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Sissy à bord (Episode 3)

par Histoires de Sissy

Le début de l’histoire est ICI

En attendant la fin de l’escale.

Je me retrouvais assis sur mon lit, la tête entre les mains… comment ce faisait-il que je succombais aussi vite ? Il m’avait juste caressé la cuisse, puis ensuite embrassé dans le cou, et j’étais parti à 100 à l’heure ! Pourquoi étais-je si vite excité ? Pourquoi faire l’amour avec ces hommes était si bon ? J’avais joui au moins trois fois, avec des sensations exquises, de plus en plus fortes, dans tous le corps ! Était-ce normal ? Pourquoi Will avait-il souligné mes qualités, étais-je vraiment né pour ça ? Etais-je si doué ? Je sentais que je sombrais de plus en plus dans ce plaisir, dans ces sensations orgasmiques, et que cela ne me déplaisait pas… Je m’endormis comme ça, sur le lit, l’odeur du sperme encore un peu sur mon visage, et fit des rêves érotiques, dans lesquels des hommes usaient et abusaient de moi…

Je me réveillais le lendemain matin, encore passablement excité… et avec une grosse envie de faire pipi ! Je mis en vitesse une petite culotte en coton, blanche, qui épousait la forme de mon derrière, dévoilant tout de même la moitié de mes fesses, passais le débardeur, et courus dans le couloir jusqu’au wc, où j’arrivais juste à temps pour me soulager… ouuuuf… Je me sentais plus calme, la tête froide, les sens apaisés, j’avais pris la décision de ne plus me laisser séduire, c’était trop dangereux, je risquais de sombrer pour de bon ! Je sortis des wc avec cette ferme résolution…

Soudain, une main se posa sur mes fesses…

– Bien dormi ? Dis, ça tombe bien que je tombe sur toi… Will… heu aimerait qu’on prolonge ce qu’on a fait hier soir… il n’a eu que ta bouche et il aimerait essayer… ton petit trou…

Vas-y ! Dis-lui non ! Dis-lui que tu ne veux plus !

Sa main passa sous le slip, longeant le sillon de mes fesses… puis se retire… il sentit que j’essayais de m’éloigner de lui…

– Je… je…

Il se colla alors à moi, je sentis la bosse qui déformait son short frotter doucement entre mes fesses… Son poitrail puissant se colla à mon dos, il caressa doucement mon ventre, embrassa mon cou, puis murmura à mon oreille « C’est toi qui l’a dit hier, tu ne peux nous laisser dans cet état ! »

Dis-lui non ! Tiens-toi à ta décision ! La voix hurlait dans ma tête… Mais mes jambes tremblaient déjà, tandis que le rouge me montait aux joues… je sentais son membre dur contre mes fesses, ses lèvres chaudes dans mon cou… je commençais déjà à bander… Il sortit son sexe de son short, et le frotta directement contre mes fesses… puis il prit ma main, et la posa sur son membre, si dur, si chaud… j’en avais déjà tellement envie ! Ma main coulissait le long de la peau douce, suivant la hampe, se perdant dans ses testicules, les caressant doucement, puis remontant le long de la hampe dure, son gland, doux et déjà un peu humide…

Je me laissais entraîner vers la chambre… toujours ma main sur son sexe bandé, comme hypnotisé par ce pieu de chaire… nous entrâmes, seul Will était dans la chambre. Mike lui fit un signe « oui » de la tête, et tout content, Will s’approcha de moi… Déjà la bouche de Mike était contre la mienne, nos langues se mélangeant, à une vitesse folle, et Will descendit ma petite culotte de coton sans faire d’histoire… il embrassa mes fesses, me lécha le sillon, l’anus,… Mike s’assit sur le lit, je me mis à quatre pattes et commençais à lui lécher le sexe, tandis que Will, derrière-moi, présentait son sexe tendu entre mes fesses, poussant son gland contre mon anus… il ne pouvait vraiment pas attendre ! Nous avions la même position que la veille, Mike et Will ayant intervertis les rôles…

Le sexe de Will était plus court, mais plus gros que celui de Mike, et sa pénétration réveilla un peu les douleurs de mon dépucelage anal… mais je me concentrais pour sucer le sexe de Mike, et après quelques aller et venues en moi, mon anus se fit aux proportions de Will… qui vu son sexe plus court, tapait encore mieux sur ce point qui me donnait tant de plaisir… je commençais à nouveau à sentir le plaisir se diffuser dans tout mon corps, et je suçais Mike avec encore plus de gourmandise… Je n’entendis pas la porte claquer, ni ne vis le troisième marin qui était entré… Je l’entendis bredouiller quelques excuses pour nous avoir dérangés, mais ensuite il ne sortit pas, nous zyeutant… du coin de l’œil, je le vis sortir son sexe, et commencer à se masturber lentement en nous regardant…

