Le dĂ©but de l’histoire se trouve iciÂ
Préparation de la rencontre suivante
DĂ©s le lendemain de ces aveux, nous commençons dĂ©jĂ Ă parler d’une future rencontre. De temps en temps, je remet, ici et lĂ , quelques allusions au fait que j’ai envie d’elle, que son petit clito tout mignon me donne envie. Je ne sais pas si elle ressent les mĂªmes choses mĂªme si elle y fait plus ou moins allusion. Ce n’est pas aussi clair et net que ce que je lui raconte sur mes envies avec elle. J’aimerai la voir aussi sĂ»r que moi, qu’elle me raconte, avec autant d’aplomb, ce qu’elle a envie, vraiment, avec moult dĂ©tails qui me ferai bander mon beau clito mais, Ă force de parler avec elle, je sais qu’elle est plus rĂ©servĂ©e que moi sur le sujet. Elle ne veut sans doute pas brusquer les choses ou c’est juste naturel chez elle, ce qui met ma patience Ă rude Ă©preuve.
C’est dommage mais je m’y fais. Je tente, quand mĂªme, de ne pas en faire trop. Je ne veux pas la brusquer malgrĂ© la rencontre que nous venons de faire et qu’elle s’agace de cela Ă la longue. Ce serait dommage de cesser ce petit jeu de sĂ©duction Ă©rotique. Nous Ă©tablissons, Ă©galement, qu’il nous faudrait d’avantage de matĂ©riel, notamment pour faire des photos de bondage plus Ă©laborĂ©es. Nous passons alors un certain temps sur des sites qui vendent ce genre d’articles ou des plus gĂ©nĂ©ralistes comme Amazon et Ebay. Nous arrivons Ă trouver ce dont on a besoin. D’abord rĂ©ticente Ă passer commande de par mes finances, je me laisse finalement tenter.
En mĂªme temps, Alice se donne pour mission de trouver de nouvelles chaussures, rose fuchsia comme elle adore tant. Je l’aide dans ses dĂ©marches, ce qui me permet de cibler ses goĂ»ts dans ce domaine et de lui donner conseil. Toutefois, sans lui dire, je lui ai commander une paire de sandales de cette couleur en vernie, sans d’ailleurs savoir si ça lui plaira ou pas. Apparemment, elle n’est pas fan des chaussures avec le bout ouvert (alors toute la chaussures, je n’imagine mĂªme pas). J’ai pris Ă©galement une robe d’Ă©tĂ© longue, sans manche, en fuchsia. Bon, j’ai limitĂ© le cĂ´tĂ© financier donc ça ira mais je stresse pas mal car je n’ose imaginer si mon cadeau ne lui plaĂ®t pas. Ça lui fera un cadeau de NoĂ«l avant l’heure si nous nous rencontrons avant cette fĂªte. J
e me suis Ă©galement mise Ă l’Ă©criture du rĂ©cit que vous lisez actuellement. Cela m’a pris quelques jours avec son aide car j’avais quelques soucis de mĂ©moire sur le tout dĂ©but de notre rencontre sur le site. J’y ai tout notĂ©, tel que les Ă©vĂ©nement ceux sont rĂ©ellement passĂ©s. Je lui ai fait lire aussitĂ´t l’Ă©criture de la première partie finie et ça lui a beaucoup plu. J’ai Ă©galement fait lire ce texte Ă l’administrateur du site qui, sur un autre, publie des textes plutĂ´t Ă caractère porno. Il me fait comprendre que, peu importe si c’est porno ou pas. L’essentiel est que ça parle de travesties. Il lit avec grand intĂ©rĂªt, ayant connaissance de l’attirance et de la sympathie que j’ai dĂ©veloppĂ© pour Alice. Mise Ă part quelques fautes, il ne trouve pratiquement rien Ă changer.
D’ailleurs, ce dernier me pose une question qui lui brĂ»le les lèvres : « Est-ce que tu ressent de l’amour pour Alice ? ». Je suis pensive. Autant, par le passĂ©, j’aurai rĂ©pondu non de suite, autant pour le prĂ©sent, j’en suis moins convaincue. Toutes ces journĂ©es Ă lui parler, Ă lui dire oh combien je la trouve attirante, Ă quel point j’ai envie de la revoir, qu’elle me manque et le fait qu’on ai bien des points en commun me font douter. De plus, depuis peu, je m’imagine l’appeler « ma chĂ©rie ». J’ai cette envie qui s’en vient chaque fois que je pense Ă elle, notamment dans mes moments Ă©rotiques. Cela ressemble fort Ă une fille amoureuse qui souhaite revoir son/sa bien-aimĂ©(e) au plus vite pour vivre, de nouveau, de beaux moment ensemble, main dans la main ou enlacĂ©s.
Je n’irai pas jusqu’Ă dire que cela m’effraie, au contraire, cela me rend heureuse mais je m’en Ă©tonne moi mĂªme, surtout que cette attitude de ma part se dĂ©veloppe tout naturellement. J’ai souvenir que je me comportais ainsi lorsque j’Ă©tais avec ma petite amie mais, en aucun cas avec quelqu’un pour qui on a juste de l’amitiĂ©. Toutefois, je reviens Ă la raison et celle-ci me fait dire que, si amour il devait y avoir, cela serait impossible. Je pourrais Ăªtre amoureuse d’Alice mais pas de son cĂ´tĂ© naturel masculin. Or, ces deux facettes appartiennent Ă une seule et mĂªme personne. Je ne peux, en aucun cas, lui demander qu’elle cesse d’Ăªtre un homme. Par ailleurs, elle ne le souhaite pas et s’accommode de cette situation, contrairement Ă moi qui n’hĂ©siterai pas Ă devenir une trans puis une femme.
