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Je suis venue, je l’ai vu, je l’ai eu

par Les histoires pour femmes

J’ai vécu avec un homme presque dix ans, mais petit à petit un écart s’est creusé entre nos deux visions de l’avenir. On s’aimait toujours, mais je souhaitais partir vers Paris pour faire une meilleure carrière, lui voulait des enfants et vivre à la campagne. Avec le temps, l’image qu’il se faisait de notre futur me déplaisait totalement. Il l’avait senti aussi et c’est en bon terme que nous nous sommes séparés. C’est comme cela que j’ai finalement poursuivi ma carrière à Paris.

Je recommençais une nouvelle vie à 35 ans, célibataire, fraichement débarquée à la capitale, j’étais certaine que tout sera parfait.

Depuis trois mois, j’avais commencé mon nouveau boulot, il correspondait exactement à ce que j’espérais, à part la montagne de travail. Il manquait quelqu’un dans mon équipe pour réduire la charge, quelqu’un qui allait bientôt arriver.

Métro, dodo et boulot, en ce début d’hiver, m’ont fortement démotivée à sortir faire la fête, me faire des copines et aller me faire draguer un peu. Mais ce n’était que partie remise, je sortirai de mon hibernation dès l’arrivée du nouveau dans mon service.

Séparée depuis un an entre le déménagement, la recherche d’un logement et la prise de poste, côté mec, c’était un peu calme. Non, en fait ce n’était pas calme, c’était totalement mort. Heureusement que j’avais un gentil petit ami vibrant et rose, caché dans ma table de cheveux pour certains soirs.

Enfin le nouveau était arrivé, finie les journées de 11 h, fini de boucler des dossiers le week-end, enfin la vie parisienne allait démarrer.

Et quel nouveau, Laurent, le beau gosse, cheveux légèrement grisonnant mais sexy, grand comme je les aime, bref, le nouveau, c’était pile poil mon style.

Au bout de 15 jours, il avait pris son poste en main et il m‘arrivait de rentrer vers 18 heures, c’était le pied ! Au fil des jours, on a fait plus connaissance et il me plaisait beaucoup, il avait un petit côté Bad boy quand il arrivait à moto et un côté mec cool quand il arrivait à vélo avec son sac à dos.

Mais, il y avait un hic, sinon l’histoire raconterait déjà comment je me suis jetée sur lui.

Il avait une copine, une certaine Emilie. Déjà, il n’était pas marié, cela réduisait un peu ma culpabilité, d’autant plus qu’ils étaient ensemble depuis moins d’un an. Il n’en fallut pas plus pour que je jette aux oubliettes toute culpabilité à lui faire du rentre dedans.

J’ai commencé à m’habiller plus sexy au travail et à trouver des excuses pour prendre des poses suggestives.

Pour son premier mois dans mon service, je lui ai suggéré de m’inviter à fêter cela autour d’un verre, un vendredi après le travail. Nous sommes allés dans un bar cosy et nous nous sommes assis dans sur une banquette, éloignée des regards.

Après quelques mojitos, j’étais détendue et prête à sortir mes griffes pour le séduire. J’ai commencé à draguer Laurent, en posant ma main sur la sienne, en devenant très proche et en maintenant mon regard au plus profond de ses yeux. Notre conversation est devenue plus intime et je n’hésitais à mettre en avant que depuis mon arrivée à Paris, l’électrocardiogramme de ma vie sexuelle était plus plat que la Hollande.

Une tension sexuelle entre nous a pris vie lorsque je lui ai avoué qu’il m’attirait.

« Tu ne crois pas que c’est une mauvaise idée tout ça ?» demanda Laurent, un peu gêné. Nous sommes collègues de bureau, ce n’est pas très recommandé et en plus, je suis avec quelqu’un, tu le sais bien. »

J’ai senti que la porte n’était pas fermée, d’autant plus que sa première crainte était liée à notre situation professionnelle et non pas à sa situation amoureuse.

” Que veux-tu dire par tout ça ?” répondis-je avec un sourire espiègle. Nous n’avons rien fait de mal, nous prenons un verre et nous discutons, cela ne gênera pas notre relation au bureau. “

J’avais volontairement omis de faire allusion à l’objection liée à sa petite amie. Je me suis reculée dans la banquette en le fixant dans les yeux. Puis je me suis approchée de lui pour continuer doucement à le taquiner.

“Mais s’il se passait quelque chose ?”, dis-je, posant ma main sur sa cuisse et en m’approchant de lui moi jusqu’à ce que nos lèvres se rencontrent dans un baiser furtif, tu penses vraiment, Laurent, que notre production au bureau serait altérée ?

– Je ne sais pas, cela ne m’est jamais arrivé, mais ce serait mal vis-à-vis d’Emilie, dit Laurent.