Soudain, je sentis le vide dans mon petit derrière : Will s’était retiré… je le regardais, interrogateur, dire que j’étais sur le point de jouir vu ses coups de boutoir ! Il se coucha sur le sol, le sexe tendu, et m’invita à venir m’y empaler… Ainsi, je pourrai m’occuper de Mike et de l’autre marin, pas de jaloux ! Je souris et hochais la tête… j’abandonnais quelques instants le beau pénis de Mike… et allais m’asseoir sur le ventre de Will… D’abord, je frottais mon petit sexe contre le sien, histoire de jouer un peu, tandis qu’il me caressais le dos, les fesses… Mike et l’autre marin s’approchèrent, se branlant lentement… Puis je levais mon bassin, positionnais mon anus contre le gland de Will… et lentement me rassit, sentant son sexe joufflu me pénétrer centimètre par centimètre… c’était tellement bon que j’en jouis instantanément ! Tandis que mon sperme coulait le long de mon sexe, Will m’attrapa par les hanches, et recommença à aller et venir en moi, tandis que mon bassin accompagnait ses mouvements et que Mike et l’autre marin approchèrent… Ma main attrapa le sexe de Mike, ma main droite celle du marin, et je les masturbais, ma bouche allant lécher un gland, puis l’autre…

Submergé de plaisir, je perdis pied… mon bassin allait et venait de lui-même le long du sexe de Will, qui ne faisait, plus rien, mon cul faisait tout, tandis que je léchais, suçait, me frappait les joues, avec les sexes de Mike et de l’autre marin, l’un puis l’autre… l’odeur mâle de nos ébats emplit la pièce, m’excitant encore plus… Je jouis une seconde fois, tandis que le sexe de Will commença à battre comme un fou dans mon cul, et qu’il éjacula une quantité impressionnante de sperme chaud dans mon rectum… Je sentais les deux autres près à éjaculer aussi, je le voulais sur moi, je voulais être couvert de leur sperme chaud… Je malaxais donc doucement leurs testicules, la bouche ouverte, la langue tirée, suppliant pour leur sperme, tandis qu’ils astiquaient leur superbe manche, de plus en plus vite… soudain une giclée m’atteint sur la joue, une autre sur le front… ils éjaculèrent en même temps et je sentis l’odeur forte sur mon visage, l’odeur du sperme… une troisième giclée atterrit sur ma langue, une autre sur mes lèvres… je l’avalais goulûment, me pourléchant les lèvres, puis ouvrit à nouveau la bouche… Mike enfonça son sexe dans ma bouche, je le léchais, surtout le gland, attrapant le peu de sperme qui en coulait encore, puis fis de même pour l’autre marin… Du sperme coulait de mon cul, d’où le sexe de Will était sorti, débandé… mais couvert de son propre sperme, qui coulait encore de mon anus ouvert… je me tournais donc, et léchais son pénis débandé, lapant tout le sperme qui le couvrait… Les deux autres faisait des commentaires grivois, me caressaient ou me frappaient doucement les fesses… j’étais dans un état second, un état orgasmique… A ma plus grande confusion, je sentais que je devenais accroc à ces plaisirs !
Je les quittais et alla prendre une longue douche, bien chaude, pour me remettre les idées en place… plus je faisais l’amour avec ces hommes, plus j’aimais ça, et plus j’en avais envie… c’était une sorte de cercle vicieux, et je me demandais si j’avais envie d’en sortir…

En sortant de la douche, je croisais le Capitaine.

– Ecoute, demain nous accosterons au port de Praia, la capitale du Cap Vert. Je préfère qu’on ne te voie pas, donc reste dans ta cabine. Je ferai descendre ton repas. Tu pourras en sortir dès que nous serons à nouveau en mer, d’accord ?

Je hochais de la tête. Avais-je le choix, de toute façon ? Si les autorités me prenaient, ce serait retour à la maison, et mon père se chargerait de me réserver un comité d’accueil que je ne risquais pas d’oublier de sitôt !

