sexe raide de Jérémy aller et venir dans la bouche de Sophie, qui ne semblait pas gênée de sucer un autre homme devant moi. Je me sentais cocu de la voir si entreprenant et si gourmande avec un autre.

Je voulais participer à ce plan à trois, alors je retirai la culotte de Sophie et je commençai à lui lécher sa chatte. Elle était très humide, ma copine était vraiment excitée de se retrouver avec deux hommes, de se retrouver avec la queue d’un ami entre ses lèvres et ma bouche en train de s’occupe de son sexe à elle.

– Sophie, tu suces divinement bien, mais il faut aussi que ton mec en profite ! Moi aussi je veux gouter ta chatte, dit Jérémy à Sophie.
– Allez mon cœur, j’ai envie de voir si Jérémy est doué pour les cunni et je suis certaine que tu as envie que je te suce après lui ! Tu veux bien sortir ta queue que je m’occupe, demanda Sophie.

Je sentais son excitation à sa façon de me sucer, je pouvais ressentir le plaisir que lui donnais Jérémy, pourtant mon sexe avait du mal à durcir.
La scène était des plus excitantes, la langue d’un autre donnait du plaisir à ma chérie, sa bouche s’affairant sur ma tige après avoir gouté avec gourmandise celle de mon ami, pourtant, je restais mou entre ses lèvres.

Jérémy s’est relevé et est parti dans une autre pièce avant de revenir avec une capote dans la main.
J’étais allongé sur le canapé, Sophie en position de levrette en train de faire de son mieux pour me faire en me suçant.

Je vis Jérémy, se positionner derrière Sophie, après avoir enfilé un préservatif. Il me regarda comme pour me demander mon accord et avec un signe de la tête je lui dis oui.
En hochant la tête, je venais, pour la première fois, d’autoriser un homme à pénétrer ma compagne.

Je pus le voir avancer son bassin et j’ai alors senti ma copine se crisper et soupirer, elle venait de se faire pénétrer.

La situation était surréaliste, nous étions sur le canapé de Jérémy, lui en train de prendre ma copine en levrette et moi le sexe mou dans la bouche de Sophie.
Après quelques minutes à sentir Sophie gémir de plaisir avec ma queue entre ses lèvres, Jérémy, me proposa de prendre sa place, ce que j’accepta.

Jérémy s’installa confortablement et sans attendre Sophie se jeta sur sa queue, moi, je me branlais frénétiquement pour réussir à bander car en l’état, il m’était impossible de la pénétrer.
J’avais une vue imprenable sur ma chérie, ses fesses, son sexe encore chaud de la queue de Jérémy, sa tête s’activant sur la queue d’un autre et moi, je n’arrivais pas â être excité physiquement.

– Hey, mec, ne te prends pas la tête, les pannes ça arrive et encore plus souvent après avoir bu du rhum, me lança Jérémy
– Je sais bien, mais j’aurai bien aimé lui donner du plaisir en la voyant te sucer, répondis-je
– Ça ne te gêne pas si je prends ta place et que je m’occupe de lui donner du plaisir ? me demanda-t-il.

Je lui signe que ce n’était pas un problème, bien qu’en réalité je ne savais pas trop ce que je voulais mais déjà que je ne pouvais pas satisfaire Sophie je ne voulais pas les priver tous les deux de prendre leur pied, sans moi.

Alors il poussa Sophie pour la mettre sur le dos, il se mit au-dessus d’elle et d’un coup de rein, il enfonça son membre en elle.

L’image de ce moment précis était en train de se graver dans mon esprit et allait conditionner toute ma vie sexuelle future.
Je voyais le gros sexe vigoureux d’un homme écarter les lèvres vaginales de ma copine et faire des va-et-vient dedans.

Voir une pénétration pourrait paraitre anodin, vu la quantité e porno qu’on peut trouver, mais là c’était du porno en live et l’actrice était ma petite amie. Les sensations étaient inexplicables, alors que j’avais toujours du mal à bander, j’avais atteint un niveau d’excitation cérébrale sans précédent.

Un mélange de sensation m’envahi fascination, excitation, humiliation, satisfaction, bref, je ressentais un paquet de mot finissant par « tion », sauf pénétration qui était plutôt réservé à ceux que je regardais baiser.

Je regardais Jérémy accélérer, les ongles de Sophie s’enfonçait dans le dos de mon ami. Elle me tendit sa main et une fois ses doigts mêlés au mien, elle se mit à jouir. Un autre homme, une autre queue faisait jouir ma petite amie, un autre homme qui était aussi en train d’avoir un orgasme le sexe planté dans ma femme. Je pensais au réservoir de la capote qui devait être en train de se remplir et qui avait été un rempart en plastique entre l’éjaculation de mon ami et le fond du sexe de ma chérie.

Il se retira et s’allongea à côté d’elle, je pouvais voir un filet de mouille relier la capote au réservoir généreusement remplie et le sexe trempée et satisfait de Sophie.

Après avoir repris leur esprit, Sophie se rhabilla et nous sommes rentrés.

Dans la voiture nous n’avons pas parlé, comme si nous ne savions pas quoi nous dire.
Une fois arrivé à la maison, Jérémy m’envoya un sms pour nous dire qu’il avait passé un excellent moment et qu’il espérait que cela ne changera rien entre nous.

Le lendemain c’est Sophie qui a pris l’initiative de parler de notre soirée. Étonnamment je lui ai dit que la situation m’avait bien plu et que je souhaitais retenter l’expérience car je n’avais pas été en forme physiquement.
Elle me dit être rassurée car elle avait pris beaucoup de plaisir mais elle avait un peu été stressée de me voir mou car elle pensait que je n’avais pas aimé.

Voilà comment une expérience de candaulisme avec ma chérie et un ami a influencé tout le reste de ma vie sexuelle.

Un récit issu des confessions d’un membre de mon groupe facebook : Candaulistes, cocus contents et libertin(e)s 

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