1. Pour Cocus
  2.  ▶ 
  3. Histoires de cocus
  4.  ▶ Première nuit torride

Première nuit torride

La première fois où j’ai été cocu

Les graines du candaulisme dans notre couple

Gabrielle et moi, mariés depuis vingt-cinq ans, avons toujours eu une vie sexuelle hors normes. À 42 ans, je suis un homme ordinaire : 173 cm, 80 kg, brun, sans rien d’exceptionnel. Gabrielle, elle, est différente. À 38 ans, elle affiche 173 cm également, mais ses 90 kg de courbes voluptueuses, ses cheveux châtain clair, sa poitrine généreuse et sa bouche pulpeuse attirent tous les regards. Depuis quelque temps, je l’ai poussée vers le candaulisme : des petits jeux de flirts virtuels, sans jamais franchir d’autres étapes. L’idée qu’elle soit désirée, touchée par d’autres sous mes yeux, me rend fou. Ce week-end, sans les enfants, nous avons décidé de partir en escapade dans la grande ville la plus proche, prêts à explorer davantage ce candaulisme qui m’obsède.

Avant de quitter la maison, Gabrielle m’a enfermé dans une cage de chasteté – un rituel qu’on affectionne. Elle a accroché la clé, un cœur en métal, autour de son cou comme un pendentif, symbole de son contrôle sur moi, son mari en cage de chasteté. Ce soir-là, elle a enfilé une robe rouge moulante qui soulignait ses formes, ses seins débordant juste assez pour captiver, et des talons noirs claquant avec assurance. Moi, en chemise et jean, je sentais l’excitation monter. Nous avons dîné dans une brasserie chaleureuse, partageant un rosé glacé, avant de nous diriger vers une boîte de nuit où la musique faisait vibrer les murs.

 

Sur la piste, ma femme attire les regards

Sur la piste de danse, je l’ai encouragée :
« Vas-y, Gabrielle, laisse-les te mater. Danse avec qui tu veux. »
Elle a ri, un peu éméchée, et s’est laissée aller dans ce jeu de séduction. Rapidement, les hommes ont gravité autour d’elle. Parmi eux, un se détachait : Vincent, un colosse d’environ 35 ans, 1m90, baraqué, avec des épaules larges et des avant-bras musclés tendant sa chemise noire. Cheveux courts, barbe taillée, yeux noirs perçants, il exsudait une virilité brute. Il s’est approché d’elle, sourire en coin, et lui a proposé une danse. Gabrielle m’a lancé un clin d’œil complice avant d’accepter. J’ai commandé un whisky au bar pour observer, savourant ce moment.

Il l’a serrée contre lui, ses mains glissant sur sa taille. Leurs corps ondulaient sur un rythme latino, collés l’un à l’autre. Vincent lui murmurait des mots à l’oreille, sa voix grave la faisant frissonner – je voyais ses joues rosir. Puis il a posé ses lèvres dans son cou, un baiser qui l’a fait rire, mêlant plaisir et gêne. Elle m’a regardé, complice, et je sentais la pression monter, mêlée d’une pointe de jalousie. Après un moment, elle est revenue vers moi, essoufflée :
« Il me rend folle, Grégory. Je crois que je suis prête à te faire cocu. Et si on le ramenait à l’hôtel ? »
L’alcool la désinhibait. Troublé mais excité, j’ai acquiescé :
« Si t’as envie, fonce. »

L’ascenseur, prélude à l’infidélité consentie

Dans l’ascenseur, la tension était palpable. Vincent collait Gabrielle, ses mains sur ses hanches, frôlant ses fesses dans un élan de désir brut. Elle riait, jouait avec les boutons de sa chemise, tandis que moi, juste à côté, je regardais, la cage de chasteté devenant insupportable. Elle me tendait parfois la main ou m’envoyait des clins d’œil, me gardant dans le jeu. Arrivés dans la chambre – une suite simple avec un grand lit –, j’ai murmuré :
« La clé, chérie, je veux participer. »
Elle a tâté son cou, puis affiché un air gêné :
« Merde, je l’ai perdue ! »
Le pendentif avait dû glisser quelque part dans la soirée, laissant le mari en cage de chasteté piégé.

Elle a hésité :
« On arrête là, non ? »
Mais ses yeux trahissaient son désir.
« C’est toi qui choisis », ai-je répondu, la gorge nouée. Avec un sourire narquois, elle a haussé les épaules :
« Tant pis, tu restes enfermé. Vincent a de quoi me combler, lui, pas besoin d’un cocu libre. »
Ses mots m’ont piqué, mais l’excitation l’emportait. Je me suis assis sur une chaise pendant qu’ils s’approchaient du lit.

 

Vincent prend le contrôle, moi cocu spectateur

Vincent a agi en maître. Il a retiré sa chemise, dévoilant un torse sculpté, des pectoraux saillants et une ligne de poils descendant jusqu’à sa ceinture. Gabrielle a laissé tomber sa robe rouge, exposant son corps nu : ses seins lourds aux aréoles larges, ses hanches pleines qui me rendaient dingue. Je respirais difficilement, torturé par le métal, pendant qu’il l’attirait à lui. Il l’a embrassée sauvagement, sa langue envahissant sa bouche. Elle a gémi, me jetant un regard moqueur, tout en disant à Vincent.
« Il est bien sage mon Grégory, hein ? C’est un gentil mari dans sa cage de chasteté, coiné, il ne peut-etre qu’un spectateur cocu. »

Il l’a poussée sur le lit, écartant ses cuisses avec ses mains puissantes. Sa barbe râpait sa peau alors qu’il plongeait sa langue entre ses jambes, léchant son clitoris avec une précision qui l’a fait hurler en quelques secondes. Elle s’est cambrée, ses seins tressautant, secouée par son premier orgasme de son initiation au candaulisme.