Je souhaiterai faire un nouveau shooting et je demande Ă Alice de choisir la tenue que je devrais porter. Elle hĂ©site grandement. J’ai tellement de tenues qui lui plaise que le choix devient difficile, surtout qu’on souhaite tester les quelques produits de maquillages que je viens d’acheter (particulièrement un rouge Ă lèvres violet). Elle me parle d’une robe longue de soirĂ©e Ă dos nu qu’elle aime beaucoup. Je lui parle alors d’une autre robe violette, sans toutefois lui montrer. Elle la dĂ©couvrira par la suite. J’ai aussi reçue une nouvelle perruque longue blonde. Le lendemain, alors que je suis seule, j’en profite pour me maquiller avec du violet et j’enfile cette perruque. Je ne trouve pas le rĂ©sultat formidable et l’odeur chimique que dĂ©gage cet accessoire m’embaume les narines.
Une odeur forte qui n’est pas sans rappeler celle des produits pour dĂ©teindre les cheveux. De l’ammoniaque peut-Ăªtre ? Je n’en sais rien mais ça pu. J’enfile la robe longue Ă dos nu ainsi qu’une paire d’escarpins noire brillante Ă plate-forme. Je descend, fais quelques clichĂ©s dont j’envoie deux trois photos Ă Alice qui est en train de bosser, et je remonte me changer pour enfiler l’autre robe violette. Rebelote pour des photos. Sur la fin, j’enlève la perruque (qui me serre trop la tĂªte) et fait quelques clichĂ©s au naturel, ce qui me va bien mieux selon moi. Le soir, je revois Alice sur le tchat. Nous discutons un peu et je lui envois les clichĂ©s. Elle est pas super fan de la robe mais apprĂ©cie les clichĂ©s quand mĂªme.
Alice souhaite me rencontrer de nouveau le week-end mais, malheureusement, je ne suis pas en mesure de la recevoir Ă©tant absent le samedi et la venue de proche le dimanche. Elle est très déçue et moi aussi. L’occasion de se voir vite Ă©tait si belle mais tombe Ă l’eau. Toutefois, c’est un mal pour un bien car ça me permet de prĂ©parer mon petit cadeau pour elle.
Par ailleurs, rĂ©gulièrement, je me rĂ©veille très tĂ´t le matin alors qu’il n’est pas encore l’heure de me rĂ©veiller, vers 5-6h, je bande fort (la gaule matinale comme on dit), je suis excitĂ©e. Je pense alors Ă elle et je ne peux m’empĂªcher de me caresser tout le corps Ă travers ma nuisette ou mon pyjama de satin. Je commence aussi Ă caresser mon clito dĂ©jĂ bien gonflĂ© de dĂ©sir pour Alice que je ne tarde pas Ă prendre en main alors qu’il est encore sous ma robe de nuit. Le contact de la matière rend la chose plus agrĂ©able encore. Une main sur mon membre tandis que l’autre caresse tout mon corps, s’attardant sur mes tĂ©tons tout durcis et mon anneau culier. Je m’imagine alors en pleine scène de dĂ©sir et de plaisir avec Alice. J’imagine que mes mains qui me caresse et me masturbent sont en rĂ©alitĂ© les siennes. Je finie par me mettre Ă quatre pattes, me masturbant avec vigueur, commençant Ă Ă©taler le prĂ©-cum sur mon entrejambe satinĂ©e.
Le tissu mouille. J’ondule le bassin d’avant en arrière comme pour simuler une pĂ©nĂ©tration. Je parle Ă voix basse, je chuchote des mots doux comme si je lui parlais, en demandant qu’elle me fasse l’amour. Oui, l’amour, je ne cherche pas la baise torride, je veux de la dĂ©licatesse, de la sensualitĂ© et de la tendresse. Je veux ses caresses, la sentir collĂ©e Ă moi, sentir qu’elle m’embrasse la bouche et le cou. Je prends mon tends Ă m’imaginer me gouiner avec elle. Cela dure de longues minutes, parfois plusieurs dizaines car je ne suis pas une rapide pour venir. Parfois, je finie par m’installer sur mon PC encore allumer, regardant une vidĂ©o ou deux pour m’exciter encore. Je regardes des travesties ou des transsexuelles qui se gouinent. A force de va et vient sur ma tige durcie, ce qui doit arriver, arrive enfin et je souille de mon jus mes vĂªtements. Je me recouche alors, fatiguĂ©e de ce plaisir physique et me rendort un temps.
Je reçois finalement la robe plus tĂ´t que prĂ©vue. J’aurai finalement pu tout avoir pour notre rencontre annulĂ©e. Dommage. Je lui envoi par sms la photo du paquet sans rien dire sur son contenu. Via le tchat, je lui fait part de mon stress Ă savoir si ça lui plaira mais elle me rassure en me disant que si ça vient de moi, ça lui plaira forcĂ©ment. Toutefois, je sent que, pour elle, le fait de lui faire un cadeau la gĂªne, que je vais peut-Ăªtre un peu vite en besogne. Franchement ce n’est pas le but. D’ailleurs, je lui dit que j’agis comme ça, comme je le ferai avec les personnes que j’aime et que j’apprĂ©cie beaucoup comme mes amis. C’est un peu couillon car, au fond, je ne sais jamais si j’agis bien ou pas, ou du moins si le cadeau en question plaira alors que c’est justement le but.
