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Plaisirs d’Asie : Le Yin

par Histoires de cocus

Marie et moi avions en projet d’acheter une maison car nous habitions un appartement si petit que pour ranger toutes nos affaires, il fallait jouer à Tetris.
Mais malheureusement, nous ne trouvions pas une maison qui corresponde à notre budget.

Coup de chance, mon entreprise me proposa une mission de 8 mois dans une filiale en Chine avec, à la clé, une belle prime et une augmentation temporaire de salaire 40 %.
C’était une bonne occasion pour gonfler notre apport pour une nouvelle maison.
Tous les frais de vie pour moi mais aussi pour ma femme étaient pris en charge et même quelques billets d’avion pour faire le trajet Paris-Pékin.

Je m’attendais à ce que Marie soit très enthousiaste à l’idée de m’accompagner dans cette aventure chinoise, mais ce ne fut pas le cas. Elle n’avait pas envie de s’éloigner aussi longtemps alors que sa carrière commençait à prendre un beau tournant et que sa grand-mère, qui l’avait pratiquement élevée, était en fin de vie.
Nous avions convenu que je partirais seul, mais cette idée m’empêchait de dormir la nuit, je craignais tellement que le manque et l’ennui poussent Marie dans les bras d’un autre.

Je n’irai pas jusqu’à dire que ma douce est une nympho, elle a de gros besoins que j’aime combler ! Quinze jours avant départ, je lui ai offert un beau sex-toy, lui expliquant que cela servirait à assouvir ses besoins ! Ce cadeau l’a faite bien rire.

” Mais chéri, que veux -tu que je fasse avec ce truc ? demanda-t-elle,
– Bien, lorsque tu auras des envies et que tu seras toute seule, tu pourras te satisfaire avec.
– Ha, ça non, un jouet en plastique ne remplacera pas la chaleur de ton sexe mon chéri.
– Marie, sois réaliste, comment vas-tu faire pendant ces 8 mois d’absence ?
– Ce n’est pas vraiment huit mois puisque tu peux revenir 3 fois, donc je devrais attendre seulement 2 mois avant de faire à nouveau l’amour avec toi !
– Et bien Marie, tu m’impressionnes, moi qui pensais que tu aller mourir d’impatience et de manque !
– Cela va être effectivement le cas, mais ce n’est pas la mort et puis, on profitera au maximum lors de tes retours. ”

Contrairement à ce que l’on pourrait s’imaginer, sa réaction ne me rassura pas du tout ! Je la connaissais assez pour savoir qu’elle n’aimait pas du tout se caresser toute seule et que je la voyais mal rester chaste pendant deux mois !
J’avais un choix à faire, lui dire que je n’allais pas en Chine et briser nos espoirs de gonfler notre budget d’achat ou prendre le risque qu’elle finisse avec un autre.

Quand j’ai un doute, j’en parle à Fabrice, c’est mon pote d’enfance, alors je lui expliquai mon dilemme. Il ne manqua pas de rire de mes craintes et me conseilla de prendre la mission pour payer notre future maison.
Je ne changeai donc pas de plan et je m’installai temporairement à Pékin. La vie était très différente là-bas et j’avais le temps pour profiter du pays avec les moyens offerts par l’entreprise. En plus, le job et l’équipe étaient vraiment sympas. Pour me soulager, je m’astiquais de temps en temps avec des revues pornos en chinois, c’était original.

Au bout des deux premiers mois, je rentrais 5 jours à Paris, j’avais hâte de retrouver Marie. Nous avons fait l’amour constamment, partout dans l’appartement et à chaque moment de la journée.

Puis encore une séparation de deux mois. Je commençais à avoir mes routines en Chine, mais j’étais encore plus impatient de rentrer quelques jours en France, me rappelant comme les dernières retrouvailles avaient été chaudes.

Ce coup-ci, le planning de ma mission me força à ne rester que 3 jours et en plus, c’était le week end d’enterrement de vie de garçon de mon cousin. J’ai eu l’impression de voir Marie en courant d’air, juste pour m’aider à faire et défaire des valises. Le temps de lui faire l’amour seulement deux fois et je reprenais l’avion pour Pékin.
Déjà dans l’avion, je commençais à compter le nombre de jours avant de faire le voyage en sens inverse. 61, c’était le nombre de jours à attendre avant de pouvoir être avec Marie.
On essayait de s’exciter au téléphone ou avec les appels en vidéo, mais le décalage horaire ne nous aidait pas à nous amuser et y prendre du plaisir.

Deux jours avant mon prochain week-end prolongé à la maison, Marie m’appela en pleurs pour m’annoncer que sa grand-mère venait de mourir et que ses funérailles tomberaient lorsque je serais là. Ce n’était vraiment pas de chance, durant ces quelques jours, j’ai consolé Marie qui était effondrée.