« Oh oui, Vincent, là ! » a-t-elle crié, me narguant du coin de l’œil. Il a continué, ses doigts la pénétrant pour la faire jouir encore. Un deuxième orgasme l’a traversée, ses gémissements résonnant tandis que je me tortillais, impuissant.

Gabrielle découvre une nouvelle virilité

Elle s’est redressée, essoufflée, et a tiré Vincent par la ceinture avec un sourire coquin. Elle a défait son pantalon, et quand sa queue est apparue – énorme, 22 cm, épaisse, veinée –, elle a poussé un cri ravi :
« Grégory, t’as vu ça ? Ça, c’est une vraie bite pour te faire cocu ! »
Ses mots m’ont blessé, mais la cage de chasteté me torturait d’excitation. Elle l’a pris à deux mains, le caressant avant de l’enfoncer dans sa bouche. Ses lèvres pulpeuses ont englouti le gland, et elle l’a sucé avec avidité, sa langue courant sur les veines gonflées. Elle salivait, un filet coulant sur son menton, tandis que Vincent grognait, ses mains dans ses cheveux.
« T’aimerais bien, hein, cocu ? Trop tard ! » m’a-t-elle lancé, me regardant entre deux succions. Elle l’a sucé jusqu’à ce qu’il la repousse, prêt à passer à l’acte.

Le candaulisme à son apogée

Vincent l’a allongée sur le dos, écartant ses jambes comme un trophée. D’un coup sec, il l’a pénétrée, la remplissant entièrement. Elle a hurlé, ses seins rebondissant à chaque coup de reins. Il malaxait sa poitrine, pinçant ses tétons jusqu’à ce qu’ils rougissent.
« Regarde ça, Grégory, il me baise comme toi jamais, cocu ! » m’a-t-elle lancé entre deux cris. Elle a joui rapidement, ses parois se serrant autour de cette queue qui savait bien la baiser. Puis il a accéléré, ses hanches claquant contre elle, et a joui : des jets chauds et épais l’ont inondée, débordant sur ses cuisses.
« Putain, il m’a remplie ! » a-t-elle crié, ravie.

Il l’a retournée à quatre pattes, claquant ses fesses charnues.
« T’aimes ça, salope ? » a-t-il grogné.
« Oui, et toi, Grégory, tu peux rien faire! » a-t-elle ri. Il l’a pénétrée brutalement, la baisant fort tandis qu’elle jouissait encore, me narguant :
« Écoute-moi jouir, cocu ! »
Il a joui une deuxième fois, un flot abondant marquant cette chatte qui m’appartenait depuis vingt-cinq ans.

Une fin explosive pour le mari encagé

Vincent l’a plaquée contre le mur, soulevant une jambe pour la pénétrer debout. Ses seins s’écrasaient contre son torse, et elle jouissait à répétition, criant son plaisir pendant que je matais, la cage de chasteté me rendant fou. Il a joui une troisième fois, son sperme débordant sur le sol.

Pour finir, il l’a remise en missionnaire, ses jambes sur ses épaules. Il la pénétrait avec une énergie brutale, ses mains malaxant ses seins, les giflant une dernière fois alors qu’elle hurlait sous un énième orgasme. Il lâcha une éjaculation qui semblait plus légère et quelques gouttes ruisselaient sur les draps froissés.

Ça a duré presque deux heures, et elle a joui plus que ce qu’elle et moi pensions être possible.

Il s’est rhabillé et a filé avec un salut désinvolte. Gabrielle, nue sur le lit, m’a regardé avec un sourire cruel. Elle a plongé une main entre ses cuisses, ramassant le sperme qui coulait.
« Touche ta cage de chasteté, vas-y, fais-toi plaisir comme un cocu », m’a-t-elle ordonné. Elle l’étalait sur ses seins, léchant ses doigts :
« C’est tellement meilleur que le tien, Grégory. T’es un cocu enfermé, et moi, j’ai joui comme jamais. »
Humilié mais excité, j’ai frotté la cage de chasteté jusqu’à un orgasme étouffé. Ce fut notre première plongée dans le candaulisme, et une chose est sûre : il y en aura d’autres.

 

Navigue dans cette catégorie

Les podcasts inédits à l'unité ou en packs dans le même univers

0 commentaires

Soumettre un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.

Le thème du mois :

Image de l'étiquette des podcasts érotiques et pornaudio d'humiliation des micro pénis sph

Les podcasts en promo

La boutiK de Mp3

Interprètes et auteurs

Le Village des Sissy

image pour le lien vers le réseau social pour sissy fabrikavillage.com

Mon sexshop

image pour le lien vers le sexshop fabrikafantasmes

Mes motifs sur des t-shirts

image pour le lien vers les tshirts fabrikafantasmes

Partenariat avec Lovense

Ne rate pas mes prochains articles ! Tu veux bien, s'il te plait, t'abonner à mon site pour être informé(e) des nouveautés ? Non, ma femme pourrait le voir ! Bien sûr