Le dĂ©but de l’histoire ICI.
Quand je retournai faire le plein d’essence, il arriva avec un sac et me dis « salut ma sissy, comment est ton cul aujourd’hui ? » J’étais gĂªnĂ© car d’autres clients Ă©taient lĂ , il commença Ă remplir le rĂ©servoir de ma voiture, il me regarda et murmura « toi tu es ma sissy, mon sperme a coulĂ© dans tes fesses et tu as adoré »
Je le regardai et lui répondit « oui, j’ai adoré » et lui de me dire « Porte ce qui est dans ce sac samedi matin et on va avoir du plaisir ». Je remontai dans mon auto et ouvrit le sac, il contenait des attaches cheveux, une mini robe à pois rouge, un rouge a lèvres et une couche.
Samedi matin je me rendis habillĂ© comme il l’avait demandĂ© et j’entrais dans le garage, il me dit « eh bien voilĂ , maintenant ça ne te gène plus de te vĂªtir en fille et que des gens puissent te voir ». Il aime les couettes que je me suis faites, le rouge Ă lèvres me va bien me dit-il.
Il s’approcha, releva la mini robe et me dit « une couche, ça te va bien dis donc, tu es bien dans ta couche sissy ?
Je lui rĂ©pondis que c’est un peu inconfortable e car je prĂ©fère les vĂªtements serrĂ©s. Sa main Ă©tait dĂ©jĂ dans ma couche et il me titillait l’anus et jouait avec mon pĂ©nis.
Il retira ma couche et me demanda de me pencher sur une chaise, il commença l’intrusion de ces doigts dans mes fesses, suivie de sa langue, il se releva et entra doucement son pĂ©nis entre mes fesses et une fois, bien au fond, il commença son ramonage qui devint de plus en plus brutal. Il me traitait de sissy, de cul Ă bites, etc. Puis, il finit par se vider en moi et resta dans mes fesses jusqu’à ce qu’il dĂ©bande.
Quand sa queue sortit de mes fesses, il me prit par les cheveux et me força Ă prendre sa queue en bouche. C’est Ă contre cÅ“ur que je m’exĂ©cutais, il me traita de bonne salope, de sissy Ă queue, de trou Ă foutre. Il me fit comprendre qu’il Ă©tait temps de me rhabiller et de partir.
Il me demanda de passer mardi soir Ă 18 heures Ă la fermeture de l’établissement et de choisir la tenue que je voulais …. J’avais le trac car Ă cette heure-ci beaucoup de gens sont sur les routes et moi habillĂ© en fille, je ne voulais pas me faire surprendre.
Le mardi j’arrivais au garage à 18h05, il me dit que j’étais en retard et que je devrais recevoir une punition. Coiffais de deux couettes, je portais mini-jupe, petite culotte, soutien-gorge, chemisier et rouge à lèvres. J’avais mis des talons, mais c’est avec difficultés que je marcher avec, tellement ils étaient hauts.
Il me fĂ©licita pour mon choix vestimentaire et me dĂ©clara qu’il avait une surprise pour moi mais d’abord il devait me bander les yeux. Une fois les yeux couverts, il prit ma main et me demanda de le suivre.
Puis, il me fit mettre les mains sur l’Ă©tabli de travail et me demande d’Ă©carter les jambes, ce que je fis. Il commença Ă me caresser les fesses, comme Ă son habitude, ainsi que ma queue, et lĂ il me dit que je mĂ©ritais une correction pour Ăªtre arrivĂ© en retard, il descendit ma petite culotte a mi- jambes et soudain sa main commença Ă me claquer les fesses. Tu mĂ©rites 20 claques aujourd’hui pour ton retard, me dit-il. Ses claques me font mal et me font monter les larmes aux yeux.