J’essaie toujours d’acheter quelque chose qui est dans le domaine de ce que la personne aime. Enfin … Alors que je rentre d’un dĂ®ner au resto le samedi, elle aussi m’a fait une surprise sous forme de photos … enfin ça n’en est pas une car elle m’avait dit ce qu’elle en ferais quelques unes le soir mĂªme. Elle m’envoie une première photo. Elle est coiffĂ©e de sa dernière perruque blonde mi-longue, un maquillage lĂ©gèrement moins marquĂ©, une chemise blanche et une veste noire. Elle est juste sublime. Je suis totalement sous le charme. C’est Ă se demander si elle cherche pas Ă ce que je tombe amoureuse d’elle avec un tel physique. En tout cas, comme d’accoutumĂ©, elle me donne vraiment envie de l’embrasser. Une petite idĂ©e me vient alors. Je lui demande de mettre ses lunettes.
En effet, un dĂ©fi liĂ© Ă un costume ou un uniforme professionnel est mit en ligne et j’ai dans l’idĂ©e qu’avec cet accessoire visuel, elle ressemblerait beaucoup Ă une secrĂ©taire ou une maĂ®tresse d’Ă©cole … et ça ne rate pas. Elle m’envoie la photo qui me confirme l’idĂ©e que j’avais en tĂªte. Manquerai plus qu’un petit collier dorĂ© pour la touche finale et elle serait parfaite. Je lui propose de tester un tailleur que j’ai chez moi. Elle serait tellement classe avec … Au fond, je me dit que j’ai beaucoup de chance quand mĂªme qu’elle rechigne Ă poster des photos d’elle sur le site. Ainsi, je suis la seule Ă pouvoir profiter de sa beautĂ©. Quelle aubaine !
La rencontre se précise
Je peine Ă©normĂ©ment Ă trouver un crĂ©neau pour Ă©tablir un nouveau rendez-vous avec ma belle Alice. Chaque fois, un imprĂ©vu (ou plutĂ´t un « pas encore prĂ©vu ») s’immisce dans notre plan de rencontre. J’ai systĂ©matiquement la visite d’un membre de ma famille pour X raisons. Pas moyen d’avoir une journĂ©e du week-end tranquille et ça me stresse pas mal. Je ne peux mĂªme pas leur avouer que je voudrais la recevoir tranquille. DĂ©cembre arrive sur un week-end et nous tentons de mettre en place une rencontre pour le Dimanche. Malheureusement, encore une fois, je risque d’avoir de la visite familiale.
Ce n’est pas certain, surtout que la mĂ©tĂ©o annonce un mauvais temps, mais le risque est lĂ . C’est aussi le prix Ă payer Ă vivre dans la maison de ma mère. Elle n’habite plus lĂ mais elle vient rĂ©gulièrement quand son compagnon est absent pour le boulot ou ses loisirs sportifs. Du coup, raz le bol ! J’ai trop envie de revoir ma petite beautĂ© blonde et je dĂ©cide de contacter Alice pour lui proposer d’aller Ă sa rencontre, chez elle, si jamais ma mère vient. Elle accepte volontiers, bien que me recevoir chez elle la stresse un peu. Comme d’accoutumĂ©, je la rassure, notamment en lui proposant de lui faire un petit massage si elle est trop stressĂ©e.
Bon, en toute franchise, je ne m’y connais pas plus en massage qu’en mĂ©canique auto et, de souvenir, par le passĂ©, mes massages s’apparentaient plus Ă des caresses qu’Ă un passage dans un salon de massage ou chez le kinĂ©. Je veux dire que je ne connais pas les gestes Ă faire mais, au fond, peu importe. D’ailleurs, j’espère bien que mon massage se transformera en caresses. Mon imagination dĂ©bordante, surtout quand il s’agit d’Alice, prend souvent le dessus et des scènes Ă©rotiques fourmillent dans mon esprit quant Ă ce qu’il adviendrait de ces caresses. Je me vois très douce avec elle, lui massant le dos, elle Ă©tant allongĂ©e sur le ventre, et ne pouvant m’empĂªcher de me pencher vers elle pour lui embrasser la nuque, lui prenant son visage entre mes mains gantĂ©es de latex pour le tourner sur le cĂ´tĂ© et l’embrasser Ă pleine bouche.
D’ailleurs, ce n’est pas le seul fantasme que j’ai avec elle et, quotidiennement, j’ai ma petite sĂ©ance masturbatoire en pensant Ă elle et tout ce que nous pourrions entreprendre toutes les deux. Dans ces moments lĂ , je ne peux m’empĂªcher de citer son nom Ă haute voix pour lui dire Ă quel point j’ai envie d’elle. C’est un peu con vu qu’elle n’est pas lĂ mais ça ne serait pas la première fois que je pratiquerai la soliloquie.
Alice et moi, nous rĂ©flĂ©chissons sur les tenues que nous porterons durant cette rencontre. Nous nous fixons sur un nombre restreint de fringues. Quelques fringues en latex et mon costume de vampire que j’ai enfin reçu. Je prend Ă©galement une robe rouge qu’elle a vu dans mes photos et tous le nĂ©cessaire pour faire le bondage. J’ai Ă©galement reçu, Ă cet effet, un lot de sangles en cuir que j’avais commandĂ© ainsi que deux cordes. Je ne dispose que d’une petite valise qui est très rapidement remplie. Autre chose que je n’ai pas dit Ă Alice : j’ai retrouvĂ© ma chemise et ma jupe crayon en vinyle. Je compte les mettre pour la rencontre. Ça lui fera très plaisir je pense, elle qui voulait absolument me voir avec. J’y adjoindrai aussi ma veste, mes bas et porte jarretelles ainsi que mes gants longs et, peut-Ăªtre, mon corset, le tout Ă©galement en vinyle noir.
