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La rencontre (Episode 2)

par Histoires de Sissy

Le début de l’histoire se trouve ici 

Préparation de la rencontre suivante

Dés le lendemain de ces aveux, nous commençons déjà à parler d’une future rencontre. De temps en temps, je remet, ici et là, quelques allusions au fait que j’ai envie d’elle, que son petit clito tout mignon me donne envie. Je ne sais pas si elle ressent les mêmes choses même si elle y fait plus ou moins allusion. Ce n’est pas aussi clair et net que ce que je lui raconte sur mes envies avec elle. J’aimerai la voir aussi sûr que moi, qu’elle me raconte, avec autant d’aplomb, ce qu’elle a envie, vraiment, avec moult détails qui me ferai bander mon beau clito mais, à force de parler avec elle, je sais qu’elle est plus réservée que moi sur le sujet. Elle ne veut sans doute pas brusquer les choses ou c’est juste naturel chez elle, ce qui met ma patience à rude épreuve.

C’est dommage mais je m’y fais. Je tente, quand même, de ne pas en faire trop. Je ne veux pas la brusquer malgré la rencontre que nous venons de faire et qu’elle s’agace de cela à la longue. Ce serait dommage de cesser ce petit jeu de séduction érotique. Nous établissons, également, qu’il nous faudrait d’avantage de matériel, notamment pour faire des photos de bondage plus élaborées. Nous passons alors un certain temps sur des sites qui vendent ce genre d’articles ou des plus généralistes comme Amazon et Ebay. Nous arrivons à trouver ce dont on a besoin. D’abord réticente à passer commande de par mes finances, je me laisse finalement tenter.

En même temps, Alice se donne pour mission de trouver de nouvelles chaussures, rose fuchsia comme elle adore tant. Je l’aide dans ses démarches, ce qui me permet de cibler ses goûts dans ce domaine et de lui donner conseil. Toutefois, sans lui dire, je lui ai commander une paire de sandales de cette couleur en vernie, sans d’ailleurs savoir si ça lui plaira ou pas. Apparemment, elle n’est pas fan des chaussures avec le bout ouvert (alors toute la chaussures, je n’imagine même pas). J’ai pris également une robe d’été longue, sans manche, en fuchsia. Bon, j’ai limité le côté financier donc ça ira mais je stresse pas mal car je n’ose imaginer si mon cadeau ne lui plaît pas. Ça lui fera un cadeau de Noël avant l’heure si nous nous rencontrons avant cette fête. J

e me suis également mise à l’écriture du récit que vous lisez actuellement. Cela m’a pris quelques jours avec son aide car j’avais quelques soucis de mémoire sur le tout début de notre rencontre sur le site. J’y ai tout noté, tel que les événement ceux sont réellement passés. Je lui ai fait lire aussitôt l’écriture de la première partie finie et ça lui a beaucoup plu. J’ai également fait lire ce texte à l’administrateur du site qui, sur un autre, publie des textes plutôt à caractère porno. Il me fait comprendre que, peu importe si c’est porno ou pas. L’essentiel est que ça parle de travesties. Il lit avec grand intérêt, ayant connaissance de l’attirance et de la sympathie que j’ai développé pour Alice. Mise à part quelques fautes, il ne trouve pratiquement rien à changer.

D’ailleurs, ce dernier me pose une question qui lui brûle les lèvres : « Est-ce que tu ressent de l’amour pour Alice ? ». Je suis pensive. Autant, par le passé, j’aurai répondu non de suite, autant pour le présent, j’en suis moins convaincue. Toutes ces journées à lui parler, à lui dire oh combien je la trouve attirante, à quel point j’ai envie de la revoir, qu’elle me manque et le fait qu’on ai bien des points en commun me font douter. De plus, depuis peu, je m’imagine l’appeler « ma chérie ». J’ai cette envie qui s’en vient chaque fois que je pense à elle, notamment dans mes moments érotiques. Cela ressemble fort à une fille amoureuse qui souhaite revoir son/sa bien-aimé(e) au plus vite pour vivre, de nouveau, de beaux moment ensemble, main dans la main ou enlacés.

Je n’irai pas jusqu’à dire que cela m’effraie, au contraire, cela me rend heureuse mais je m’en étonne moi même, surtout que cette attitude de ma part se développe tout naturellement. J’ai souvenir que je me comportais ainsi lorsque j’étais avec ma petite amie mais, en aucun cas avec quelqu’un pour qui on a juste de l’amitié. Toutefois, je reviens à la raison et celle-ci me fait dire que, si amour il devait y avoir, cela serait impossible. Je pourrais être amoureuse d’Alice mais pas de son côté naturel masculin. Or, ces deux facettes appartiennent à une seule et même personne. Je ne peux, en aucun cas, lui demander qu’elle cesse d’être un homme. Par ailleurs, elle ne le souhaite pas et s’accommode de cette situation, contrairement à moi qui n’hésiterai pas à devenir une trans puis une femme.

