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Quelques épisodes de ma vie [Ep04 final]

Chapitre 4 : Week-end d’amour et de premières fois

Coucou les filles, c’est encore moi, Mélanie. Bon, d’accord, Guillaume est toujours quelque part au fond de moi, il devient une petite voix de plus en plus discrète. Mais avec mon ensemble jupe plissée, t-shirt « Hello Kitty » cintré ma cage de chasteté bien serrée sous mon string en dentelle, je crois qu’on peut dire sans hésiter que je suis pleinement, totalement, incontestablement Mélanie aujourd’hui !

Après cette nuit inoubliable chez Benjamin, où j’ai découvert de nouveaux plaisirs, nous avons bien sûr continués à nous voir.

Les agendas et diverses aléas personnels ne nous avaient pas permis de repasser une nouvelle soirée hot. Mais nous avons eu de petits câlins, dans des canapés devant la télé ou, encore, contre des portes d’entrées !

Guillaume, lui, était étrangement silencieux, plus aucune mise en garde ou remarques sarcastiques. Comme s’il sentait que les choses étaient en train de changer pour de bon, que Mélanie prenait définitivement les commandes.

Mais bon, revenons à nos licornes, parce que oui, Mélanie adore toujours ça, et je ne compte pas m’en passer ! Donc quelques jours après cette nuit magique, Benjamin m’a proposé un week-end en tête à tête à la campagne.

Pour moi le « tête à tête » avait résonné comme « en amoureux » et j’en ai eu des papillons dans ventre ! L’idée était de réserver un AirBnB à deux heures de chez nous, pour qu’on puisse être vraiment tous les deux. Dois-je dire que j’ai fondu immédiatement ? Non bien sûr, vous vous en doutez !

Pour éviter de paraitre excessivement aux anges et de donner l’impression de percevoir cette escapade comme un plan romantique, J’ai sauté de joie intérieurement.

Bon, j’avoue que la contenance n’étant pas mon fort alors j’ai aussi un peu sauté de joie et pousser des petits cris comme Phoebe dans Friends !

Le vendredi soir, après une journée de boulot où Guillaume a dû jouer les sérieux en réunion, je me suis préparée pour mon escapade avec mon prince charmant. Épilation intégrale et gommage, pour une peau douce et lisse comme un meuble en formica et préparation de ma valise.

J’ai passé des heures à me demander ce que j’allais mettre et j’ai fini par me dire « Je n’ai rien à me mettre » la phrase ultime de meuf, quoi !

Réveil matin 8h, je me réveille………comme une fleur, je me prépare vite avant que Benjamin sonne chez moi.

J’ai choisi une tenue féminine mais pratique pour la route ; une jupe plissée mi-longue mais dans la catégorie « qui tourne bien », des dim-up, un top moulant qui met en valeur mes formes rembourrées au push up, et des petites baskets plates, la seule chose appartenant à Guillaume.

Sous mon tanga rouge, ma fidèle cage de chasteté plate et métallique, bien en place, qui me rappelait à chaque mouvement que je devais être une sissy parfaite, excitée et frustrée juste comme il faut.

Côté maquillage, c’était subtil mais sexy, un eye-liner qui met en valeur mes yeux qui pétillent comme une gamine qui a un crush, un blush rosé pour donner l’air d’une poupée innocente (Innocente lol #cestpascequejaiprevu), et un rouge à lèvres rouge léger et résistant parfait pour des baisers sans laisser de traces partout et surtout pas…. Où vous savez.

Dans ma petite valise, j’avais prévu une tenue plus coquine pour le soir, robe courte, des bas couture avec la ligne rouge qui remonte le long de la jambe, un string rouge et noir, des talons, et une petite nuisette en satin en guise de pyjama ! Cela était un peu hot, mais j’espérais bien le chauffer lui et le faire exploser, mais pas sur ma robe ! !

Benjamin est passé me chercher en voiture et de son air malicieux si craquant, il me lança « Prête pour l’aventure, ma belle princesse ? »  Avant de m’embrasser sur les lèvres, sur le parking de notre résidence. J’ai hoché la tête avec mon cœur qui tambourinait plus fort que la police, sur la porte lors d‘une perquisition

Ah oui, pause !