Nous étions en train de nous dévorer des yeux, je pouvais lire dans les siens le déchirement entre une envie irrésistible et le doute. Ma main posée sur sa cuisse commença à remonter et à le caresser. Je sentais qu’il en avait le souffle coupé et je voyais bien que si Emilie n’était pas sa vie, il serait en train de me prendre là, sur la banquette.
Lorsque ma main atteignit son entrejambe, je n’ai plus eu de doute sur le fait qu’il avait envie de moi. Il mit sa main derrière ma nuque et m’approcha de lui pour m’embrasser ! Yes, c’était presque gagné, il venait de prendre une initiative !

Mais ce baiser érotique a pris fin lorsqu’il a dit qu’il valait mieux arrêter et qu’il devait rentrer rejoindre Emilie.

Je l’ai regardé avec un air un peu déçu, mais sans insister, car je sentais que je l’avais suffisamment troublé pour la soirée et qu’il allait beaucoup penser à moi quand il serait avec sa copine.

Nous sommes sortis et devant l’entrée de métro qui devait nous séparer, je lui ai fait un bisou sur la joue en lui glissant à l’oreille.
« Laurent, rien que ces baisers dans le bar m’ont fait vibrer dans ma petite culotte, dans mon lit ce soir, je penserai à toi.”

Laurent est devenu tout rouge, mais dans ses yeux d’étaient allumés une lueur de fierté et d’envie. Je jubilais sachant qu’il serait torturé par ce désir pour moi tout le week-end !

Reprise de la semaine, lundi, me voilà !

Je suis arrivée un peu plus tard que lui, pour une fois, je voulais qu’il me voie arriver ! J’avais mis le paquet, petite robe plutôt courte et ma paire de talons la plus sexy.

Avec un air coquin, je lui ai demandé s’il avait passé un bon week-end avec Emilie et lui dit discrètement que j’avais pensé à lui sous ma couette et dans mon bain. Cela suffit pour attiser la flamme du désir que je voyais dans ces yeux !

Comme réponse, j’ai eu le droit à un « habeu habeu », trop retourné par la situation pour réussir à parler clairement ! J’ai fait comme si la réponse avait été claire, car pour moi elle l’était. Son charabia disait « d’entrée de jeu, tu m’allumes je ne saurai pas te résister » !

Nous avons déjeuner avec toute l’équipe et à part le fixer du regard régulièrement, j’ai été très sage avec lui. Mais lorsqu’il commença à planifier, avec Martin et David, une soirée entre mecs vendredi car Emilie partait en province dans sa famille, je me suis dit que j’allais avoir l’occasion parfaite pour le tenter encore plus.

Pour ne pas paraître trop pressante, j’ai attendu mardi après-midi, pour lui envoyer un petit mot par la messagerie instantanée professionnelle. Dans ce message, je lui ai dit que je savais que samedi soir, il serait libre et que je serais heureuse de l’inviter à diner chez moi.

J’ajoutais qu’il n’était pas obligé de répondre et que je préférai avoir la surprise samedi soir à 19 heures. Pour finir, je lui laissai mon adresse »

De mon poste, je pouvais le voir lire mon message, il n’osait pas tourner la tête vers moi, je sentais son trouble et son déchirement entre l’envie et sa bonne morale.

La semaine se déroula comme si de rien, du moins presque, car chaque jour a été l’occasion d’être sexy au bureau et de lui lancer plein de regards insistants.

La fin de semaine arrive et le samedi, j’ai préparé le diner, certaine que Laurent frapperait à ma porte !
J’ai pris mon temps pour prendre soin de moi et être parfaite pour une soirée, qui j’espérais, se terminerait au lit !

Côté tenue, on a toute dans nos placards quelques petites choses que l’on n’ose pas mettre pour sortir car on se dit que c’est peut-être un peu trop et c’est exactement ce que j’ai mis ! Un décolleté un peu trop plongeant, une jupe, un peu trop courte et des talons un peu trop sexy ! Pour la lingerie, un ensemble en dentelle blanche que j’étais prête à sacrifier s’il devenait nécessaire de tout t’arracher en urgence.
19h personne, 19h15, toujours pas de Laurent et mince, j’aurai mis ma main au feu qu’il oserait venir. A ce moment, j’étais en train de me dire, que la moitié du repas finirait congelée.

Après 20 minutes d’attente, voilà qu’on sonne, enfin il était là !

J’ouvre la porte, il était canon, son manteau de motard, un jean moulant et t-shirt avec une tête de mort sexy. Bref, le côté Bad boy qui me plaisait.« Bonsoir Laurent, heureuse que tu sois venu, entre donc, je nous ai préparé un bon petit repas. »

Il entrait enfin dans mon petit appartement et me dis qu’il avait beaucoup hésité avant de venir et qu’il ne savait pas trop ce qui l’avait poussé à me rejoindre.
J’ai mis mes bras autour de son cou et l’ai embrassé avant de lui dire que c’était pour cela qu’il était venu.