Une fois le supplice terminĂ©, il me fit me pencher en avant. Je sentais des mains me toucher les fesses et une langue me fouiller les fesses, le touchĂ© Ă©tait diffĂ©rent que d’habitude. Il continua de parler quand je rĂ©alisai qu’il ne pouvait pas parler tout en dĂ©vorant mon anus. Très vite, je reçu un pĂ©nis dur dans la bouche, un sexe qui commença Ă aller et venir alors qu’au mĂªme moment, une autre queue bien plus grosse commençait le mĂªme manège dans mes fesses, ils Ă©taient donc deux !
J’en perdais la boussole et toute notion du temps, je me faisais ramoner comme une chienne en me faisant traiter de tous les noms possibles et j’étais excité.
Presque de concert, les deux sexes se vidèrent en moi, mon garagiste dans ma bouche et l’inconnu dans mon cul. Une fois, purgée les deux queues sortirent de leur écrin de chair, je me sentais rempli de jus. J’entendis des braguettes se refermer et on me donna l’ordre de rester immobile.
Quelques minutes plus tard, il enleva mon bandeau et me demanda si j’avais aimĂ© sa surprise. Je lui rĂ©pondis que oui j’avais Ă©tĂ© très surpris. En partant, il me rappela dâ€™Ăªtre lĂ Ă 19 h prĂ©cise et de ne pas Ăªtre en retard. Puis imposa sa volontĂ© quant Ă ma tenue, seulement l’ensemble lingerie et talons, couettes et mon rouge Ă lèvres …
Comme prĂ©vu, j’y retourna avec la tenue demandĂ©e, mais il pleuvait ce jour-lĂ . Sur le court chemin entre ma voiture et le garage, je vis des passants qui n’avaient pas pu ne pas me regarder, mais finalement, cela ne me gĂªna pas vraiment. J’étais toute trempĂ©e quand j’entrais dans le garage, mon mĂ¢le me demanda de tout enlever et de ne garder que mes chaussures Ă talons.
Comme la dernière fois, il me banda les yeux et m’attacha mes mains avec une corde qu’il avait fixée à un crochet au plafond. Il tendit la corde, me laissant penser qu’il voulait me suspendre, mais non il m’a étiré le plus possible et ensuite il attacha mes chevilles et me fit écarter les jambes au maximum.
Je savais qu’il Ă©tait très excitĂ©, car dans ces cas, il m’insultait sans retenue et c’est ce qu’il Ă©tait en train de faire. Il commença Ă me lĂ©cher les fesses, ses doigts prirent la relève, et ensuite d’autres objets ont commencĂ© Ă entrer dans mes fesses (j’ai appris par la suite qu’il avait insĂ©rĂ© certains outils de mĂ©cano).
Il me travaillait l’anus, jusqu’à m’élargir la rondelle de plus en plus, alternant ses jouets et sa queue. Au bout d’un moment, je me suis senti mouillé, un liquide chaud me coulait sur les fesses, la queue, le torse et puis a la figure, il me dit « comment tu la trouves ma pisse, elle est bonne salope ou tu préfères celle de mes copains ?
Mais de quels copains, il parlait ? Je ne tardai pas Ă comprendre lorsqu’il me dit « et oui nous sommes 3 ici pour s’amuser sissy, sac Ă foutre, sac a pisse, on va te remplir les boyaux salope ».
Et un par un, ils commençaient m’enculer en m’insultant, leur sperme me remplissait les tripes, j’avais l’anus dilatĂ© et l’un d’entre eux commença introduire sa main, centimètres par centimètres jusqu’à ce que toute sa main soit entièrement dans mon fondement. Il sortit sa main et me la passa sur visage pour que je lèche leur mĂ©lange de sperme tout en nettoyant sa main.
Cela a durĂ© une bonne heure et ensuite ils sont partis, le garagiste m’a dĂ©tachĂ©, enlevĂ© mon bandeau et dis « Regarde le dĂ©gĂ¢t qui est au sol, tu vas tout nettoyer, prend une serviette et nettoie tout et Ă quatre pattes » ce que je fis.
Tout en nettoyant, je me disais que j’étais vraiment un sac à foutre, une sissy, une pute, bien que je me sentais humilié, au plus profond de moi, j’étais fier et excité.