En effet, je suis sortie de mon appart en fille ! Il faut dire que ce n’est pas le voisin d’en face qui aurait dit quelque chose et surtout, je m’en suis tamponnée !  Si les autres habitants me voient et qu’ils parlent et bien cela leur fera une activité ! Car pour ma part, je me trouvais jolie, fémininement crédible et moi, je partais en week-end avec mon chéri, et toc les viocs !

Le trajet passait tellement vite. À un moment, sa main a glissé sur ma cuisse gainée de nylon remontant doucement, et j’ai frissonné de la tête aux pieds. « Tu es absolument magnifique, Mélanie. J’ai hâte de t’avoir rien que pour moi tout le week-end, sans personne pour nous déranger », a-t-il murmuré.

Ses mots m’ont fait rougir comme les fesses d’une soumise dans un club bdsm, et même Guillaume a pensé très fort « Il est vraiment doué, ce gars. Profite à fond. »

On est arrivés au AirBnB, en fin de matinée, une adorable petite maisonnette en pierre au bord d’une forêt, avec un jardin fleuri rempli d’iris de toutes les couleurs, d’hortensia et de camélia.

L’intérieur était cosy, avec une grande cheminée en pierre, un canapé moelleux devant, un grand lit king size dans la chambre avec une jolie housse couette un peu vintage, et une cuisine ouverte équipée où Benjamin jouerait avec ses talents de cuistot pour ce soir.

« C’est parfait, absolument parfait », ai-je murmuré en entrant, émerveillée, en tournant sur moi-même comme une gamine, et bien sûr c’est là que ma robe « qui tourne bien » a montré que justement elle tournait bien !

Il m’a prise dans ses bras, et on s’est embrassés longuement, passionnément, comme si on avait mis stop au défilement du temps. Pour la première fois de ma vie, je me sentais vraiment en couple, comme une fille normale avec son amoureux. Pas de tiroir secret, pas de cachette, pas de double vie ; juste Mélanie et Benjamin, ensemble.

Nous avons rapidement déballé nos affaires et rangé nos petites choses dans les placards. J’ai même pris le temps de disposer mes produits de maquillage dans la salle de bain comme si j’emménageais.

Benjamin a proposé d’aller promener dans la forêt pour piqueniquer (laisse le pic, chéri, il n’est pas si utile !).

On a marché main dans la main sur un sentier bordé de frênes, d’orme et charmes, l’air frais empli de l’odeur de mousse des bois, de la terre mouillée et des fleurs sauvages. C’était magique, les filles, Benjamin qui me racontait des souvenirs de son enfance passée à la campagne chez ses grands-parents et les oiseaux qui chantaient en guise de bande son.

Je me sentais libre, épanouie, comme si Mélanie avait enfin trouvé sa place dans le grand puzzle de l’univers, à côté de cet homme qui me regardait comme si j’étais la huitième merveille.

Au bout d’un moment, on s’est écartés du sentier principal pour arriver près d’un grand tilleul isolé, trônant au milieu d’une petite clairière. Benjamin m’a plaquée doucement contre l’écorce, ses yeux plongeant dans les miens avec une intensité qui m’a fait chavirer. « Tu es si belle ici, au milieu de la nature », a-t-il murmuré avant de m’embrasser passionnément, sa langue dansant avec la mienne.

Ses mains ont glissé sous ma jupe, effleurant l’intérieur de mes cuisses, remontant jusqu’à frôler mon string, et j’ai gémi contre ses lèvres, j’étais déjà en brulante de désir. Le câlin est devenu plus intense, il m’a soulevée légèrement du sol, mes jambes s’enroulant autour de sa taille, et on s’est frottés l’un contre l’autre comme des ados en chaleur, son sexe durcissant contre ma cage, qui me frustrait délicieusement. « Benjamin, oh my god », ai-je soufflé, les joues en feu, le souffle court.

C’est moi qui ai pris l’initiative suivante, incapable de résister plus longtemps. Je me suis laissée glisser lentement à genoux sur le sol moelleux et humide, mes mains tremblantes descendant sa braguette avec une excitation folle. Il n’a pas protesté, juste un regard encourageant qui m’a donné des ailes. J’ai sorti son sexe déjà bien dur, l’ai caressé doucement du bout des doigts, l’admirant, ressentant sa chaleur, puis je l’ai pris en bouche avec avidité. Oh, les filles, sucer mon amoureux en pleine forêt, avec le vent qui caressait mes faux cheveux et le risque lointain d’être surpris par un promeneur, c’était incroyablement excitant et un peu risqué !