Après m’être habillé plus décemment, je passais le reste de la journée à flâner sur le pont, regardant les côtes africaines défiler au loin, puis je donnais un coup de main au Doc, pour la vaisselle, et monter les ingrédients de la réserve en cuisine. Sa main s’égara plusieurs fois sur mes fesses, sous ma jupe courte, mais je me laissais faire, le rouge aux joues et mon cœur battant à chaque fois la chamade… Je dînais seul, et réussis à m’éclipser juste avant que les autres marins ne viennent prendre leur repas. Le doc m’avait prêté deux ou trois livres, je commençais le premier dans ma cabine, et lus jusqu’à tomber de fatigue.
Le lendemain, après une rapide douche, juste vêtu d’un T-shirt aux bords à dentelles, trop long pour moi – il faisait presque mini-chemise de nuit -, je passais juste aux toilettes avant de m’enfermer dans ma cabine, pour passer la journée à lire. Dans ces toilettes, il y avait quatre cabines-wc, face à la porte, et sur la gauche, des lavabos pour se laver les mains et cinq urinoirs. Je me dirigeais vers les urinoirs, quand une voix m’arrêta.

– Hep là, tu fais quoi ?

Je sursautais ! Je n’avais pas vu le second, qui était face au dernier urinoir. Son sexe sorti de son pantalon. Et quel sexe ! Même débandé, il était impressionnant !

– Mais… je dois…

Je montrais les urinoirs, pour lui faire comprendre mon besoin pressant…

– Tsss… ici c’est les toilettes pour homme ! Toi tu fais assis, comme la garce que tu es, compris !

Il vint vers moi et me poussa vers les cabines… j’entrais dans la première, et voulus fermer la porte, mais il m’en empêcha.

– Non, non, je veux voir que tu m’obéis, et que tu le fais bien assis…

Il était impressionnant, de par sa carrure imposante, sa grande taille, sn crâne tout rasé, sa voix, dure et râpeuse, tellement virile. Je m’assis donc sur le cabinet, relevant au maximum le T-shirt. Il me regarda. J’étais gêné comme jamais, c’est la première fois que quelqu’un me regardait faire pipi ! Mais c’était urgent, je ne pus me retenir longtemps… le jet jaune clair coula dans le wc, avec ce bruit caractéristique, sous les regards du second, qui semblait satisfait…

– Bien ! A partir de maintenant, tu ne fais plus que comme ça, compris !
– Oui ! Compris !

Fis-je, le rouge aux joues… mais mon humiliation ne s’arrêta pas là.

– Maintenant secoue-le, jusqu’à la dernière goutte ! Puis essuies-toi !

Je le fis, gêné d’être ainsi observé. Je secouais mon sexe, qui se recroquevillait de honte, puis arrachis une feuille de papier wc, et essuyait le bout de mon sexe, humide d’urine.

– Et n’oublie pas d’aller te laver les mains !

Je m’exécutais à nouveau, tandis que lui retournais vers les urinoirs. Tout en me lavant puis m’essuyant les mains, je n’arrivais pas à regarder autre chose que son sexe… et il s’en aperçut !

– Bon, au lieu de mater, t’as qu’à venir m’aider !

Presque comme un somnambule, ou quelqu’un d’hypnotisé, hypnotisé par ce membre de chaire, je m’avançais vers lui…

– Tiens-le moi !

Ma main se ferme sur le phallus de chaire… bon sang, que j’aimais cette sensation ! La peau douce, tiède, ce membre qui prenait doucement une certaine rigidité… je tirais doucement, le décalottant… soudain, il devint plus vibrant, je compris ce qui arrivait… je pointais son membre vers l’urinoir… un jet puissant sortit, un peu plus jaune que le mien, plus puissant aussi… de la chaleur s’en dégageait, que ma main pouvait ressentir… je tenais fermement son membre, il se vida dans l’urinoir, jusqu’à ce que le jet devint moins puissant, puis intermittent, puis quelques gouttes… je secouais doucement son membre, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de gouttes, pourtant ma main continuait à aller et venir le long du membre, qui doucement prenait plus d’ampleur, plus de rigidité, plus de grosseur… je le masturbais lentement, sensuellement, jusqu’à ce qu’il bande au maximum… sa main puissante appuya sur mon épaule, pour me faire agenouiller… je savais ce qu’il voulait, et je le voulais aussi.