Je souhaiterai faire un nouveau shooting et je demande à Alice de choisir la tenue que je devrais porter. Elle hésite grandement. J’ai tellement de tenues qui lui plaise que le choix devient difficile, surtout qu’on souhaite tester les quelques produits de maquillages que je viens d’acheter (particulièrement un rouge à lèvres violet). Elle me parle d’une robe longue de soirée à dos nu qu’elle aime beaucoup. Je lui parle alors d’une autre robe violette, sans toutefois lui montrer. Elle la découvrira par la suite. J’ai aussi reçue une nouvelle perruque longue blonde. Le lendemain, alors que je suis seule, j’en profite pour me maquiller avec du violet et j’enfile cette perruque. Je ne trouve pas le résultat formidable et l’odeur chimique que dégage cet accessoire m’embaume les narines.

Une odeur forte qui n’est pas sans rappeler celle des produits pour déteindre les cheveux. De l’ammoniaque peut-être ? Je n’en sais rien mais ça pu. J’enfile la robe longue à dos nu ainsi qu’une paire d’escarpins noire brillante à plate-forme. Je descend, fais quelques clichés dont j’envoie deux trois photos à Alice qui est en train de bosser, et je remonte me changer pour enfiler l’autre robe violette. Rebelote pour des photos. Sur la fin, j’enlève la perruque (qui me serre trop la tête) et fait quelques clichés au naturel, ce qui me va bien mieux selon moi. Le soir, je revois Alice sur le tchat. Nous discutons un peu et je lui envois les clichés. Elle est pas super fan de la robe mais apprécie les clichés quand même.

Alice souhaite me rencontrer de nouveau le week-end mais, malheureusement, je ne suis pas en mesure de la recevoir étant absent le samedi et la venue de proche le dimanche. Elle est très déçue et moi aussi. L’occasion de se voir vite était si belle mais tombe à l’eau. Toutefois, c’est un mal pour un bien car ça me permet de préparer mon petit cadeau pour elle.

Par ailleurs, régulièrement, je me réveille très tôt le matin alors qu’il n’est pas encore l’heure de me réveiller, vers 5-6h, je bande fort (la gaule matinale comme on dit), je suis excitée. Je pense alors à elle et je ne peux m’empêcher de me caresser tout le corps à travers ma nuisette ou mon pyjama de satin. Je commence aussi à caresser mon clito déjà bien gonflé de désir pour Alice que je ne tarde pas à prendre en main alors qu’il est encore sous ma robe de nuit. Le contact de la matière rend la chose plus agréable encore. Une main sur mon membre tandis que l’autre caresse tout mon corps, s’attardant sur mes tétons tout durcis et mon anneau culier. Je m’imagine alors en pleine scène de désir et de plaisir avec Alice. J’imagine que mes mains qui me caresse et me masturbent sont en réalité les siennes. Je finie par me mettre à quatre pattes, me masturbant avec vigueur, commençant à étaler le pré-cum sur mon entrejambe satinée.

Le tissu mouille. J’ondule le bassin d’avant en arrière comme pour simuler une pénétration. Je parle à voix basse, je chuchote des mots doux comme si je lui parlais, en demandant qu’elle me fasse l’amour. Oui, l’amour, je ne cherche pas la baise torride, je veux de la délicatesse, de la sensualité et de la tendresse. Je veux ses caresses, la sentir collée à moi, sentir qu’elle m’embrasse la bouche et le cou. Je prends mon tends à m’imaginer me gouiner avec elle. Cela dure de longues minutes, parfois plusieurs dizaines car je ne suis pas une rapide pour venir. Parfois, je finie par m’installer sur mon PC encore allumer, regardant une vidéo ou deux pour m’exciter encore. Je regardes des travesties ou des transsexuelles qui se gouinent. A force de va et vient sur ma tige durcie, ce qui doit arriver, arrive enfin et je souille de mon jus mes vêtements. Je me recouche alors, fatiguée de ce plaisir physique et me rendort un temps.

Je reçois finalement la robe plus tôt que prévue. J’aurai finalement pu tout avoir pour notre rencontre annulée. Dommage. Je lui envoi par sms la photo du paquet sans rien dire sur son contenu. Via le tchat, je lui fait part de mon stress à savoir si ça lui plaira mais elle me rassure en me disant que si ça vient de moi, ça lui plaira forcément. Toutefois, je sent que, pour elle, le fait de lui faire un cadeau la gêne, que je vais peut-être un peu vite en besogne. Franchement ce n’est pas le but. D’ailleurs, je lui dit que j’agis comme ça, comme je le ferai avec les personnes que j’aime et que j’apprécie beaucoup comme mes amis. C’est un peu couillon car, au fond, je ne sais jamais si j’agis bien ou pas, ou du moins si le cadeau en question plaira alors que c’est justement le but.