Je l’ai léché sur toute sa longueur, sucé avec application, variant les rythmes pour lui donner plus de sensation, ma langue tournoyant autour de son gland bouillant. Ses mains sur mes joues me guidaient doucement, et j’adorais cette sensation d’être dévouée à son plaisir. Mais au bout de quelques délicieuses minutes, quand je sentais ses hanches trembler et qu’il approchait dangereusement du point de non-retour, il m’a arrêté net, « Attends, ma princesse ! J’ai une petite surprise rien que pour toi. Relève-toi et tourne-toi un peu, appuie-toi contre l’arbre », m’a-t-il dit avec un sourire ultra coquin. J’ai obéi immédiatement, il a relevé ma jupe avec douceur, je m’attendais à ce qu’il joue avec mes fesses. Au lieu de me toucher directement l’arrière-train, j’ai senti sa main se diriger sur ma cage et là, des vibrations m’ont surprises et ont incendié mon être avec un lance flamme de plaisir !

Les vibrations ont traversé le métal froid instantanément, se propageant à mon clitty emprisonné comme des ondes électriques. C’était intense, Les vibrations me parcouraient de part en part, me faisant trembler des pieds à la tête, mes jambes tremblantes d’excitation

« Benjamin… c’est… ah ! C’est trop bon ! » ai-je haleté, les mains agrippées à l’écorce e pour ne pas m’effondrer. Lui, je le sentais dur, collé à mes fesses, sa main libre me tenant par la hanche.

Il a augmenté progressivement l’intensité, murmurant des mots doux et crus à mon oreille : « Jouis pour moi, Mélanie, laisse-toi aller complètement, je veux te voir te tortiller de plaisir. » Et j’ai joui, comme ça, dans ma cage, un orgasme puissant et ruisselant qui m’a fait voir des étoiles et des licornes galopantes. Des spasmes m’ont secouée violemment, et j’ai coulé abondamment dans ma prison de métal, pendant que Benjamin me tenait fermement pour que je ne tombe pas. « C’était parfait, ma belle, tu vois, je t’avais promis que je te ferai jouir tout en te gardant dans ta petite cage », a-t-il dit en me retournant, m’embrassant tendrement le cou et en éteignant le jouet.

On s’est assis sous l’arbre et on a déjeuné ce qu’il avait préparé et amener dans son sac ! Un piquenique champêtre, ça en jette-vous ne trouvez pas ?

On riait comme des gosses, en se taquinant sur qui avait gémi le plus fort. La forêt semblait encore plus belle, comme si ce moment intime l’avait enchantée, les couleurs du printemps semblaient plus vives juste pour nous.

Repas terminé, on a continué le sentier jusqu’à ce que la boucle nous ramène dans notre propriété éphémère en milieu d’après-midi.

De retour à l’Airbnb, on a chillé un peu jusqu’à finir par faire une petite sieste enlacée.

Puis Benjamin s’est mis aux fourneaux pour préparer un repas comme il sait bien faire. Il avait apporté tout ce qu’il fallait, un saumon frais qu’il a grillé au four avec une sauce citronnée et aneth, des légumes de saison sautés à l’huile d’olive, des petites pommes de terre rôties croustillantes, et une bouteille de vin blanc bien frais.

« Va profiter de la salle de bain, ma belle je vais en avoir pour un moment » me lança Guillaume.

J’ai fermé la salle de bain pour me préparer, pour me faire belle, et aussi pour…. Comment dire de façon glamour ?  Bien je me suis préparée avec précision et application pour me faire sauter ! Oui, vous avez compris, ce n’est pas la partie la plus ragoutante pour nous, les sissy, mais faut y passer, si on veut passer à la casserole !

J’avais tellement envie de me sentir prête si je devais offrir ma chatte à son sexe ! Bref, j’espérais qu’on baise et que je sois « dépucellée » en tant que femme et oui, le plastique c’est fantastique ! Mais c’est le sexe chaud de mon mec que je voulais en moi !

Douche, douche très intime, maquillage et hop tenue sexy, j’étais prête ! Je me regardais dans le miroir, j’entendais presque « Guillaume s’astiquer le manche en me regardant dans le reflet !