La veille, une bonne nouvelle arrive. Finalement, je n’aurai pas de visite le Dimanche. Je m’empresse de prĂ©venir Alice qui en est ravie. Ça la stresse moins de venir chez moi et ça lui permettra de porter les talons toute la journĂ©e, son sol Ă©tant en parquet et rĂ©sidant dans un immeuble. Quelque part, ça me rassure aussi car je n’aurai pas Ă©tĂ© tranquille Ă l’idĂ©e d’aller en ville en femme. Je sort ainsi dans les endroits que je connais mais en ville, avec tout ce monde, ça me dĂ©range. Je vais donc faire 3 courses et, elle, emmènera le repas du midi. Elle ne sait pas trop Ă quelle heure arriver. Elle parlait de fin de matinĂ©e, dĂ©but d’après midi. Je lui propose de passer plutĂ´t sur les coups de 9-10h pour profiter pleinement de la lumière du jour pour la qualitĂ© des photos, ayant souvenir de celles faites le soir la dernière fois. Cela dit, j’ai la flemme de dĂ©faire la valise que j’avais prĂ©parĂ©e. On se servira direct dedans.
Sa venue m’excite aussi sexuellement et ce n’est pas la culotte avec plug anal intĂ©grĂ©, que je porte toute la journĂ©e, qui va me calmer, au contraire. En prime, continuant Ă penser Ă elle, je sort un gode que je suce avec aviditĂ©, comme s’il s’agissait de sa propre queue dont j’ai très envie depuis bien des jours. Une envie croissante s’empare de moi depuis notre dernière rencontre. Chaque jour qui passe me fait gagner en envie de sexe, de son sexe et je pense bien que cela ne retombera pas aussitĂ´t qu’elle sera rentrĂ©e chez elle. J’essaie, tant bien que mal, de garder la raison, de me dire que cela se passera comme la prĂ©cĂ©dente rencontre, juste avec des photos et des effleurements mais non, je veux plus cette fois. Je veux aller plus loin.
Pas spĂ©cifiquement coucher avec elle, d’autant plus que je pense qu’elle n’est peut-Ăªtre pas prĂªte à ça (d’ailleurs, en a-t-elle juste envie ?), mais ne serait-ce que plus de caresses et de tendresses. La prendre et la serrer contre moi. Lui montrer que je me sent bien avec elle, bien qu’elle le sache dĂ©jĂ et lui faire sentir mon sexe durci par l’excitation. Je veux voir si cela rĂ©veille quelque chose en elle, si le dĂ©sir monte chez elle aussi.
Il est grand temps de faire du nettoyage, comme lors de sa prĂ©cĂ©dente venue. Cette fois-ci, je ne me dĂ©gonfle pas. J’enfile une tenue de femme de chambre avec le petit tablier et entame un nettoyage en règle, notamment ma chambre et la salle de bain dans laquelle nous nous prĂ©parerons et nous ferons belles l’une pour l’autre.
Le jour J
Le dimanche matin arrive enfin. J’ai peu dormi la nuit, m’Ă©tant rĂ©veillĂ©e Ă 4h30 du matin et m’Ă©tant rendormie une heure plus tard. Je me rĂ©veille Ă 9h. Je suis heureuse que la rencontre n’est finalement pas eu lieu Ă cette heure-ci. Je bois mon cafĂ©, tranquillement puis je me part me doucher. Je reçoit un premier message de sa part ¾ d’heure après mon rĂ©veil. Elle sera un peu en retard. Pas grave. Au point oĂ¹ j’en suis, ça me donnera un peu plus de temps. Je me maquille et commence Ă me prĂ©parer. 20 minutes plus tard, un second message qui fait retomber tout enthousiasme que je ressentait jusqu’alors.
Elle vient de tomber en panne. Je suis dĂ©goĂ»tĂ©e. Après tant de temps Ă chercher Ă se revoir, voilĂ que la mĂ©canique fait des siennes. Je me ressaisie vite et lui demande oĂ¹ elle se trouve. Je retrouve un semblant de sourire lorsqu’elle me donne sa position. Elle n’est qu’Ă 5km de la maison. Ni une, ni deux, je lui dit que je finie de me prĂ©parer et que je vient la chercher. Je finie de m’habiller avec un ensemble intĂ©gralement en vinyle noir dont la chemise et la jupe rĂ©cemment retrouvĂ©e. Une paire d’escarpins et hop, je file voir ma dulcinĂ©e en galère. Je la trouve au lieu dit, ou du moins son cĂ´tĂ© naturel masculin. Cela ne me pose guère de problème car je sais qu’elle ne sort jamais de chez elle en femme. Elle ne s’attendait pas Ă ce que je vienne en tenue.
Nous attendons la dĂ©panneuse puis repartons chez moi. Le temps qu’elle se fasse une petite beautĂ© afin de retrouver ma belle Alice au fĂ©minin puis nous entamons un premier shooting photo. Elle remet la première tenue qu’elle avait portĂ©e lors de notre première rencontre et je pose avec elle dans ma tenue de vinyle. DĂ©jĂ , je n’hĂ©site plus Ă la serrer contre moi. Très vite, midi passe. Je met le four Ă tourner pour rĂ©chauffer une tarte qu’elle a faite. Le temps qu’il chauffe, nous montons dans ma chambre. Je lui montre 2-3 trucs sur mon ordinateur puis je lui offre enfin le cadeau que j’ai prĂ©parĂ© pour elle, m’excusant, en plaisantant, du manque de papier cadeau et de la rĂ©alisation sommaire de l’emballage.