J’essaie toujours d’acheter quelque chose qui est dans le domaine de ce que la personne aime. Enfin … Alors que je rentre d’un dîner au resto le samedi, elle aussi m’a fait une surprise sous forme de photos … enfin ça n’en est pas une car elle m’avait dit ce qu’elle en ferais quelques unes le soir même. Elle m’envoie une première photo. Elle est coiffée de sa dernière perruque blonde mi-longue, un maquillage légèrement moins marqué, une chemise blanche et une veste noire. Elle est juste sublime. Je suis totalement sous le charme. C’est à se demander si elle cherche pas à ce que je tombe amoureuse d’elle avec un tel physique. En tout cas, comme d’accoutumé, elle me donne vraiment envie de l’embrasser. Une petite idée me vient alors. Je lui demande de mettre ses lunettes.

En effet, un défi lié à un costume ou un uniforme professionnel est mit en ligne et j’ai dans l’idée qu’avec cet accessoire visuel, elle ressemblerait beaucoup à une secrétaire ou une maîtresse d’école … et ça ne rate pas. Elle m’envoie la photo qui me confirme l’idée que j’avais en tête. Manquerai plus qu’un petit collier doré pour la touche finale et elle serait parfaite. Je lui propose de tester un tailleur que j’ai chez moi. Elle serait tellement classe avec … Au fond, je me dit que j’ai beaucoup de chance quand même qu’elle rechigne à poster des photos d’elle sur le site. Ainsi, je suis la seule à pouvoir profiter de sa beauté. Quelle aubaine !

La rencontre se précise

Je peine énormément à trouver un créneau pour établir un nouveau rendez-vous avec ma belle Alice. Chaque fois, un imprévu (ou plutôt un « pas encore prévu ») s’immisce dans notre plan de rencontre. J’ai systématiquement la visite d’un membre de ma famille pour X raisons. Pas moyen d’avoir une journée du week-end tranquille et ça me stresse pas mal. Je ne peux même pas leur avouer que je voudrais la recevoir tranquille. Décembre arrive sur un week-end et nous tentons de mettre en place une rencontre pour le Dimanche. Malheureusement, encore une fois, je risque d’avoir de la visite familiale.

Ce n’est pas certain, surtout que la météo annonce un mauvais temps, mais le risque est là. C’est aussi le prix à payer à vivre dans la maison de ma mère. Elle n’habite plus là mais elle vient régulièrement quand son compagnon est absent pour le boulot ou ses loisirs sportifs. Du coup, raz le bol ! J’ai trop envie de revoir ma petite beauté blonde et je décide de contacter Alice pour lui proposer d’aller à sa rencontre, chez elle, si jamais ma mère vient. Elle accepte volontiers, bien que me recevoir chez elle la stresse un peu. Comme d’accoutumé, je la rassure, notamment en lui proposant de lui faire un petit massage si elle est trop stressée.

Bon, en toute franchise, je ne m’y connais pas plus en massage qu’en mécanique auto et, de souvenir, par le passé, mes massages s’apparentaient plus à des caresses qu’à un passage dans un salon de massage ou chez le kiné. Je veux dire que je ne connais pas les gestes à faire mais, au fond, peu importe. D’ailleurs, j’espère bien que mon massage se transformera en caresses. Mon imagination débordante, surtout quand il s’agit d’Alice, prend souvent le dessus et des scènes érotiques fourmillent dans mon esprit quant à ce qu’il adviendrait de ces caresses. Je me vois très douce avec elle, lui massant le dos, elle étant allongée sur le ventre, et ne pouvant m’empêcher de me pencher vers elle pour lui embrasser la nuque, lui prenant son visage entre mes mains gantées de latex pour le tourner sur le côté et l’embrasser à pleine bouche.

D’ailleurs, ce n’est pas le seul fantasme que j’ai avec elle et, quotidiennement, j’ai ma petite séance masturbatoire en pensant à elle et tout ce que nous pourrions entreprendre toutes les deux. Dans ces moments là, je ne peux m’empêcher de citer son nom à haute voix pour lui dire à quel point j’ai envie d’elle. C’est un peu con vu qu’elle n’est pas là mais ça ne serait pas la première fois que je pratiquerai la soliloquie.

Alice et moi, nous réfléchissons sur les tenues que nous porterons durant cette rencontre. Nous nous fixons sur un nombre restreint de fringues. Quelques fringues en latex et mon costume de vampire que j’ai enfin reçu. Je prend également une robe rouge qu’elle a vu dans mes photos et tous le nécessaire pour faire le bondage. J’ai également reçu, à cet effet, un lot de sangles en cuir que j’avais commandé ainsi que deux cordes. Je ne dispose que d’une petite valise qui est très rapidement remplie. Autre chose que je n’ai pas dit à Alice : j’ai retrouvé ma chemise et ma jupe crayon en vinyle. Je compte les mettre pour  la rencontre. Ça lui fera très plaisir je pense, elle qui voulait absolument me voir avec. J’y adjoindrai aussi ma veste, mes bas et porte jarretelles ainsi que mes gants longs et, peut-être, mon corset, le tout également en vinyle noir.