Je me retrouvais à genoux devant ce membre bandé, et lorsqu’il attira ma tête vers lui, je me laissais faire… son gland, encore un peu humide, vint doucement se frotter à mes lèvres… j’étais à nouveau dans un état second, excité, et sans penser à rien, sans dégoût, mais avec beaucoup d’envie, ma langue sortit, lécha le gland, la hampe, avant d’enfourner ce sexe dans ma bouche… je le laissais dicter le rythme, guidant ma tête de sa main puissante le long de son membre de chair, qui allait et venait, frottant ma langue, mon palais, remplissant ma bouche, me faisant saliver de par sa grosseur et sa grandeur… mes mains accrochées à ses cuisses puissantes, je le laissais m’utiliser pour se donner du plaisir, et cela m’excitais follement ! Lorsque je le sentis se cabrer dans ma bouche, je lui massais doucement et gentiment les testicules, tandis qu’il explosait en moi, éjaculant un sperme abondant, que j’avalais, au fur et à mesure qu’il se déchargeait en moi…

Je lui léchais bien le gland et la hampe, pour le nettoyer, puis me remis debout. Tout en rentrant son membre dans son caleçon, et refermant sa braguette, il vit mon sexe, bandé sous le T-shirt.

Délicates attentions et petits cadeaux

– Dis-moi, tu as déjà déjeuné, les tartines qu’on t’a apporté ?

Je fis non de la tête. Doc m’avait en effet apporté des tartines et un petit thermos de café au matin, mais j’avais préféré d’abord venir prendre ma douche.

– Bien, alors écoute : je veux que tu retournes dans ta chambre, et que tu te masturbe, en pensant à mon sexe bandé. Et lorsque tu sens que tu vas jouir, je veux que tu éjacule sur tes tartines, puis tu les manges, compris ?

Le rouge me monta à nouveau aux joues. Je fis oui de la tête.

– Bon vas-y ! On va bientôt accoster, vaut mieux que le Capitaine ne te trouve pas dans les couloirs, file !
Je sortis, le goût de son sperme en bouche, la tête qui me tournait d’excitation… j’avais encore cédé, j’en avais encore eu envie… je devenais de plus en plus accroc au sexe ! En entrant dans ma cabine, je vis les tartines, sur un plateau, sur le bureau. Mon sexe était toujours bandé, et sans même me poser de question, je m’approchais du bureau, enlevais le T-shirt et me masturbais comme un fou… je repensais à son membre que je tenais tandis que l’urine s’ne échappait en un jet puissant, je repensais à son sexe bandé sous ma main, puis tout dur dans ma bouche, à la façon virile dont il s’était servi de moi pour se faire plaisir, à son sperme qui me remplissait la bouche, tandis que je caressait ses bourses, velues… cela ne tarda pas à me faire venir, mon sperme se répandant en taches blanchâtres sur les tartines de pain complet… encore excité, je léchais mon sperme sur le pain avant de manger avec gourmandise les tartines…

Je me jetais sur le lit, pour me calmer… Je m’étais rendus compte que mon plaisir était moins grand en me masturbant… je ressentais beaucoup plus de plaisir quand j’éjaculais tout seul, sans me toucher, une verge dans la bouche ou dans le cul… Ah que tout cela était confusant…

Je passais le reste de la journée à lire, dans ma cabine, tentant de penser à autre chose qu’au sexe, qu’à mon excitation sans cesse grandissante. J’entendis les sirènes du bateau, des bruits de voix, des bruits dû au chargement et au déchargement des containers, me je ne vis rien, le hublot de ma cabine donnant sur le large, pas sur le port.

Vers la fin de la journée, j’entendis les sirènes du bateau, et sentis les moteurs se remettre en route, nous quittions déjà le port, pour traverser l’Atlantique vers le Brésil !

Le soir tomba bien vite, et le Capitaine m’invita à nouveau dans sa cabine. Je devinais ce qui allait arriver, pourtant je ne fus pas capable de choisir des vêtements « sages ». A nouveau, l’excitation intérieure prenait le dessus… je choisis des bas résilles, un string en dentelle noire et une robe noire très moulante et très courte. Je ramenais mes cheveux en queue de cheval, comme une des filles des magazines pornos, que j’aimais beaucoup, la trouvant très jolie. Pour peaufiner le look, je mis le ruban noir ras-du-cou avec la verroterie bleue de ma mère. Et j’essayais de tenir dans les escarpins, malgré le mal aux pieds qu’ils m’occasionnaient…

Lorsque je rentrais dans la cabine du Capitaine, mon premier réflexe fut de regarder mon allure dans le grand miroir, près de son lit. Me voir si jolie rajoutait à ma confusion autant qu’à mon excitation… Le Capitaine sourit, et m’invita à m’asseoir. Nous mangeâmes une salade de riz avec des fruits exotiques et des crevettes, avec ce bon vin blanc, qui me grisa assez rapidement. J’écoutais le Capitaine me parler du chargement des containers qui s’était bien passé, du port de Praia, de l’île du Cap vert… je l’écoutais, hochant la tête, et au fur et à mesure que le vin me faisait de l’effet, le dévorant des yeux et riant à ses plaisanteries, même si elles n’étaient pas toujours drôles (ou que je ne les comprenais pas !).