Elle se hĂ¢te d’ouvrir la boite et dĂ©couvre, en premier, la longue robe rose d’Ă©tĂ© qui lui plaĂ®t beaucoup et qu’elle n’hĂ©site pas a essayer de suite. Simple mais efficace comme elle Ă l’habitude de dire. Elle peine Ă ouvrir le second emballage. Elle m’embrasse sur la joue pour me remercier après un petit quiproquo oĂ¹ j’ai tentĂ© de lui voler un premier baiser. Nous descendons donc au salon, prenons un ciseaux et elle dĂ©couvre avec une certaine surprise les sandales Ă talons. Elle aime beaucoup Ă©galement. Ouf, me voilĂ rassurĂ©e. Je met la tarte au four pour 3 minutes et nous entamons un nouveau shooting avec sa robe. Enfin nous passons Ă table. Non contente de me plaire beaucoup en femme, elle a aussi le talent de la cuisine. Sa tarte est très bonne. Nous discutons un peu durant le repas puis s’en vient le dessert. Rien de folichon avec un yaourt au chocolat.
Après ce petit repas, nous nous lançons dans le shooting vampire, celui que nous aurions dĂ» faire lors de la première rencontre. Nous nous habillons et allons dans la salle de bain pour prĂ©parer la colle pour les fausses dents. Bien vite, la sienne paraĂ®t bien nulle. Ça ne colle pas des masses et elle se retrouve avec une pĂ¢te rose plein les dents. Le temps de faire un petit nettoyage et nous utilisons la colle que j’ai achetĂ©e, qui semble bien plus efficace. Chacune nous collons nos fausses canines puis nous retournons au salon pour quelques photos, parfois assez clichĂ©.
En exemple, nous posons en faisant semblant de mordre la gorge de l’autre. Nous changeons de tenue. Elle se rhabille très sexy et court, comme Ă la première rencontre, en ajoutant un collier ras de cou Ă©crit «slut» et changeant des cuissardes par sa nouvelle paire de chaussures fraĂ®chement offerte. De mon cĂ´tĂ©, je met une robe mi-longue rouge et noire. Je pose Ă©galement avec une autre robe Ă rayures style marinière que je me suis faite faire rĂ©cemment. Durant cette première partie de rencontre, je continue Ă prendre Alice par la taille et Ă me coller Ă elle.
Ça dérape
Un peu stressĂ©es mais excitĂ©es Ă l’idĂ©e de la suite, nous dĂ©cidons de passer aux choses sĂ©rieuses en enfilant les tenues en latex. Nous souhaitons refaire un shooting bondage dominatrice soumise. Je lui propose de commencer en tant que soumise mais elle prĂ©fère en tant que dominatrice. La suite me fera penser qu’elle avait des idĂ©es derrières la tĂªte Ă se moment lĂ . Nous montons dans ma chambre, ayant prĂ©parĂ©e les accessoires pour cette pratique. Pendant qu’elle s’habille, je revĂªt ma tenue de soubrette en latex, agrĂ©mentĂ©e de bas et de gants longs. Je dĂ©couvre alors sa tenue. Elle est magnifique en latex.
Elle porte un chemisier, une jupe ouverte sur le devant, des bas, gants et serre-taille en latex noir, agrĂ©mentĂ© de cuissardes. Je peut apercevoir son sexe, ou du moins le deviner car il est enfermĂ© dans une cage de chastetĂ© rose. Je m’installe sur le lit et pose Ă quatre pattes, montrant sans honte aucune mon cul. N’ayant pas de culotte, elle peut aisĂ©ment voir mon sexe qui pendouille. Je n’ai aucun regret Ă lui montrer, bien au contraire, je veux qu’elle le voit, qu’elle profite de cette vue. Je m’amuse Ă©galement avec la cravache, la faisant passer entre mes jambes ou la portant Ă ma bouche tel un chien qui fait le beau avec sa balle dans la gueule.
Son tour vient pour quelques poses similaires oĂ¹ j’ai le luxe de pouvoir profiter pleinement de la vue de ses fesses et de son sexe encager. J’ai envie de lui, je le dĂ©sire tandis que je prends les clichĂ©s. Nous entamons alors quelques photos en binĂ´me oĂ¹ elle joue de la cravache sur mes fesses. Elle rajoute ensuite un collier Ă double rangĂ©e de pointes sur lequel elle accroche une laisse de chien en nylon noir. On refait quelques photos ainsi oĂ¹ elle me tient en laisse comme sa chienne soumise. J’aime cette situation. Cela m’excite d’Ăªtre sa soumise en laisse.
La sĂ©ance de bondage commence lorsqu’elle me menottes les poignets et les chevilles et me bĂ¢illonne la bouche. Elle est inquiète de la taille de la boule qui peine Ă rentrer entre mes mĂ¢choires. Elle m’enlève le tout après quelques clichĂ©s et me saucissonne tout le corps avec les sangles en cuir. Nous utilisons un bas en latex pour me bander les yeux. Elle en profite pour me caresser de sa cravache. DĂ©jĂ , l’excitation monte. Elle me dĂ©tache de nouveau et nous utilisons un nouvel accessoire : mon sac de couchage en latex noir.