La veille, une bonne nouvelle arrive. Finalement, je n’aurai pas de visite le Dimanche. Je m’empresse de prévenir Alice qui en est ravie. Ça la stresse moins de venir chez moi et ça lui permettra de porter les talons toute la journée, son sol étant en parquet et résidant dans un immeuble. Quelque part, ça me rassure aussi car je n’aurai pas été tranquille à l’idée d’aller en ville en femme. Je sort ainsi dans les endroits que je connais mais en ville, avec tout ce monde, ça me dérange. Je vais donc faire 3 courses et, elle, emmènera le repas du midi. Elle ne sait pas trop à quelle heure arriver. Elle parlait de fin de matinée, début d’après midi. Je lui propose de passer plutôt sur les coups de 9-10h pour profiter pleinement de la lumière du jour pour la qualité des photos, ayant souvenir de celles faites le soir la dernière fois. Cela dit, j’ai la flemme de défaire la valise que j’avais préparée. On se servira direct dedans.

Sa venue m’excite aussi sexuellement et ce n’est pas la culotte avec plug anal intégré, que je porte toute la journée, qui va me calmer, au contraire. En prime, continuant à penser à elle, je sort un gode que je suce avec avidité, comme s’il s’agissait de sa propre queue dont j’ai très envie depuis bien des jours. Une envie croissante s’empare de moi depuis notre dernière rencontre. Chaque jour qui passe me fait gagner en envie de sexe, de son sexe et je pense bien que cela ne retombera pas aussitôt qu’elle sera rentrée chez elle. J’essaie, tant bien que mal, de garder la raison, de me dire que cela se passera comme la précédente rencontre, juste avec des photos et des effleurements mais non, je veux plus cette fois. Je veux aller plus loin.

Pas spécifiquement coucher avec elle, d’autant plus que je pense qu’elle n’est peut-être pas prête à ça (d’ailleurs, en a-t-elle juste envie ?), mais ne serait-ce que plus de caresses et de tendresses. La prendre et la serrer contre moi. Lui montrer que je me sent bien avec elle, bien qu’elle le sache déjà et lui faire sentir mon sexe durci par l’excitation. Je veux voir si cela réveille quelque chose en elle, si le désir monte chez elle aussi.

Il est grand temps de faire du nettoyage, comme lors de sa précédente venue. Cette fois-ci, je ne me dégonfle pas. J’enfile une tenue de femme de chambre avec le petit tablier et entame un nettoyage en règle, notamment ma chambre et la salle de bain dans laquelle nous nous préparerons et nous ferons belles l’une pour l’autre.

Le jour J

Le dimanche matin arrive enfin. J’ai peu dormi la nuit, m’étant réveillée à 4h30 du matin et m’étant rendormie une heure plus tard. Je me réveille à 9h. Je suis heureuse que la rencontre n’est finalement pas eu lieu à cette heure-ci. Je bois mon café, tranquillement puis je me part me doucher. Je reçoit un premier message de sa part ¾ d’heure après mon réveil. Elle sera un peu en retard. Pas grave. Au point où j’en suis, ça me donnera un peu plus de temps. Je me maquille et commence à me préparer. 20 minutes plus tard, un second message qui fait retomber tout enthousiasme que je ressentait jusqu’alors.

Elle vient de tomber en panne. Je suis dégoûtée. Après tant de temps à chercher à se revoir, voilà que la mécanique fait des siennes. Je me ressaisie vite et lui demande où elle se trouve. Je retrouve un semblant de sourire lorsqu’elle me donne sa position. Elle n’est qu’à 5km de la maison. Ni une, ni deux, je lui dit que je finie de me préparer et que je vient la chercher. Je finie de m’habiller avec un ensemble intégralement en vinyle noir dont la chemise et la jupe récemment retrouvée. Une paire d’escarpins et hop, je file voir ma dulcinée en galère. Je la trouve au lieu dit, ou du moins son côté naturel masculin. Cela ne me pose guère de problème car je sais qu’elle ne sort jamais de chez elle en femme. Elle ne s’attendait pas à ce que je vienne en tenue.

Nous attendons la dépanneuse puis repartons chez moi. Le temps qu’elle se fasse une petite beauté afin de retrouver ma belle Alice au féminin puis nous entamons un premier shooting photo. Elle remet la première tenue qu’elle avait portée lors de notre première rencontre et je pose avec elle dans ma tenue de vinyle. Déjà, je n’hésite plus à la serrer contre moi. Très vite, midi passe. Je met le four à tourner pour réchauffer une tarte qu’elle a faite. Le temps qu’il chauffe, nous montons dans ma chambre. Je lui montre 2-3 trucs sur mon ordinateur puis je lui offre enfin le cadeau que j’ai préparé pour elle, m’excusant, en plaisantant, du manque de papier cadeau et de la réalisation sommaire de l’emballage.