Le dîner terminé, il recula sa chaise, et m’invita à venir m’asseoir sur ses genoux, comme le premier soir où j’avais dîné avec lui… Tant de choses c’étaient passées depuis ! Ce premier soir j’étais encore pucelle, maintenant je commençais à comprendre ce pouvoir de séduction, et j’y succombais à cause du plaisir, ce plaisir intense, qui me rendait fou … Je me levais donc, et d’une démarche chaloupée (tant à cause des escarpins que du vin blanc), je vins jusqu’à lui… Je m’assis sur ses genoux, entoura son cou de mes bras, et plongeais mes lèvres vers les siennes… étonné du changement d’attitude dans un premier temps, il se reprit vite, et me rendit le baiser, nos langues dansant passionnément ensemble, ses mains entourant ma taille d’une manière si virile…

Nos bouches se séparèrent, j’avais les joues autant que les sens en feu… il sourit, et me demanda de ramasser un paquet par terre, près de sa chaise. Je quittais ses genoux, et me penchais pour ramasser le paquet, mais de manière provoquante, mon petit cul bien vers lui… je sentis en me penchant la robe remonter jusqu’à la moitié de mes fesses… il devait avoir une vue sur la dentelle noire du string qui passait entre mes fesses pâles… fesses qu’il caressa virilement… je bandais déjà comme un fou dans mon string…

– C’est ce que mon ami du Brésil m’a envoyé pour toi ! Ouvre-le !

Je posais le paquet sur la table, curieux. Je restais toujours un peu penché, pour lui laisser la vue sur mes fesses, tandis qu’avec son couteau je coupais la corde qui entourait le paquet. Que m’avait-il acheté ? Un bijou ? Une concession pour une mine brésilienne ? Des vêtements de là-bas ? Un passeport ou un permis de séjour ?

J’ouvris le paquet… et fus un peu décontenancé… il y avait des médicaments, en cachet et en goutte… et une notice, expliquant dans un français très approximatif quoi prendre, dans quel ordre, comment et quand…

Le Capitaine se leva. Pendant que j’avais regardé le colis, il avait sorti son membre raide de son pantalon, membre qu’il plaça entre mes fesses, se branlant contre la raie de mes fesses tout en me murmurant à l’oreille « ce sont des hormones. Un traitement complet. Je veux que tu les prennes, comme indiqué sur le papier. Tu vas voir, ça ve te rendre encore plus femme, plus belle, plus en adéquation avec ton corps et ta tête, ce que tu ressens et ce que tu es… »

Je voulus répondre, mais il suça le lobe de mon oreille, avant de m’embrasser dans le coup, me faisant frissonner… et son membre, si dur, si tiède, qui se frottait entre mes fesses… bon sang, c’est fou, mais je le voulais en moi… là… maintenant… je voulais qu’il me prenne… et il en avait bien l’intention !

Il déplaça la dentelle du string, libérant l’accès à mon anus… il trempa un de ses doigts dans son verre de vin blanc… puis suspendit son doigt au-dessus de ma rondelle… je sentis le vin, frais, couler goutte à goutte sur et autour de ma rondelle… son doigt mouillé se fit caressant, puis s’introduisit en moi… il recommença son jeu plusieurs fois, puis fit de même avec son pré-sperme… il en enduisit ma rondelle avant de me doigter… ce petit jeu me mettait un peu sur les nerfs, bon sang, ce n’est pas son doigt que je voulais en moi… soudain son gland gonflé de désire caressa ma rondelle… caressa encore… et encore… il ne voulait pas s’introduire en moi ! Frustré, emplis de désir, c’est moi qui recula mon bassin, appuyant ma rondelle contre son gland jusqu’à ce qu’il entre en moi, enfin ! Que c’était bon ! Centimètre par centimètre, le gland, puis la hampe passèrent mon anus, me pénétrèrent… j’en éjaculais dans le string noir… alors ses mains viriles se refermèrent sur mes hanches, et il commença à aller et venir en moi, son désire aussi à son comble que le mien… il allait et venait furieusement, me tenant fermement, moi penché, les bras sur la table, je sentais ses testicules frapper le bas de mes fesses à chaque coups de boutoir… que c’était bon ! J’étais déjà dans un état orgasmique, ne ressentant que plaisir, de mon sexe coulant sans arrêt un sperme assez liquide… Il s’enfonça bien en moi, au plus profond, tandis que j’ahanais des sons inarticulés, le sentant éjaculer au plus profond de moi, sa semence chaude me remplissant…