Je portais ma petite nuisette noire qui glisse sur ma peau douce, comme une caresse et qui s’arrête juste sous les fesses pour attirer les regards. Dessous, les bas couture avec leur ligne rouge qui remontait le long de mes jambes, maintenus par un porte-jarretelles en dentelle assorti.

Mon string, c’était juste un petit triangle devant et une ficelle qui disparaissait entre mes fesses, il ne cachait presque rien et mettait en valeur ma cage.

J’avais ajouté un soutien-gorge push-up en dentelle noire qui remontait mes formes rembourrées pour un pseudo décolleté, genre pin-up coquine mais élégante.

Pour le maquillage, j’avais choisi un smoky eyes léger avec des ombres grises, un trait d’eye-liner parfait qui allongeait mon regard et un blush rosé sur les pommettes pour garder cet air de poupée. Sur les lèvres, un rouge profond et sensuel, assorti avec le rouge de mes bas.

J’avais même vaporisé un peu de parfum sucré vanillé. Je dois avouer que j’avais étudié des tuto YouTube et que j’avais fait plusieurs essais et répétitions avant ce soir ! Je voulais un maquillage bien fait et rapidement

Il cuisinait quand je réapparu devant lui et lorsqu’il me regarda, j’ai eu l’impression d’être la princesse qui descend de l’escalier au début du bal ! Ok j’étais en nuisette et pas en robe de soirée, mais c’est pareil, non mais ! Il m’a noyé de compliments.

Assise au bar de la cuisine, je le regardais faire, avec un verre à la main. L’odeur qui emplissait la pièce était divine. Mais l’ambiance était bien trop chargée d’électricité sexuelle pour que je reste sage très longtemps. À un moment, alors qu’il remuait la sauce avec concentration, je me suis approchée par derrière, l’ai enlacé tendrement, et mes mains ont glissé vers son pantalon, caressant déjà la bosse qui s’y formait.

Il a ri doucement, mais n’a pas résisté quand je l’ai tourné vers moi pour l’embrasser fougueusement. Puis, sans un mot, il m’a attrapée par les hanches, m’a collée ventre contre le plan de travail en pierre froide, mes pieds bien ancrés au sol, et s’est agenouillé derrière moi. Il a relevé ma jupe sans attendre, écarté mon string et… oh lala les copines, il a commencé à me manger ma chatte de sissy comme un affamé !

Sa langue chaude et experte sur mon petit trou vierge (mais peut-être plus pour longtemps) me léchait avec une folle gourmandise, alternant entre des léchouilles tendres et des coups plus appuyés qui me faisaient cambrer. J’ai agrippé le comptoir de toutes mes forces, gémissant sans aucune retenue, mes jambes tremblantes comme un vibro0

C’était si bon, si intime, ma petite et délicate raie des fesses était si inondée qu’on aurait pu faire du canoé au milieu. Il introduisait parfois un bout de son doigt pour me taquiner plus profondément, tournant doucement, tandis que sa langue continuait son ballet.  J’attendis le bruit du joujou vibrant, je savais ce qui m’attendais. J’ai joui une seconde fois comme ça, sa langue flattant ma chatte, le vibro secouant mon clitty encagée.

Un orgasme encore plus intense que le premier, les vibrations de la forêt encore fraîches dans mon esprit, et sa bouche qui me portait au septième ciel. Un coup de lingette par terre, un changement de string oblige et je revenais vers lui, l’esprit droguée au plaisir et au bonheur !

Le repas a suivi, ultra glamour, j’avais mis des bougies sur la table en bois, de musique douce en fond sonore.

On a mangé en se frôlant les jambes sous la table, en se volant des baisers entre deux bouchées, en riant de nos blagues idiotes et en se disant à quel point on était chanceux d’être là, ensemble. Mais l’excitation montait inexorablement, et à mi-repas, j’ai voulu réaliser un fantasme.

Je me suis glissée discrètement sous la table, à genoux entre ses jambes, et j’ai repris exactement là où j’avais laissé en forêt. Je l’ai sucé lentement, sensuellement, savourant chaque centimètre, chaque veine, pendant qu’il essayait vainement de continuer à manger comme si de rien n’était.

Passer à genoux sous la table pour faire une pipe était un fantasme, donc je peux dire « check » !