Elle se hâte d’ouvrir la boite et découvre, en premier, la longue robe rose d’été qui lui plaît beaucoup et qu’elle n’hésite pas a essayer de suite. Simple mais efficace comme elle à l’habitude de dire. Elle peine à ouvrir le second emballage. Elle m’embrasse sur la joue pour me remercier après un petit quiproquo où j’ai tenté de lui voler un premier baiser. Nous descendons donc au salon, prenons un ciseaux et elle découvre avec une certaine surprise les sandales à talons. Elle aime beaucoup également. Ouf, me voilà rassurée. Je met la tarte au four pour 3 minutes et nous entamons un nouveau shooting avec sa robe. Enfin nous passons à table. Non contente de me plaire beaucoup en femme, elle a aussi le talent de la cuisine. Sa tarte est très bonne. Nous discutons un peu durant le repas puis s’en vient le dessert. Rien de folichon avec un yaourt au chocolat.

Après ce petit repas, nous nous lançons dans le shooting vampire, celui que nous aurions dû faire lors de la première rencontre. Nous nous habillons et allons dans la salle de bain pour préparer la colle pour les fausses dents. Bien vite, la sienne paraît bien nulle. Ça ne colle pas des masses et elle se retrouve avec une pâte rose plein les dents. Le temps de faire un petit nettoyage et nous utilisons la colle que j’ai achetée, qui semble bien plus efficace. Chacune nous collons nos fausses canines puis nous retournons au salon pour quelques photos, parfois assez cliché.

En exemple, nous posons en faisant semblant de mordre la gorge de l’autre. Nous changeons de tenue. Elle se rhabille très sexy et court, comme à la première rencontre, en ajoutant un collier ras de cou écrit «slut» et changeant des cuissardes par sa nouvelle paire de chaussures fraîchement offerte. De mon côté, je met une robe mi-longue rouge et noire. Je pose également avec une autre robe à rayures style marinière que je me suis faite faire récemment. Durant cette première partie de rencontre, je continue à prendre Alice par la taille et à me coller à elle.

Ça dérape

Un peu stressées mais excitées à l’idée de la suite, nous décidons de passer aux choses sérieuses en enfilant les tenues en latex. Nous souhaitons refaire un shooting bondage dominatrice soumise. Je lui propose de commencer en tant que soumise mais elle préfère en tant que dominatrice. La suite me fera penser qu’elle avait des idées derrières la tête à se moment là. Nous montons dans ma chambre, ayant préparée les accessoires pour cette pratique. Pendant qu’elle s’habille, je revêt ma tenue de soubrette en latex, agrémentée de bas et de gants longs. Je découvre alors sa tenue. Elle est magnifique en latex.

Elle porte un chemisier, une jupe ouverte sur le devant, des bas, gants et serre-taille en latex noir, agrémenté de cuissardes. Je peut apercevoir son sexe, ou du moins le deviner car il est enfermé dans une cage de chasteté rose. Je m’installe sur le lit et pose à quatre pattes, montrant sans honte aucune mon cul. N’ayant pas de culotte, elle peut aisément voir mon sexe qui pendouille. Je n’ai aucun regret à lui montrer, bien au contraire, je veux qu’elle le voit, qu’elle profite de cette vue. Je m’amuse également avec la cravache, la faisant passer entre mes jambes ou  la portant à ma bouche tel un chien qui fait le beau avec sa balle dans la gueule.

Son tour vient pour quelques poses similaires où j’ai le luxe de pouvoir profiter pleinement de la vue de ses fesses et de son sexe encager. J’ai envie de lui, je le désire tandis que je prends les clichés. Nous entamons alors quelques photos en binôme où elle joue de la cravache sur mes fesses. Elle rajoute ensuite un collier à double rangée de pointes sur lequel elle accroche une laisse de chien en nylon noir. On refait quelques photos ainsi où elle me tient en laisse comme sa chienne soumise. J’aime cette situation. Cela m’excite d’être sa soumise en laisse.

La séance de bondage commence lorsqu’elle me menottes les poignets et les chevilles et me bâillonne la bouche. Elle est inquiète de la taille de la boule qui peine à rentrer entre mes mâchoires. Elle m’enlève le tout après quelques clichés et me saucissonne tout le corps avec les sangles en cuir. Nous utilisons un bas en latex pour me bander les yeux. Elle en profite pour me caresser de sa cravache. Déjà, l’excitation monte. Elle me détache de nouveau et nous utilisons un nouvel accessoire : mon sac de couchage en latex noir.