Elle m’enferme dedans, n’ayant que la tĂªte qui dĂ©passe puis me rĂ© attache avec les sangles. Je me sent bien, confortablement enveloppĂ©e dans ce cocon de latex et je lui en fait part tout comme le fait que je lui avait promis un massage. Elle prends quelques clichĂ©s puis se met sur moi, me chevauche. Contrairement Ă ce que j’avais imaginĂ© les jours prĂ©cĂ©dents, ce n’est pas moi mais elle qui tente de me masser. C’est assez maladroit dans les gestes mais j’aime. J’aime le fait que nous soyons toutes les deux en latex et le fait qu’elle prenne l’initiative de me masser. Avec le recul, je me demande si le fait de vouloir passer en dominatrice en premier n’Ă©tait pas une raison pour pouvoir profiter de mon corps avant que je puisse en faire autant.
A croire qu’elle savait ce que je prĂ©parais pour elle. D’abord le dos puis le massage passe devant. Elle se sent gĂªnĂ©e car le latex ne glisse pas comme elle l’aurait souhaitĂ©e et se rend compte de ses gestes maladroits mais je lui fait part que j’apprĂ©cie quand mĂªme. Elle me dit qu’elle pourrait bien en profiter si j’aime et je lui donne ma permission d’oser franchir le pas. Cette permission aura de lourdes consĂ©quences pour la suite car son massage maladroit cesse aussitĂ´t, laissant place Ă des caresses tout le long de mon corps. A partir de lĂ , la marche arrière n’est plus une option. Je ne sais pas si elle Ă conscience qu’en dĂ©butant cela, elle rentre dans un jeu qu’elle ne pourrai peut-Ăªtre pas maĂ®triser. Je la veux mienne, je la dĂ©sire depuis si longtemps qu’elle ne se rend peut-Ăªtre pas compte de ce qu’elle enclenche, de ce qu’elle provoque et rĂ©veille en moi : une folle envie de la possĂ©der.
J’ai les yeux fermĂ©s et profite pleinement des sensations que cela me procure. Elle hĂ©site Ă passer sur mon sexe dans un premier temps mais me voyant excitĂ©e en entendant ma respiration saccadĂ©e, elle se met Ă passer sa main dessus. Je commence Ă avoir une certaine Ă©rection. Je sent, contre mon sexe, sa cage de chastetĂ©. Par petits mouvements de bassin, je tente de frotter mon clito contre le sien. Elle commence alors par me dĂ©tacher les sangles, une par une, petit Ă petit. Je voit qu’elles la dĂ©rangent dans ses caresses. AussitĂ´t toutes les sangles enlevĂ©es, elle ouvre le zip du sac de couchage tout en continuant ses caresses. Je peux alors sortir mes bras et participer, moi aussi Ă la caresser. Je sent qu’elle aussi est très excitĂ©e, renversant par moment sa tĂªte en arrière, son souffle haletant, les yeux parfois fermĂ©s. Je la caresse partout, y compris son sexe que je dĂ©sire tant. Je caresse son corps, sa poitrine, ses fesses.
Nous parcourons nos corps de nos mains gantĂ©es. Les seuls sons Ă nos oreilles, hormis nos halètements saccadĂ©s, sont les bruissements du latex de nos vĂªtements, un bruit qui nous rend folles. Elle se replace un peu vers ma tĂªte. Un faible repositionnement qui place mon sexe sous ses fesses. Mes mouvements de bassin s’accentuent et je sent qu’elle aussi s’y met. Nous nous frottons l’une contre l’autre nos entrejambes. Je la sent frĂ©mir de dĂ©sir. J’hĂ©site Ă me redresser. Je veux sa bouche contre la mienne. Je veux l’embrasser comme je l’ai tant souhaitĂ©. Elle me propose alors de changer de tenue et de rĂ´le. Elle Ă peut-Ăªtre besoin d’une petite pose pour reprendre son souffle. Cela casse notre lancĂ©e mais pas mon envie d’elle.
Plus rien ne m’arrĂªte
Elle descend de moi, se lève du lit puis redescend en bas pour se changer. J’en fait tout autant. Contrairement Ă elle, je n’ai que la robe Ă changer. J’enlève mon tablier de soubrette, la robe que je remplace par ma robe en latex rouge Ă capuche. J’Ă©change aussi mes escarpins que j’avais jusqu’alors (et qui commençaient Ă me faire un mal de chien) par des cuissardes noires. Ainsi, je ressemble Ă un personnage de hentai que j’ai dĂ©couvert deux semaines plus tĂ´t. Je sais qu’elle aime cette tenue, voir qu’elle l’adore puisqu’elle m’en avait fait part lors de nos discussions. Je profite qu’elle ne soit pas lĂ pour titiller mon clito.
J’enfile aussi mon anneau pĂ©nien, celui qui me permet de garder une certaine raideur en Ă©rection (ce qui est peu utile quand on ne bande pas assez). AussitĂ´t vĂªtue, je ferme la porte de ma chambre, je m’allonge sur le lit, cravache Ă la main, j’enfile ma capuche sur la tĂªte et je l’attends. Elle ne tarde pas Ă arriver. Je lui dit d’entrer et elle me dĂ©couvre ainsi. Elle a enfilĂ© son catsuit Ă seins gonflables et Ă remis son serre-taille et ses cuissardes. Elle me fait envie, je la veux. Je ne contrĂ´le plus grand chose. Mon instinct mue par un dĂ©sir de sexe avec elle est plus fort. Alors qu’elle attends que je lui donne un quelconque ordre en tant que maĂ®tresse, je lui souris pour lui faire comprendre qu’elle est dĂ©sirable Ă mes yeux. Je ne sais pas quoi lui dire ou quel ordre lui donner.