Je le pris par la main et l’amenai dans le salon, j’avais préparé ce qu’il fallait pour grignoter sur la table basse, mais j’attendais surtout qu’il me grignote moi !

Il était assez timide et n’osait pas trop parler, je voyais qu’il n’était pas encore très à l’aise, alors j’ai commencé à parler de tout et de rien en buvant ma coupe de champagne. Je ne voulais trop faire retomber la tension érotique, mais je ne voulais pas le brusquer, du moins, pas tout de suite, je lui laissais le temps d’arriver.

En pleine discussion sur les différences entre ma vie de province et ma nouvelle vie parisienne, j’ai posé mon verre sur la table, je l’ai regardé droit dans les yeux en me mordant la lèvre.

Et c’est lui qui a fait le premier pas, victoire ! Il s’est approché et m’a embrassée, en fait, approcher n’est pas le mot juste, il a bondi sur moi !
Nous étions en train de nous dévorer les lèvres, adieu le doute et adieu Emilie, j’allais avoir ce qui me faisait le plus envie, lui.

Ça y est l’homme timide venait de s’effacer et je découvrais un Laurent entreprenant.

Nous étions en train de nous embrasser et nous commencions à nous déshabiller lentement. Je fis tomber mes chaussures au sol, il retira mon haut, exposant, à ses yeux, mes seins cachés sous le soutien-gorge. De mon côté, je venais de lui enlever son t-shirt et je découvrais un corps plutôt musclé, ce qui n’était pas pour me déplaire.

Ma main se glissa sur son entre-jambe et je pouvais sentir un renflement aussi flatteur que prometteur. Ses doigts caressaient tous les endroits où ma peau était désormais nue.

Je lui ai proposé d’aller dans ma chambre et on s’est embrassé sur tous les murs et meubles du trajet séparant mon canapé de mon lit.

Une fois sur la couette, dévorée par l’envie, j’ai ouvert son pantalon pour le baisser avec son boxer, très sexy d’ailleurs ! Il était nu dans ma chambre alors que j’étais encore avec ma lingerie en dentelle, j’avais fait glisser ma jupe sur le sol contre le mur du salon.

Je me suis assise sur le bord du lit et j’ai tiré Laurent vers moi pour pouvoir commencer à embrasser sa queue. Qu’est-ce que ça avait pu me manquer de sentir un sexe d’homme près de moi ! Je pouvais enfin satisfaire toutes mes envies et en plus, avec un beau mec, bien foutu, le pied.

Ma langue léchait tout son sexe, il était doux et brulant de désirs. J’écartais les lèvres pour le faire glisser et je commençais à le sucer ! Pour être certaine de le rendre fou, j’allais et venais sur lui avec douceur et amour, tout en gardant mes yeux dans les siens.
La sensation de sa queue entre mes lèvres m’excitait vraiment, pas comme ces fois, on le fait juste pour faire plaisir à son partenaire. A ce moment, j’en avais vraiment envie.

Tout à cet instant me rendait brulante. Son odeur, ses soupirs, ses caresses dans mes cheveux, la chaleur de ses couilles alors que je les caressais. La façon dont son sexe réagissait entre mes lèvres montrait son plaisir et je le sentais tressaillir, lorsque je le titillais délicatement avec ma langue ou mes dents.

Mon corps brulait et tous mes sens étaient à la recherche de plaisir.

Laurent était là et j’avais décidé qu’il serait mon jouet sexuel pour évacuer toute cette envie que j’avais accumulée ces derniers mois.

Nos regards se rencontrèrent, je pouvais voir qu’il était complètement bercé par d’agréables sensations.

Entre mes cuisses, je frémissais, je bouillonnais, ma chatte brûlante le voulait et je la sentais supplier que je réponde à ses besoins.

J’ai libéré son sexe de mes lèvres et je me suis allongée sur le lit.
« Laurent, prends-moi, je n’en peux plus, je te veux !», dis-je en retirant mon string pour découvrir ma fente déjà ruisselante.

Laurent ne s’est pas fait prier, immédiatement, il est venu se placer à genoux entre mes cuisses, plaçant son bout chaud entre mes lèvres pour masser mon clitoris. Quel délice, ma pauvre minette qui n’avait pas eu de visite à part celle de mon jouet rose, la voilà enfin cajolée !

Après quelques minutes de frottement de son gland sur mon bouton, Laurent se recula avant de laisser tomber sa bouche sur ma chatte, jouant habilement avec mon clitoris entre les lèvres !