Elle m’enferme dedans, n’ayant que la tête qui dépasse puis me ré attache avec les sangles. Je me sent bien, confortablement enveloppée dans ce cocon de latex et je lui en fait part tout comme le fait que je lui avait promis un massage. Elle prends quelques clichés puis se met sur moi, me chevauche. Contrairement à ce que j’avais imaginé les jours précédents, ce n’est pas moi mais elle qui tente de me masser. C’est assez maladroit dans les gestes mais j’aime. J’aime le fait que nous soyons toutes les deux en latex et le fait qu’elle prenne l’initiative de me masser. Avec le recul, je me demande si le fait de vouloir passer en dominatrice en premier n’était pas une raison pour pouvoir profiter de mon corps avant que je puisse en faire autant.

A croire qu’elle savait ce que je préparais pour elle. D’abord le dos puis le massage passe devant. Elle se sent gênée car le latex ne glisse pas comme elle l’aurait souhaitée et se rend compte de ses gestes maladroits mais je lui fait part que j’apprécie quand même. Elle me dit qu’elle pourrait bien en profiter si j’aime et je lui donne ma permission d’oser franchir le pas. Cette permission aura de lourdes conséquences pour la suite car son massage maladroit cesse aussitôt, laissant place à des caresses tout le long de mon corps. A partir de là, la marche arrière n’est plus une option. Je ne sais pas si elle à conscience qu’en débutant cela, elle rentre dans un jeu qu’elle ne pourrai peut-être pas maîtriser. Je la veux mienne, je la désire depuis si longtemps qu’elle ne se rend peut-être pas compte de ce qu’elle enclenche, de ce qu’elle provoque et réveille en moi : une folle envie de la posséder.

J’ai les yeux fermés et profite pleinement des sensations que cela me procure. Elle hésite à passer sur mon sexe dans un premier temps mais me voyant excitée en entendant ma respiration saccadée, elle se met à passer sa main dessus. Je commence à avoir une certaine érection. Je sent, contre mon sexe, sa cage de chasteté. Par petits mouvements de bassin, je tente de frotter mon clito contre le sien. Elle commence alors par me détacher les sangles, une par une, petit à petit. Je voit qu’elles la dérangent dans ses caresses. Aussitôt toutes les sangles enlevées, elle ouvre le zip du sac de couchage tout en continuant ses caresses. Je peux alors sortir mes bras et participer, moi aussi à la caresser. Je sent qu’elle aussi est très excitée, renversant par moment sa tête en arrière, son souffle haletant, les yeux parfois fermés. Je la caresse partout, y compris son sexe que je désire tant. Je caresse son corps, sa poitrine, ses fesses.

Nous parcourons nos corps de nos mains gantées. Les seuls sons à nos oreilles, hormis nos halètements saccadés, sont les bruissements du latex de nos vêtements, un bruit qui nous rend folles.  Elle se replace un peu vers ma tête. Un faible repositionnement qui place mon sexe sous ses fesses. Mes mouvements de bassin s’accentuent et je sent qu’elle aussi s’y met. Nous nous frottons l’une contre l’autre nos entrejambes. Je la sent frémir de désir. J’hésite à me redresser. Je veux sa bouche contre la mienne. Je veux l’embrasser comme je l’ai tant souhaité. Elle me propose alors de changer de tenue et de rôle. Elle à peut-être besoin d’une petite pose pour reprendre son souffle. Cela casse notre lancée mais pas mon envie d’elle.

Plus rien ne m’arrête

Elle descend de moi, se lève du lit puis redescend en bas pour se changer. J’en fait tout autant. Contrairement à elle, je n’ai que la robe à changer. J’enlève mon tablier de soubrette, la robe que je remplace par ma robe en latex rouge à capuche. J’échange aussi mes escarpins que j’avais jusqu’alors (et qui commençaient à me faire un mal de chien) par des cuissardes noires. Ainsi, je ressemble à un personnage de hentai que j’ai découvert deux semaines plus tôt. Je sais qu’elle aime cette tenue, voir qu’elle l’adore puisqu’elle m’en avait fait part lors de nos discussions. Je profite qu’elle ne soit pas là pour titiller mon clito.

J’enfile aussi mon anneau pénien, celui qui me permet de garder une certaine raideur en érection (ce qui est peu utile quand on ne bande pas assez). Aussitôt vêtue, je ferme la porte de ma chambre, je m’allonge sur le lit, cravache à la main, j’enfile ma capuche sur la tête et je l’attends. Elle ne tarde pas à arriver. Je lui dit d’entrer et elle me découvre ainsi. Elle a enfilé son catsuit à seins gonflables et à remis son serre-taille et ses cuissardes. Elle me fait envie, je la veux. Je ne contrôle plus grand chose. Mon instinct mue par un désir de sexe avec elle est plus fort. Alors qu’elle attends que je lui donne un quelconque ordre en tant que maîtresse, je lui souris pour lui faire comprendre qu’elle est désirable à mes yeux. Je ne sais pas quoi lui dire ou quel ordre lui donner.