Ses gémissements étouffés et le bruit des couverts qu’on lâche dans l’assiette m’ont incité à accélérer, à le prendre plus profond, à jouer avec ma langue pour le rendre fou. Il a fini par m’attraper doucement les cheveux pour guider mes mouvements. « Mélanie… tu me rends complètement fou, continue comme ça », a-t-il murmuré avant de se retenir héroïquement pour ne pas jouir trop vite.

Mais non, ne sois pas un héros, patate, j’espère bien que tu vas échouer à te retenir, je me disais dans ma tête mais à lui « j’ai juste dire, chéri, apprécie et laisse-moi faire, je ne compte pas sortir de là sans t’avoir fait jouir »

Je l’ai repris en bouche avec encore plus d’envie, alternant entre des succions profondes où je l’avalais presque jusqu’au fond de ma gorge (oui, j’avais un peu pratiqué sur mes jouets pour être à la hauteur !) et des léchages plus doux sur son gland ultra-sensible. Je sentais son sexe gonfler encore plus, devenir plus dur, plus chaud contre ma langue, les veines qui pulsaient sous mes lèvres comme un cœur qui bat la chamade.

Ses gémissements étaient de plus en plus appuyés, ses hanches poussaient instinctivement vers moi, et sa main dans mes cheveux serrait un peu plus fort ! Benjamin perdait le contrôle et ça me rendait folle d’excitation.

Soudain, j’ai senti le premier spasme ; son corps s’est tendu comme un arc, ses cuisses ont tremblé sous mes mains, et il a gémi mon prénom d’une voix tremblante et essoufflée : « Mélanie… oh putain… je vais… ».

J’ai accéléré, ma bouche bien serrée autour de lui, ma langue qui tourbillonnait sans relâche. Et puis ça a explosé ; son membre s’est contracté violemment, comme une pompe qui libère tout d’un coup, expulsant des jets chauds et puissants qui ont rempli ma bouche, salés et légèrement amers avec un goût musqué qui m’a fait frissonner de la tête aux pieds.

Chaque pulsation était palpable, son sexe qui tressaillait dans ma bouche, envoyant vague après vague de sperme épais et crémeux sur ma langue, glissant au fond de ma gorge avec une chaleur visqueuse qui me donnait l’impression d’avaler son orgasme.

J’ai tout avalé avec envie, sans en perdre une goutte, en continuant à le sucer doucement pour prolonger son plaisir jusqu’à la dernière seconde, sentant les dernières gouttes couler lentement. C’était intime, puissant, sentir mon amoureux jouir grâce à moi, entendre ses soupirs de soulagement. Ma cage était trempée, frustrée à mort, mais j’étais si fière de moi, j’avais réussi à le faire craquer complètement, et ce goût de lui sur ma langue… c’était le meilleur dessert du monde !

On a repris et terminé le repas avant de migrer vers le canapé devant la cheminée où crépitait un petit feu qu’on avait allumé. Là, c’était un véritable festival de caresses, ses mains viriles passant sous mes push up, pinçant doucement les tétons, les miennes qui exploraient son torse que j’avais rendu nu. On s’embrassait furieusement, nos corps se pressant l’un contre l’autre.

Il m’a touchée partout, effleurant ma cage encore vibrante d’excitation, me faisant gémir dans sur ses lèvres, et j’ai fait de même, le caressant, constatant qu’après la pause pipe du repas, il avait repris du poil de la bête. « Allons dans la chambre, j’ai trop envie de toi maintenant », a-t-il enfin murmuré avec sa voix de lover.

Dans la chambre, éclairée seulement par la lune qui filtrait à travers la fenêtre et les lueurs du feu au loin, on a fini de se déshabiller mutuellement, lentement, savourant chaque instant.

Il m’a allongée sur le lit, m’a embrassée partout, le cou, les seins, le ventre, l’intérieur des cuisses, me faisant frémir et supplier presque. J’étais trempée d’anticipation, ma cage me frustrant délicieusement à chaque mouvement. Puis, avec une tendresse infinie, il a sorti un préservatif qu’il avait caché dans la table de nuit et m’a regardé, cherchant mon approbation. Je lui arrachai furieusement des mains et ouvrit l’emballage en guise de réponse.

Je l’ai aidé à l’enfiler en le regardant dans les yeux, je me suis allongée et il m’a soulevé le bassin pour placer un coussin sous moi.