J’ai pris pour la dernière le chemin vers Pékin avec une énorme frustration.
Trois jours avant le retour définitif en France, Yu, le responsable chinois du site organisa une soirée dans un club avec des filles à moitié nues. Elles étaient toutes plus belles les unes que les autres, de magnifiques asiatiques qui te faisaient bien comprendre que pour 20 dollars, tu pouvais aller dans un coin sombre pour tirer un coup vite fait.

Yu faisait couler le saké à flot et je commençais à ne plus être beau à voir, plusieurs collègues dormaient sur la table sur laquelle des filles dansaient et j’en croisai deux affalés dans les chiottes. J’étais très étonné de la version chinoise des pots de départ.

Plusieurs jolis asiatiques en sous-vêtement arrivèrent comme si elles défilaient, Yu nous expliqua que c’étaient des masseuses, que c’était payé par la boîte et qu’on pouvait profiter d’un bon massage asiatique.
Yu insista pour que j’accepte et je me laissai tenter me disant qu’un peu de calme sans saké me ferait dessouler.
J’entrai dans la cabine en suivant ma jolie chinoise.

Elle devait faire un mètre soixante-dix, très fine et gracieuse, de jolis petits seins et un visage d’ange, de magnifiques mains aux ongles parfaits. Ces cheveux très longs et noirs brillaient autant que cet unique petit string qu’elle portait. Elle me demanda dans un mauvais anglais de me dévêtir et de m’installer nu sur la table avec une serviette pour cacher mes parties intimes. Après avoir mis des bougies et de la musique zen, elle commença à me masser, je me laissais aller et je me détendais.

La masseuse remonta de mes pieds vers mes cuisses. Puis je sursautai, car ses mains étaient sous la serviette en train de me masser les couilles ! Elle me parla en chinois et bien que je ne comprenais pas sa langue, je voyais qu’elle voulait dire un truc comme « ce n’est rien, tout va bien, laissez-vous faire ». J’avais envie de me relever, mais elle empoigna ma queue qui commençait à bander. C’était tellement bon, j’en avais tellement besoin que je l’ai laissée faire.

Elle alternait entre branlette vigoureuse et massage de la queue avec ses mains huilées. Un mélange de sensations aussi agréables que nouvelles. Elle avait une de mes couilles dans chacune de ses mains, elle les malaxait, les palpait, elle savait vraiment comment faire pour toucher un mec.
Puis elle prit ma queue raide entre ses deux paumes de main et me masturba comme ça, tout me caressant l’entre-jambe avec ces doux et longs cheveux. Ces mèches brunes me faisaient frissonner quand elles effleuraient le bout de mon gland. Je découvrais de nouveaux plaisirs en me disant que ce n’était rien du tout, que ce n’était pas grave vis-à-vis de Marie.

En fait ce n’était pas grand-chose, jusqu’à ce qu’elle ajoute ses lèvres à son massage.

Les caresses de ses cheveux sur mon gland étaient remplacées par des coups de langue.
Elle continua de me lécher en descendant jusqu’à m’aspirer mes couilles l’une après l’autre dans sa bouche. Elle arrivait à me masser les testicules avec l’intérieur de sa bouche et c’était délicieux.
Elle remonta à nouveau et aspira toute ma queue dans sa bouche, tout en me regardant avec ces beaux yeux bridés. Elle coulissa pour me prendre en entier et elle resta immobile, ma queue complètement engloutie, lorsqu’elle commença à me caresser les couilles avec la pointe de sa langue. C’était torride, je sentais toute sa bouche immobile autour de ma bite alors qu’elle me titillait avec sa langue qui dépassait.

Elle arrêta d’être immobile et commença à aller et venir sur toute ma longueur, allant du sommet jusqu’à la base, en accélérant le mouvement. Là ce n’était plus un massage du tout, j’étais en train de me faire sucer par une superbe masseuse. Quoi que, je dis masseuse, mais j’aurai dû me méfier quand Yu avait fait un clin d’œil en les présentant ainsi.

Je n’arrivais pas à trouver l’envie de lui dire d’arrêter lorsque je sentais que ça commençait à monter, sa bouche était trop experte. Je me suis dit qu’elle devait avoir assez l’habitude pour savoir quand s’arrêter.
Je me laissais faire, c’était tellement bon, je n’avais aucun scrupule à me faire sucer comme ça, par cette inconnue, j’en avais vraiment besoin. Son talent mêlé à mon envie ont fait que je n’ai pas pu résister aux lèvres de ma belle chinoise.