Quand bien même, en ais-je vraiment envie ? Non. A ce moment là, je veux juste reprendre là où nous en étions. Je me dirige vers elle, la contemplant dans les yeux, je me lève et me place à côté d’elle, je la tire vers moi en la tenant par sa taille affinée par le serre-taille, elle se laisse faire. J’entame de nouveau des caresses. Son souffle recommence à haleter, à saccader. Je la tire vers moi pour me coller à elle. Je continu toujours à la caresser, je suis dos à elle. J’approche mon visage de ses épaules sur lesquelles je vient déposer quelques baisers. Je n’hésite plus maintenant. Je voulais aller plus loin avec elle et l’occasion est trop belle, d’autant plus qu’elle ne rechigne pas, au contraire. Elle se laisse faire, elle est excitée elle aussi. Je sent qu’elle en a aussi envie que moi.

J’approche encore mon visage, prés de son cou sur lequel je dépose aussi quelques baisers. Je la retourne alors et continu de la caresser partout. Mes mains gantées n’ont plus aucune hésitation à aller caresser ce sexe qui durci et, avec excitation, joie et impatience, je découvre qu’elle a enlevé sa cage. Je la regarde droit dans les yeux et je fait ce dont j’ai tant rêvé. J’approche encore une dernière fois mon visage et je l’embrasse. D’abord surprise, elle répond bien rapidement à ce baiser. Nous nous embrassons trois, quatre fois avant que nos langues finissent par se rencontrer et s’entortiller ensemble. Toute résistance, aussi bien pour moi que pour elle ont disparues. Nous nous laissons aller dans ces préliminaires de caresses et de baisers langoureux.

Nos sexe ne touchent à travers nos vêtements de latex. Alice n’est plus qu’une poupée sous mes mains, que j’utilise à ma guise. Elle se laisse faire et répond à mes attentes. Un rôle de soumise que je n’attendais pas aussi rapidement de sa part. La petite sissy timide et hésitante est bien loin à ce moment là. Je ne peux plus tenir et, machinalement, je vais pour réaliser un autre souhait, en m’accroupissant devant elle. Je plaque ma bouche contre sa verge. Je l’embrasse et me met à la lécher à travers sa combinaison. Alice halète fortement. Sans la voir, je peux parfaitement l’entendre. Elle gémit même, frémit d’excitation. Je baisse le zip de son entrejambe et entreprend de sortir son clito. Il est déjà bien dur et sans aucune hésitation, je le prend en bouche. Je le suce avec avidité comme je fais sur mes godes. Son gland est très sensible mais peut importe.

A ce moment là, je ne pense qu’à mon plaisir, celui de sucer une queue de sissy, sa queue de sissy. Je lui fait savoir, dans un chuchotement suave, que cela fait si longtemps que j’attendais ce moment. Elle ne répond pas mais son souffle parle pour elle. Manifestement, je m’y prends bien car elle sort sa queue de ma bouche et me plaque la tête contre ses couilles que, là aussi, je n’hésite pas une seconde à lécher tandis qu’elle plaque son sexe contre elle, m’empêchant de la reprendre en bouche. Quelques secondes plus tard, je comprend pourquoi. Elle venait de juter. Quelques traces blanchâtres maculaient son serre-taille. Je suis déçu, sur le moment, qu’elle ne m’ait pas jouis en bouche.

J’aurai adoré sentir ses jets de sperme. Peu importe, dés qu’elle retire ses mains, je m’en vais nettoyer ces quelques traces et je reprend son clito en bouche pour le nettoyer également. Je lui demande alors de s’allonger, m’installe entre ses jambes et la suce à nouveau en même temps que je la branle. Seul le son de sa voix gémissante est audible dans la chambre. Ainsi, pendant quelques minutes, j’entreprends de lui redonner vigueur, la suçant avec autant d’entrain qu’avant et tentant d’atteindre sa chatte en passant mes doigts derrière ses couilles. J’hésite même à me mettre en 69 avec elle afin qu’elle s’occupe de mon clito déjà bien gonflé mais je n’en fais rien.

Je ne veux pas la forcer à me sucer, je pense qu’il vaut mieux que ça vienne d’elle. Je ne peux pas l’atteindre alors je caresse cette zone sensible entre l’anus et ses usines à foutre que sont ses testicules mais Alice semble exténuée. Je cesse donc et vient m’allonger prés d’elle, n’omettant pas de l’embrasser une dernière fois.

Le malaise

Nous parlons à voix basse. Je lui dit que c’est la première fois pour moi, me répondant que pour elle aussi. Je ne pensais pas qu’on irait si loin. Elle me répond alors qu’elle non plus mais que c’est peut-être aller trop vite pour elle manifestement. Je lui demande alors, sans doute pour me rassurer, si elle en avait envie et elle m’avoue que oui. Sans savoir pourquoi, j’ai une boule au ventre, une gène qui entraîne un état quelque peu nauséeux. Sur le coup, je ne comprends pas pourquoi.