Il resta fiché encore quelques minutes en moi, jusqu’à ce que son sexe débande tout à fait… puis il sortit de moi, me laissant un grand vide, et il se laissa tomber sur sa chaise…

Je tombais à genoux au sol, mes jambes tremblantes, qui ne me soutenaient plus… je me traînais jusqu’à lui, pour lécher son sexe mouillé de nous, le nettoyer,…

– Je… je peux rester dormir avec toi ce soir ?
– Désolé, non, je dois monter au poste de commande dans vingt minutes. Les deux prochains jours, nous allons traverser une
zone de turbulence, avec des risques de tempêtes, je préfère être là-haut, tu comprends.

Je hochais la tête. Il passa tendrement sa main sur ma joue

– Vas maintenant, et s’il te plaît, prend bien les hormones comme indiqué, c’est important !

Je hochais à nouveau la tête et pris le colis, et retournais à ma cabine… Là, je le déposais sur le bureau, et lus la notice, de façon à bien la mémoriser. Je triais les flacons de gouttes et les pilules par nom, par prise, de façon à bien m’y retrouver. Mais je me sentais encore excité, bon sang, j’avais encore envie de jouir ! Cela avait été trop court avec le Capitaine ! Je ressortis dans le couloir, malgré le mal au pied que me faisait les escarpins… j’étais sûr que habillé comme ça, le premier marin que je rencontrerais craquerait… J’étais à peine sortis de ma cabine que je tombais sur Will et Mike, qui venaient me voir… quelle chance ! Deux pour le prix d’un !

– Ah, tu tombes bien, on venait justement te voir !
– On… on t’a acheté des cadeaux à Praia !

Souriant, je les fis entrer dans ma cabine, sentant leurs regards sur moi, sur les bas résilles, la robe moulante. Deux minutes après, j’étais à genoux, leurs sexes contre mes joues… je jouais avec, les faisais rouler sur mon visage, les masturbais, les léchais, les suçais… aaaah cette odeur virile, ce goût entêtant… puis, n’y pouvant plus, je m’agenouillais sur le lit, ma croupe tendue vers eux… ils me prirent chacun à leur tour Mike d’abord, qui s’enfonça en moi en un coup… « Mais dis donc, je suis pas le premier, t’es encore dilaté… tu y prends goût hein ! » et il me prit hardiment, s’enfonçant en moi, allant et venant au rythme de mon bassin qui venait à sa rencontre, au son de mes cris de plaisirs… son sexe dur en moi, ses coups de boutoirs, ma prostate stimulée… j’étais aux anges ! Il se vida en moi, son sperme se mélangeant à celui du Capitaine… puis il se retira, me cul connaissant encore ce sentiment de vide… qui fut vite comblé par le sexe de Will, qui entra sans problème dans mon cul ouvert et bien huilé par le sperme des deux autres… lui aussi me prit sans ménagement, virilement, mon string était trempé de mon propre sperme, j’étais déjà dans un état second quand lui aussi se lâcha en moi, éjaculant son sperme, qui déborda, coulant sur mes fesses, mes testicules, mes cuisses…

J’étais pantelant, assommé de plaisir, et sans faire plus de façon, roulais pour me mettre dans le bons sens du lit et m’endormit, là… je ne les entendis pas quitter la cabine, et dormis jusqu’au lendemain…

Le lendemain, je sentais sur mes fesses et dans mon cul le résultat de mes agapes de la veille… bon sang le vin blanc ne me réussissait vraiment pas… je me levais, péniblement, et vis les cadeaux que m’avaient apporté Mike et Will : une peluche, sans doute la mascotte de l’île, et un petit set de maquillage, pour débutante,… je souris qu’ils aient pensé à moi… puis filais prendre une bonne douche !

La suite est ICI.

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