Non seulement, il était canon, mais en plus, il savait s’y prendre le coquin !

Je sentais dans mon ventre que marche après marche, il me faisait gravir l’escalier vers le paradis.

En pleine perte de contrôle, une de mes mains alla attraper les cheveux grisonnants de Laurent tandis que l’autre empoigna la couverture, j’allais jouir. Submergée par des vagues de chaleur, je vivais un orgasme bouleversant, tout mon corps était pris de spasmes. Je criais mon plaisir en tenant le visage de Laurent contre ma chatte alors que j’étais prise de convulsion dévastatrice.

Laurent ne m’accorda aucun répit et il me coupa le souffle en me tirant par les pieds pour me rapprocher de lui. Il se pencha sur moi et plus de petites caresses du bout du gland, plus de timidité, Laurent le mâle viril et puissant montrait son visage.

Au-dessus de moi, il se positionna pour que sa queue pénètre ma grotte humide et avec une poussée ferme et puissante, il était en moi. J’avais l’impression de ne plus redescendre de mon orgasme, bien au contraire, je commençais à sentir qu’il y avait quelque chose encore plus haut que le paradis. C’était tellement bon.
Laurent savait comment utiliser sa queue, mais aussi écouter mes bruits et mon souffle pour me prendre avec la cadence parfaite. Mes jambes l’entourèrent pour le serrer contre moi et sa tête plongée dans le creux de mon coup, j’entendais ses bruits d’excitation. Laurent savait me prendre et dans tous les sens du terme ! Je vivais un moment de puissant plaisir, j’étais hors du temps avec Laurent en moi.

Je le poussais pour qu’il comprenne que je voulais qu’il s’allonge et sans que sa queue se retire de mon corps, je me retrouvais à le chevaucher. J’enlevais mon soutien-gorge pour que ses mains puissent enfin toucher mes seins tout en allant et venant sur son membre. Je mouillais sur lui, j’étais en train de le tremper de mon nectar de bonheur. Je sentais que se préparer, dans mon ventre, un nouvel orgasme dont les prémices laissaient à penser qu’il serait encore plus ravageur que le premier. Je voyais que mon homme était aussi proche de la jouissance finale. Alors, je l’ai fixé dans les yeux et ralenti le mouvement, je coulissais plus doucement sur son pieux d’amour mais en allant le chercher plus profondément ! Cette cadence douce était frustrante autant que délicieuse, j’avais envie de sauter encore et encore plus vite sur lui jusqu’à hurler, mais je voulais faire durer encore un peu ce petit jeu.

Lui et moi étions en train de jouer à la limite de l’orgasme, nos corps étaient torturés, nous avions besoin d’atteindre l’extase.

« Laurent, j’ai envie de jouir, j’ai envie que tu viennes en moi » ai-je dit avant d’accélérer la cadence.

Il attrapa mes fesses par les mains pour mieux me pénétrer, à chaque fois qu’il revenait en moi profondément, il m’arrachait un petit cri. Mais les petits cris font les grands hurlements et j’ai commencé à bouger plus rapidement mon corps sur le sien, jusqu’à atteindre le nirvana !

Mes mains posées sur ton torse, la chatte trempée et prise par sa queue, j’étais prise de tremblements de plaisir ! A la vue de ma poitrine qui se baladait au rythme des pénétrations et de mes grimaces orgasmiques, Laurent s’est relevé pour me serrer contre lui et avec quelques mouvements puissants de son bassin, je l’ai senti venir en moi ! Il avait la tête entre mes seins et il gémissait, ma chatte recevait tout son jus de plaisir, et j’adorais ça !

Il se laissa retomber sur le lit m’entrainant dans sa chute. Ma tête posée sur son torse, je venais de gouter à un plaisir intense. Il me retourna pour se mettre sur moi et nos lèvres se sont rencontrées à nouveau. C’était si bon de le sentir sur moi, de sentir que dans ma grotte se trouvait encore le plaisir chaud de Laurent.

Au bout de quelques minutes silencieuses, je lui proposais de passer à table. Une partie de sexe de folie pendant l’apéro, un bon repas et une nuit torride qui s’est terminée lorsque le soleil s’est levé, je n’aurai pas pu rêver mieux.

Bien sûr, vous devez vous dire « mais quelle salope celle-là, elle a allumé un homme qui avait déjà une copine » et vous n’avez pas totalement tort ! Mais depuis Laurent a quitté Emilie et ce lit dans lequel nous avons fait l’amour ce fameux samedi soir est celui dans lequel je me réveille à côté de lui, tous les jours, depuis bientôt deux ans.

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1 Commentaire

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    J’ai vraiment adoré, un style intéressant et j’ai beaucoup aimé la fin !

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