Je lui demande si elle veut faire le shooting avec les sangles. Elle accepte et j’entreprends donc de la saucissonner comme elle m’a fait. Nous faisons quelques clichés de mauvaises qualités, le jour s’étant déjà couché et j’en profite pour passer ma cravache tout le long de son corps sur deux allers-retours. Je la sens de nouveau fébrile mais, suite à ses propos, je n’insiste pas plus et la détache. Durant la demi-heure qui va suivre, Alice se lève et descends pour aller boire un coup. Je la suis, nous buvons un verre d’eau chacune et elle entreprends d’ôter sa combinaison et de ranger ses affaires.

Je remonte pour enlever mes vêtements collants à cause de la sueur, restant seule dans la chambre. Au passage, étant pieds nus, je découvre, sur le sol de ma chambre, une petite flaque un peu visqueuse. Je la touche et constate que c’est le sperme d’Alice. Je l’essuie avec du papier toilette et jette le tout à la poubelle. Quel petite coquine cette Alice, elle m’en a foutue partout, me dis-je. Je me sens mal, non seulement au ventre mais aussi moralement. Alice m’avait fait part, avant notre premier rendez-vous, d’un événement qui l’avait quelque peu embarrassée, à savoir le fait d’avoir était trop vite dans la relation sexuelle avec une petite amie par le passé.

Comme ici, elle ne regrettait pas cette relation sexuelle mais s’en voulait malgré tout et j’ai la nette impression que c’est ce qui est arrivé encore aujourd’hui pour elle. Moi qui lui disait que je n’irais jamais contre sa volonté et que je ferai en sorte de prendre mon temps pour m’occuper d’elle. J’ai, quelque part, l’impression d’avoir trahi cette parole. D’un côté, je m’en veux pour elle mais d’un autre, je me dis que c’est elle qui a lancé les festivités avec ses caresses. Je la désirai tellement et aujourd’hui, j’en suis malade au point de me demander si elle voudra qu’on continu à se voir sachant très bien ce qui pourrait advenir pour la suite, à savoir une relation sexuelle plus poussée, avec pénétration. Je finie par redescendre et découvre Alice, nue, pleine de talc.

Je lui propose de prendre une douche qu’elle accepte et durant laquelle je me démaquillerai. Je me rhabille tandis qu’elle se démaquille et s’habille de nouveau au masculin. Je cherche un médicament contre la nausée mais je n’en trouve pas et Alice s’inquiète un peu de cette situation. Elle aussi cherche à comprendre ces nausées et tente de l’expliquer par le goût du sperme lui même. J’appel ma mère qui m’invite à venir chercher le médicament en question et manger chez elle au passage. Alice résident non loin de chez elle, j’accepte.

Le retour chez Alice se passe bien. Nous discutons un peu de tout et mes maux de ventre commencent à disparaître. Je la dépose chez elle et entame la route chez ma mère. A mon arrivée, la nausée à pratiquement disparue. Sur le chemin du retour, je suis songeuse et je finie par comprendre que mes maux de ventre son d’ordre psychologique. Avec le recul, je pense que c’est le fait d’avoir été trop vite avec Alice, et du malaise que cela a entraîner qui m’a provoqué cet état nauséeux. Je me reconnecte sur le site sur lequel on tchat mais elle n’est pas là. Qu’à cela ne tienne, je lui laisse un long message pour lui exprimé mes remords si elle exprimait le moindre regret par ma faute, pour être aller trop vite.

Le lendemain matin, je souhaite continuer à lui écrire mon message mais je me rend compte qu’il est mal écrit de base. De plus, en discutant de ces remords avec l’administrateur du site, avec qui je discute régulièrement, il me fait comprendre que les remords ne viennent pas de moi mais d’Alice, que c’est elle qui doit s’en vouloir de ne pas avoir su garder son self control. Je me rend compte que le premier message ne va pas dans le sens de ce que je souhaitais. Du coup, je le supprime pour le réécrire mais via la messagerie privée cette fois. Un long message dans lequel je veux la rassurer et lui dire qu’elle n’ai pas de regret à avoir tant elle m’a rendue heureuse la veille.

Je lis sa réponse le soir, en rentrant d’un anniversaire. Elle cherche à me rassurer de ne pas m’en vouloir et me conforte dans la raison de son regret. Elle m’avoue également ne pas avoir pris de congés pour un rdv en semaine comme nous devions l’organiser car elle a besoin de faire le point, comme la fois précédente et me rappelle aussi qu’elle n’est pas amoureuse, mais ça, même si je suis un peu déçue, je le savais déjà et je dois m’y faire. Une longue réponse de ma part conclue cette seconde partie, lui expliquant les sentiments entre amour et amitié que j’ai pour elle et cherchant à la rassurer sur le fait que je comprends très bien ses décisions.

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