Quand bien mĂªme, en ais-je vraiment envie ? Non. A ce moment lĂ , je veux juste reprendre lĂ oĂ¹ nous en Ă©tions. Je me dirige vers elle, la contemplant dans les yeux, je me lève et me place Ă cĂ´tĂ© d’elle, je la tire vers moi en la tenant par sa taille affinĂ©e par le serre-taille, elle se laisse faire. J’entame de nouveau des caresses. Son souffle recommence Ă haleter, Ă saccader. Je la tire vers moi pour me coller Ă elle. Je continu toujours Ă la caresser, je suis dos Ă elle. J’approche mon visage de ses Ă©paules sur lesquelles je vient dĂ©poser quelques baisers. Je n’hĂ©site plus maintenant. Je voulais aller plus loin avec elle et l’occasion est trop belle, d’autant plus qu’elle ne rechigne pas, au contraire. Elle se laisse faire, elle est excitĂ©e elle aussi. Je sent qu’elle en a aussi envie que moi.
J’approche encore mon visage, prĂ©s de son cou sur lequel je dĂ©pose aussi quelques baisers. Je la retourne alors et continu de la caresser partout. Mes mains gantĂ©es n’ont plus aucune hĂ©sitation Ă aller caresser ce sexe qui durci et, avec excitation, joie et impatience, je dĂ©couvre qu’elle a enlevĂ© sa cage. Je la regarde droit dans les yeux et je fait ce dont j’ai tant rĂªvĂ©. J’approche encore une dernière fois mon visage et je l’embrasse. D’abord surprise, elle rĂ©pond bien rapidement Ă ce baiser. Nous nous embrassons trois, quatre fois avant que nos langues finissent par se rencontrer et s’entortiller ensemble. Toute rĂ©sistance, aussi bien pour moi que pour elle ont disparues. Nous nous laissons aller dans ces prĂ©liminaires de caresses et de baisers langoureux.
Nos sexe ne touchent Ă travers nos vĂªtements de latex. Alice n’est plus qu’une poupĂ©e sous mes mains, que j’utilise Ă ma guise. Elle se laisse faire et rĂ©pond Ă mes attentes. Un rĂ´le de soumise que je n’attendais pas aussi rapidement de sa part. La petite sissy timide et hĂ©sitante est bien loin Ă ce moment lĂ . Je ne peux plus tenir et, machinalement, je vais pour rĂ©aliser un autre souhait, en m’accroupissant devant elle. Je plaque ma bouche contre sa verge. Je l’embrasse et me met Ă la lĂ©cher Ă travers sa combinaison. Alice halète fortement. Sans la voir, je peux parfaitement l’entendre. Elle gĂ©mit mĂªme, frĂ©mit d’excitation. Je baisse le zip de son entrejambe et entreprend de sortir son clito. Il est dĂ©jĂ bien dur et sans aucune hĂ©sitation, je le prend en bouche. Je le suce avec aviditĂ© comme je fais sur mes godes. Son gland est très sensible mais peut importe.
A ce moment lĂ , je ne pense qu’Ă mon plaisir, celui de sucer une queue de sissy, sa queue de sissy. Je lui fait savoir, dans un chuchotement suave, que cela fait si longtemps que j’attendais ce moment. Elle ne rĂ©pond pas mais son souffle parle pour elle. Manifestement, je m’y prends bien car elle sort sa queue de ma bouche et me plaque la tĂªte contre ses couilles que, lĂ aussi, je n’hĂ©site pas une seconde Ă lĂ©cher tandis qu’elle plaque son sexe contre elle, m’empĂªchant de la reprendre en bouche. Quelques secondes plus tard, je comprend pourquoi. Elle venait de juter. Quelques traces blanchĂ¢tres maculaient son serre-taille. Je suis déçu, sur le moment, qu’elle ne m’ait pas jouis en bouche.
J’aurai adorĂ© sentir ses jets de sperme. Peu importe, dĂ©s qu’elle retire ses mains, je m’en vais nettoyer ces quelques traces et je reprend son clito en bouche pour le nettoyer Ă©galement. Je lui demande alors de s’allonger, m’installe entre ses jambes et la suce Ă nouveau en mĂªme temps que je la branle. Seul le son de sa voix gĂ©missante est audible dans la chambre. Ainsi, pendant quelques minutes, j’entreprends de lui redonner vigueur, la suçant avec autant d’entrain qu’avant et tentant d’atteindre sa chatte en passant mes doigts derrière ses couilles. J’hĂ©site mĂªme Ă me mettre en 69 avec elle afin qu’elle s’occupe de mon clito dĂ©jĂ bien gonflĂ© mais je n’en fais rien.
Je ne veux pas la forcer Ă me sucer, je pense qu’il vaut mieux que ça vienne d’elle. Je ne peux pas l’atteindre alors je caresse cette zone sensible entre l’anus et ses usines Ă foutre que sont ses testicules mais Alice semble extĂ©nuĂ©e. Je cesse donc et vient m’allonger prĂ©s d’elle, n’omettant pas de l’embrasser une dernière fois.
Le malaise
Nous parlons Ă voix basse. Je lui dit que c’est la première fois pour moi, me rĂ©pondant que pour elle aussi. Je ne pensais pas qu’on irait si loin. Elle me rĂ©pond alors qu’elle non plus mais que c’est peut-Ăªtre aller trop vite pour elle manifestement. Je lui demande alors, sans doute pour me rassurer, si elle en avait envie et elle m’avoue que oui. Sans savoir pourquoi, j’ai une boule au ventre, une gène qui entraĂ®ne un Ă©tat quelque peu nausĂ©eux. Sur le coup, je ne comprends pas pourquoi.