Une fois, le nettoyage effectué, je voulais remettre ma lingerie, mais le garagiste me dit « tu vas sortir à poil, car ton linge est déjà dans ta voiture ». Comme à la fin de chacune de nos rencontres, il me fixa un nouveau rendez-vous, mais ce coup-ci, un dimanche à 6h.
Il me donna une adresse et dicta ma tenue, du moins, si on peut appeler ça une tenue. Je devais arriver nu, avec seulement du rouge Ă lèvres et des couettes. Je sortis du garage, avec la crainte dâ€™Ăªtre vu, ainsi nu, mais la chance Ă©tait avec moi, car je ne croise personne et j’ai pu me rhabiller dans ma voiture.
Le dimanche, je partis bien en avance pour éviter une nouvelle correction en cas de retard et j’arriva au lieu de rendez-vous à 5h30. J’étais devant une propriété avec une grange, il y avait 3 voitures de stationnées, j’avais un peu le trac mais j’attendais 6 h au chaud dans ma caisse.
Je vis mon garagiste arriver, mais il n’était pas seul et comme il Ă©tait presque l’heure, je me dirigeai vers la propriĂ©tĂ©. La porte de la grange s’ouvrit et mon mĂ¢le vint Ă ma rencontre. Comme j’étais nu, il me tripota les fesses et me dit « tu as aimĂ© la dernière fois, alors aujourd’hui, tu vas adorer, mais d’abord, mets-toi Ă 4 pattes !
Il me plaça un bandeau sur les yeux et collier, il me tenait en laisse, puis me fit avancer en marchant à 4 pattes. Quelques insultes et coups de pieds aux fesses étaient nécessaires pour me faire avancer, car cette démarche était douloureuse pour mes genoux.
Sans attendre, il m’attacha mains et chevilles, me plaça sur un baril, ce qui me mettait mon cul et ma bouche à la merci de qui le voulait.
Puis un festival d’insultes commença et une première queue rentra dans ma bouche, suivie par une seconde qui me baisait le cul. Les hommes présents alternaient entre lèvres et anus, chacun leur tour, puis j’ai eu le droit à des éjaculations à la chaîne dans mes deux orifices. Les uns après les autres, ils vidaient leurs couilles tout en me remplissant.
Une fois leurs testicules Ă sec, j’ai ressenti cette douche chaude qui me rappelait celle que m’avait fait subir mon garagiste, dĂ©sormais, il me vidait leur vessie dessus. J’entendis mon garagiste dire « je vous l’avais dit qu’on aurait bien du plaisir avec cette pute et en plus c’est gratuit, profitez en les gars » …
Je pensais qu’une fois les hommes soulagĂ©s, je serais libĂ©rĂ©, mais c’était sans compter sur l’effet de groupes qui pousse les hommes Ă Ăªtre prĂªt Ă recommencer. Alors, je leur servi encore de trous Ă baiser et ce, pendant plus de 5 heures. Je ne comptais plus les Ă©jaculations que mon corps contenait.
J’étais souillé comme je ne le pensais pas possible, lorsque mon garagiste me détacha. En guise de félicitations, il commença à me sucer, mais il n’a fallu que quelques secondes pour que je me soulage, tant j’étais déjà au bord de l’orgasme. Il remonta vers mon visage pour m’embrasser, je pensais que c’était une marque d’affectation, mais ce n’était qu’un moyen pour me faire avaler mon jus qu’il avait en bouche. Il enleva mon bandeau et me dit qu’il était fier de moi, mais que j’avais assez servi et que je pourrais rentrer me reposer.
Nos jeux ont continuĂ© durant presque 3 ans et c’est grĂ¢ce Ă ces expĂ©riences avec lui que j’ai dĂ©couvert le plaisir dans l’humiliation, l’abandon de soi, les jeux extrĂªmes et surtout le plaisir dâ€™Ăªtre une sissy.
Hummm ouiii encore ! Des histoires. Très bien, très bon.
ouiiiiii
oui j aime je ne sort pas encore et doit complèter mon look me manque talons 44 perruque maquillage