Il existe bien des histoires sur des cérémonies obscures. Il se raconte tant de légendes et de rumeurs sur des cultes aussi secrets que noirs, que ce soit ceux autour de la déesse Lilith, les terrifiants rituels de Moloch, comme ces actes de dévotions auprès de quelques démons ou dieux des souterrains issus de religions éloignées et oubliées.

Mais il y a une légende bien moins connue, que les anciens ont arrêté de se raconter afin de la faire tomber dans l’oubli.

Et toi Sissy, tu as déjà dû ressentir que dans une vie antérieure, il t’était arrivé quelque chose, de sombre, de presque démoniaque.

Alors, laisse-moi de conter ce que tu as vécu, il y a bien longtemps, dans une de tes vies lointaines dont tu n’as aucun souvenir

Nous retournons ensemble au 13eme siècle dans ce petit village de Transilvanie.  Une région où les superstitions étaient nombreuses et pouvaient vous glacer le sang.

Chaque année au milieu de l’automne réserves de nourritures étaient pillés et certains villageois accusaient des monstres créaient par un être malfaisant, mi démon, mi sorcier nommé Sărut. Bien que personne n’ait jamais vu ces créatures ou Sărut, tout le monde croyait en cette explication.

Dans ton village Sissy, chaque année le début de l’automne amenait la crainte de voir disparaitre les réserves et la peur d’une famine à venir. C’est alors qu’un jour, un paysan trouva, dans son champ, une pierre avec des inscriptions gravées.

Cela semblait être une petite stèle en honneur de Sărut, dessus une représentation qu’on pensait être la bouche creusée et grande ouverte du démon. Des inscriptions expliquées que pour calmer Sărut, il fallait que le corps d’une belle sissy soit usé et que toute la semence dégoulinante de son corps soit récolté et verser dans la bouche de la représentation de Sărut.

C’est pour cela qu’un soir alors que tu passais ton balai de paille sur le sol en terre de ta modeste demeure, tu fus attrapée sauvagement par plusieurs hommes du village et menée sur la place publique.

Tu étais vêtue d’une longue robe noire, tes cheveux roux brillaient à la lumière des torches et des feux qui servaient d’éclairage et tu portais déjà une cage de chasteté faite en métal.

Tu fus prise de panique lorsque tu aperçus que sur la place, il n’y avait que des hommes et ton sang ne fit qu’un tour lorsque tu aperçus, au milieu de la place un pilori.

Sans que personne ne dise un mot, on t’amena au pilori, tes mains et ta tête devinrent prisonnière de ce carcan de bois. Une sorte de banc un peu sur élevé te permettait de reposer ton buste.

Tu compris rapidement qu’ainsi, ta bouche et ton cul était à la hauteur parfaite pour servir toutes les queues des hommes qui, désormais t’entouraient.

Le Bourgmestre s’approcha de toi et te dit qu’il était désolé mais que c’était la seule façon de satisfaire Sărut. Dans le même temps, un homme plaça un grand bol sous ta tête et un second entre tes cuisses écartées.

Il baissa son pantalon et tu fis face à une grosse queue.

« Tu vas sucer et vider mes couilles ! Ta bave et mon foutre finiront par couler dans le bol Sissy et ce bol comme celui derrière toi, devront contenir assez de jus pour remplir la bouche de la stèle »

Il t’attrapa par tes cheveux roux et tu ouvris la bouche, laissant ainsi le passage libre pour sa queue. Sans attendre, il baisa ta petite bouche, il l’a baisé si fort que des jolis yeux commencèrent à devenir vitreux.

Il en profitait le salop, sous le prétexte du sacrifice pour Sărut, il pilonnait ta bouche de petite sissy suceuse.

Puis tu sentis que ta robe était retroussée, qu’on venait d’arracher ta culotte et qu’un liquide tiède coulait entre tes fesses.

Quelqu’un était en train de faire couler de l’huile dans le sillon de tes fesses, tu l’avais bien compris, tu allais être baisée par ta chatte de sissy.

Une main t’écarta une fesse sans aucune douceur, un gland se posa sur ton petit orifice. L’huile remplit bien son rôle alors que cette queue remplit désormais ta chatte.

Il s’agrippa à tes hanches, tu ne savais même pas qui il était mais tu sentis qu’il s’enfonçait entièrement en toi. Sans ménagement, il te baisa, il faisait des vas et vient dans ta chatte huilée, avec sa queue de mecs en manque.

Le bourgmestre dans ta gorge, un autre dans ton cul, tu ne pouvais que te laisser faire, prisonnière de ce carcan devant tous les hommes du village. Tu compris rapidement qu’ils attendaient leur tour, et que même si la place n’est éclairée que faiblement tu peux voir qu’ils se branlaient en te regardant. Il y avait tellement de queues Sissy et toi, tu ne pouvais que te laisser faire.

Alors que cette scène était totalement obscène, une inattendue excitation montait en toi. Tu commençais à gémir de ces coups de bites qui perforaient ton petit corp fragile et captif.