Je lui demande si elle veut faire le shooting avec les sangles. Elle accepte et j’entreprends donc de la saucissonner comme elle m’a fait. Nous faisons quelques clichĂ©s de mauvaises qualitĂ©s, le jour s’Ă©tant dĂ©jĂ couchĂ© et j’en profite pour passer ma cravache tout le long de son corps sur deux allers-retours. Je la sens de nouveau fĂ©brile mais, suite Ă ses propos, je n’insiste pas plus et la dĂ©tache. Durant la demi-heure qui va suivre, Alice se lève et descends pour aller boire un coup. Je la suis, nous buvons un verre d’eau chacune et elle entreprends d’Ă´ter sa combinaison et de ranger ses affaires.
Je remonte pour enlever mes vĂªtements collants Ă cause de la sueur, restant seule dans la chambre. Au passage, Ă©tant pieds nus, je dĂ©couvre, sur le sol de ma chambre, une petite flaque un peu visqueuse. Je la touche et constate que c’est le sperme d’Alice. Je l’essuie avec du papier toilette et jette le tout Ă la poubelle. Quel petite coquine cette Alice, elle m’en a foutue partout, me dis-je. Je me sens mal, non seulement au ventre mais aussi moralement. Alice m’avait fait part, avant notre premier rendez-vous, d’un Ă©vĂ©nement qui l’avait quelque peu embarrassĂ©e, Ă savoir le fait d’avoir Ă©tait trop vite dans la relation sexuelle avec une petite amie par le passĂ©.
Comme ici, elle ne regrettait pas cette relation sexuelle mais s’en voulait malgrĂ© tout et j’ai la nette impression que c’est ce qui est arrivĂ© encore aujourd’hui pour elle. Moi qui lui disait que je n’irais jamais contre sa volontĂ© et que je ferai en sorte de prendre mon temps pour m’occuper d’elle. J’ai, quelque part, l’impression d’avoir trahi cette parole. D’un cĂ´tĂ©, je m’en veux pour elle mais d’un autre, je me dis que c’est elle qui a lancĂ© les festivitĂ©s avec ses caresses. Je la dĂ©sirai tellement et aujourd’hui, j’en suis malade au point de me demander si elle voudra qu’on continu Ă se voir sachant très bien ce qui pourrait advenir pour la suite, Ă savoir une relation sexuelle plus poussĂ©e, avec pĂ©nĂ©tration. Je finie par redescendre et dĂ©couvre Alice, nue, pleine de talc.
Je lui propose de prendre une douche qu’elle accepte et durant laquelle je me dĂ©maquillerai. Je me rhabille tandis qu’elle se dĂ©maquille et s’habille de nouveau au masculin. Je cherche un mĂ©dicament contre la nausĂ©e mais je n’en trouve pas et Alice s’inquiète un peu de cette situation. Elle aussi cherche Ă comprendre ces nausĂ©es et tente de l’expliquer par le goĂ»t du sperme lui mĂªme. J’appel ma mère qui m’invite Ă venir chercher le mĂ©dicament en question et manger chez elle au passage. Alice rĂ©sident non loin de chez elle, j’accepte.
Le retour chez Alice se passe bien. Nous discutons un peu de tout et mes maux de ventre commencent Ă disparaĂ®tre. Je la dĂ©pose chez elle et entame la route chez ma mère. A mon arrivĂ©e, la nausĂ©e Ă pratiquement disparue. Sur le chemin du retour, je suis songeuse et je finie par comprendre que mes maux de ventre son d’ordre psychologique. Avec le recul, je pense que c’est le fait d’avoir Ă©tĂ© trop vite avec Alice, et du malaise que cela a entraĂ®ner qui m’a provoquĂ© cet Ă©tat nausĂ©eux. Je me reconnecte sur le site sur lequel on tchat mais elle n’est pas lĂ . Qu’Ă cela ne tienne, je lui laisse un long message pour lui exprimĂ© mes remords si elle exprimait le moindre regret par ma faute, pour Ăªtre aller trop vite.
Le lendemain matin, je souhaite continuer Ă lui Ă©crire mon message mais je me rend compte qu’il est mal Ă©crit de base. De plus, en discutant de ces remords avec l’administrateur du site, avec qui je discute rĂ©gulièrement, il me fait comprendre que les remords ne viennent pas de moi mais d’Alice, que c’est elle qui doit s’en vouloir de ne pas avoir su garder son self control. Je me rend compte que le premier message ne va pas dans le sens de ce que je souhaitais. Du coup, je le supprime pour le réécrire mais via la messagerie privĂ©e cette fois. Un long message dans lequel je veux la rassurer et lui dire qu’elle n’ai pas de regret Ă avoir tant elle m’a rendue heureuse la veille.
Je lis sa rĂ©ponse le soir, en rentrant d’un anniversaire. Elle cherche Ă me rassurer de ne pas m’en vouloir et me conforte dans la raison de son regret. Elle m’avoue Ă©galement ne pas avoir pris de congĂ©s pour un rdv en semaine comme nous devions l’organiser car elle a besoin de faire le point, comme la fois prĂ©cĂ©dente et me rappelle aussi qu’elle n’est pas amoureuse, mais ça, mĂªme si je suis un peu déçue, je le savais dĂ©jĂ et je dois m’y faire. Une longue rĂ©ponse de ma part conclue cette seconde partie, lui expliquant les sentiments entre amour et amitiĂ© que j’ai pour elle et cherchant Ă la rassurer sur le fait que je comprends très bien ses dĂ©cisions.
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