« Tu es prête, ma princesse ? Je vais être doux, très doux, promis », a-t-il dit, les yeux emplis de tendresse. J’ai hoché la tête, le cœur battant à cent à l’heure, « Oui, Benjamin… je te veux en moi, complètement. »

J’ai senti son gland dur sur ma petite porte, puis avec du gel en plus, ce bout est entré en moi.

Il m’a pénétrée doucement, centimètre par centimètre, me laissant le temps de m’habituer à cette sensation nouvelle, intense, un peu douloureuse au début mais vite remplacée par un plaisir immense, profond, qui irradiait tout mon corps.

Au début, il y avait une sorte de pression inhabituelle, une brûlure légère qui me faisait retenir mon souffle, mais Benjamin était si patient, si tendre, qu’il s’arrêtait à chaque petit gémissement pour me caresser, m’embrasser et murmurer « respire, ma princesse, je suis là ».

Petit à petit, mon corps s’est détendu, s’est ouvert, et la douleur a laissé place à une plénitude incroyable, profonde, qui me comblait comme jamais. Chaque mouvement touchait des endroits magiques en moi, envoyant des vagues de plaisir dans tout mon corps, chaleur intense dans le ventre, frissons le long de la colonne, et surtout ces frottements exquis contre ma prostate qui faisaient pulser mon clitty encagé contre le métal froid.

Il accélérait progressivement, ses coups de reins devenant plus puissants, plus possessifs, claquant contre mes fesses avec un bruit humide qui me rendait folle. « Putain, Mélanie, tu es si serrée, si bonne… », me disait-il entre deux baisers sauvages, ses mains agrippant mes hanches pour me prendre plus profondément, plus vite. Pour nous faire exploser ensemble, il a attrapé le vibro sur la table de nuit sans ralentir, l’a allumé à fond et l’a plaqué contre ma cage. Les vibrations ont traversé le métal comme un éclair, se mêlant à ses va-et-vient qui me remplissaient délicieusement.

J’étais au bord du nirvana, mon corps entier vibrant avec lui. Ma première vraie fois, dépucelée par mon mec et pas un plan cul trouvé vite fait sur le web !

Benjamin bougeait avec une douceur infinie, ses mains caressant mon visage, mon corps, ses lèvres se collant aux miennes dans des baisers passionnés. Je gémissais sans retenue, mes hanches se soulevant instinctivement pour l’accueillir plus profondément, mes ongles griffant légèrement son dos. C’était, doux, passionné, avec des mots doux murmurés entre deux soupirs.

Les vibrations du jouet contre ma cage et ses mouvements en moi m’ont propulsée vers l’orgasme le plus violent de ma vie ; j’ai joui une troisième fois, un orgasme ruisselant qui m’a fait crier son nom, mon corps se contractant violemment autour de lui. Au même instant, j’ai senti Benjamin me suivre, il s’est enfoncé une dernière fois profondément et a rugi de plaisir, son corps se tendant contre le mien. À travers la capote, j’ai perçu chaque sensation, son membre qui gonflait encore plus, qui tressaillait violemment en moi, pulsation après pulsation puissante, cette chaleur qui explosait même à travers le latex, ces soubresauts qui prolongeaient mon plaisir en me serrant plus fort. C’était terriblement intime ; savoir qu’il jouissait grâce à moi, en moi, ses gémissements de males dans mon oreille, cette sensation de le drainer avec mes propres spasmes.

Épuisés, comblés, heureux comme jamais, on s’est blottis en cuillère, son corps chaud et protecteur enveloppant le mien, sa main posée tendrement sur mon ventre. « Je t’aime, Mélanie », a-t-il murmuré à mon oreille, sa voix pleine d’émotion, en me serrant encore plus fort.

Mon cœur a explosé de joie, j’ai cru un instant que c’était une illusion post-orgasme, mais c’était réel. « Je t’aime aussi, Benjamin, de tout mon cœur », ai-je répondu, la voix tremblante. Et dans ma tête, pour la première fois totalement silencieuse, j’ai entendu la petite voix de Guillaume, douce et résignée : « Au revoir, Mélanie. Je te laisse toute la place, tu la mérites. » Et je me suis sentie complète, entière, heureuse comme jamais.

La suite ? et bien, elle n’appartient qu’à nous, alors au revoir les copines !

Mélanie, la fan de licornes et l’amoureuse de Benjamin !

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