Elle ne se retira pas lorsque je commençais à me tortiller, au contraire elle accéléra. Sans pouvoir me contrôler, j’éjaculais dans sa bouche, je sentais que c’était abondant, elle ne s’arrêta pas pour autant. Une fois soulagé, elle commença à ralentir ses mouvements pour finir par me faire des bisous sur le long de ma queue tout en jouant avec ses cheveux fins et doux. Je venais de jouir dans sa bouche.

Après avoir retrouvé le rythme normal de ma respiration, elle se releva me fit un sourire, me servit un verre de saké et prit la porte.
Je restais bête, sonné, à poil, ma queue encore pleine de salive mais très vite le plaisir fut obscurci par les remords.
Merde, même si je n’avais pas couché avec cette fille, j’avais quand même trompé Marie. Pendant presque huit mois, j’avais stressé de peur qu’elle devienne infidèle et finalement, quelques jours avant de rentrer définitivement à la maison, je me suis fait avaler le jus par une inconnue.
Je suis sorti de la cabine et pris de panique, je rentrai directement à l’hôtel.
Pendant les jours précédents mon retour, je pensais uniquement à ce que j’avais fait dans le dos de Marie, j’étais tiraillé entre l’idée d’être franc et la blesser en lui racontant ou le fait de lui mentir et ne pas la décevoir. Je décidai de lui raconter la vérité, j’étais torché, elle m’avait été présentée comme une masseuse et elle m’a surpris par ce qu’elle me faisait, je ne l’ai pas touchée et elle m’a sucé et c’est tout ce qui s’est passé.
J’étais heureux et stressé de retrouver Marie à l’aéroport, j’avais besoin d’être honnête avec elle mais je voulais attendre d’être au calme pour lui raconter cette histoire. Lorsque nous sommes rentrés à la maison, elle avait préparé un diner aux chandelles pour fêter notre retour, c’était très romantique.
Je savais que j’allais gâcher cette fête en lui annonçant que je m’étais fait sucer par une chinoise.
Avant qu’elle ouvre une bouteille de vin blanc pour trinquer à mon retour, je lui dévoilais toute l’histoire. Sans mensonge, je lui racontais strictement la vérité, elle m’écouta sans rien dire.
A la fin du récit, elle finit d’ouvrir la bouteille et servit les verres comme si de rien.
« Seb, aussi étrange que cela paraisse, je ne suis pas vraiment fâchée. Tu t’es fait surprendre par la fille, tu t’es laissé faire un peu à cause du côté nouveau et inattendu et puis c’est tout. Je suis surtout heureuse que tu me le dises, c’est très honnête de ta part. Si tu ne me l’avais pas dit, je ne l’aurais jamais su, me dit-elle d’une voix rassurante.
– Je te remercie, mais je suis étonné que ça ne te gêne pas plus que ça.

– Ce n’est pas ça, c’est juste que tu n’as pas fait de démarches pour me tromper et tu ne savais pas qu’elle finirait par te faire un massage complet. Bon j’aurais préféré voir ta tête à ce mo-ment-là, car comme quelquefois tu es un peu coincé, j’imagine bien la tronche que tu as dû ti-rer. Et rassures-toi, moi j’ai été sage, du moins, presque sage, finalement le vibro que tu m‘as offert a été utile. »
Marie semblait sincère et surtout amusée de la situation ; j’étais rassuré, pour elle ce n’était pas une infidélité mais plutôt un massage qui avait un peu dérapé. Je m’en sortais bien et je ne pouvais qu’admettre que j’avais la femme la plus compréhensive du monde.
– Néanmoins, mon chéri, tu as fait quelque chose qui t’était agréable sans moi, chose qui ne m’est pas arrivée. Tu as donc un coup d’avance et je dois me rattraper. Puisque nous sommes dans les plaisirs venus d’Asie, j’aimerais que tu acceptes que je fasse appel à un masseur particulier.

– Comment ça particulier ? Tu veux dire un gigolo ? C’est hors de question, moi il n’y avait rien de prémédité !

– Non pas du tout, mais je sais qu’il existe des masseurs qui font des choses érotiques assez originales, c’est ce qu’on appelle le tantrisme et c’est asiatique aussi. Ceux sont des massages complets avec des méthodes spéciales. Alors, j’aimerais pouvoir essayer ça, c’est comme toi, tu as eu une expérience de massage érotique, mais la différence, c’est que tu pourras y assister. Je te laisse te renseigner sur ce que sont ces massages et on en reparlera, pour l’instant profitons de ton retour.

Nous avons mangé froid et très tard le repas qu’elle avait préparé, car dès la fin de notre discussion, nous avons fait l’amour. J’étais encore plus passionné que d’habitude, tellement rassuré de sa réaction.
Comme je voulais être aussi ouvert d’esprit qu’elle, le lendemain, je commençais à chercher dans google ce qu’était un massage tantrique.

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