Le bourgmestre te tenait la tête fermement tu sentis sa queue se contracter et alors qu’il gémit comme un porc, il t’envoya une grosse quantité de sperme dans ta bouche, ça giclait ça giclait encore, il n’avait pas dû se purger depuis bien longtemps. Il se retira et te dit de baisser la tête et de laisser tout couler dans le bol.

Une grande quantité de jus de couilles mélangés à de la salive dégoulina de ta bouche et remplit le bol.

Puis un autre homme t’attrapa par les cheveux pour te faire redresser la tête et tu ouvris la bouche impatiente de te faire bourrer encore par une bite peu scrupuleuse.

Tu aurais eu les mains libres, tu l’aurais branlé dans ta bouche, mais là impossible, te laisser faire était la seule option Sissy.

Tu entendis celui qui était en train de te baiser te dire « Salope je vais venir et bien me vider au fond de ton cul de sissy salope » ! Et il n’avait pas menti, tu pouvais sentir qu’il se vidait bien dans ton cul. Il se retira et sans attendre une queue entra d’un coup sec en toi ! Tu poussas un gémissement d’étonnement étouffé par la queue qui tamponnait tes amygdales.

Sa queue était plus fine mais bien plus longue, il s’enfonçait loin dans ton corps et tu sentais qu’il baignait dans le foutre du précédent.

Il te disait, « tu es bonne, ton cul est bien meilleur que la chatte à ma femme », et il te claquait les fesses tout en riant ! En tout cas, il n’avait pas du baiser sa femme depuis longtemps car il fallut que peu de coups de reins pour avant qu’il te dise « tiens prends ça salope, je me vide les couilles au fond de toi » !

En se retirant aussi vite qu’il était venu, tu senti que du sperme coulait de ta chatte et tu te doutais qu’il finirait sa course dans le bol.

« Hey, celui avait moi avec une bite bien fine, là, ça va te faire tout drôle ma jolie, car c’est un gros calibre que je vais t’enfiler ».

Effectivement son gland et sa queue était massive ! Tu secouais tes mains tu crispais tes orteils alors qu’il tentait de forcer le passage. Doucement et surement, il ouvrait ta chatte et s’enfonçait dedans ! Tu gémis de plaisir et tu semblais si excité que ça se propagea à la queue que tu avais en bouche.

Celle si crachait tout ce qu’elle pouvait de foutre en toi ! Tu avais envie d’avaler ce bon sperme chaud mais tu savais que tu devais le faire couler dans le bol. La grosse queue dans ta chatte, Sissy, commençait à te faire du bien beaucoup de bien !

Tu gémissais et criais « oui vas-y baise moi, putain baise moi à fond, je suis ta petite pute ».

Il tapait fort en toi et tu sentais le plaisir monter de plus en plus ! Un homme qui attendait dit « hey les gars, elle va jouir la sissy salope » !

Tous se mirent à crier « jouis, jouis, jouis Sissy », cette ambiance et la queue dans ta chatte était si excitante que tu te mis à jouir, ton orgasme coulait de ta cage et alla rejoindre le bol.

Te voir jouir avait augmenté l’excitation de cette énorme queue qui te ravageait car alors que la dernière goutte de ton orgasme s’échappait, lui, envoyait toute sa sauce en toi ! Son éjaculation était aussi massive que sa queue, tu te sentais remplie, tu te sentais pleine et lorsque se retira tu pouvais sentir cette crème chaude jaillir de ta chatte. Les plouf que tu pu entendre te firent comprendre que ça coulait bien dans le bol.

Et chacun de tes orifices fut rempli à nouveau, rempli de queue, puis rempli de jus.

Ce défilé en toi dura jusqu’au levé du soleil et cela faisait déjà longtemps que tu avais arrêté de compter combien de males avaient abusé de ton corps.

Bien que soutenue et immobile, tu étais essoufflée et fatiguée, ta bouche endolorie et ta chatte palpitante restait encore bien ouverte.

Le bourgmestre récupéra les deux bols et te montra une impressionnante quantité de sperme. Si tu avais pu tu aurais lapé les bols, mais ils étaient destinés à autre chose.

Ils versèrent tout le jus que tu avais récolté dans la bouche de la stèle espérant que cela apaiserait Sărut qui laisserait le village tranquille cette année.

Puis ils te libérèrent et te portèrent jusqu’à ton lit pour que tu te reposes. Cette année-là, rien ne se produisit, Sărut laissa le village en paix. C’est pour cela que le bourgmestre vint quelques mois plus tard te dire que désormais, chaque année tu serais sacrifiée et, c’est ce qui se passa pendant des décennies.

Tout cela, tu ne t’en souviens plus, et ce que tu ne savais pas à l’époque c’est qu’en réalité, Sărut veut simplement dire « baiser » dans un dialecte de Roumanie.

Alors, tu peux te poser cette question, Sissy, est-ce que tout cela aurait pu être une mise en scène avec comme objectif trouver une raison pour te mettre au pilori et user de ton corps une nuit entière ?

En tout cas, pour ma part, je pourrai inventer toutes les légendes possibles afin de justifier que je sacrifie ton corps pour mon plaisir.