L’air était moite, comme moi, et dans l’habitacle de la voiture, se mélangeait l’odeur de mon parfum bon marché et celle du sapin vert qui dansait sous le rétroviseur. J’étais crispée sur le siège passager, ma robe très courte rose collant à ma peau trempée de sueur, dévoilant mes cuisses et mes bas, volontairement abîmés. Mes cheveux blancs tombaient sur mes épaules, encadrant mon visage que le fond de teint avait rendu pâle.
Dans la faible lumière du plafonnier, je vérifiais encore une fois mon maquillage face au miroir du pare-soleil. Mon rouge à lèvres noir, mes yeux au contour assorti à ma bouche et ces touches de rose poudré sur mes joues accentuaient mon allure de poupée provocante.
À chaque mouvement de cuisses, ma cage de chasteté, serrée autour de mon clitoris pathétique, me rappelait constamment ma condition de soumise. La clé de cette cage pendait autour du cou de mon maître, comme pour me rappeler que j’étais sa prisonnière, sa poupée.
Devant moi, se présentait l’entrée de l’aire de repos. Pas de station-service, peu de lumière, à part celle de quelques cabines de camions garés avec un petit nombre de voitures.
Mon cœur palpitait si fort dans ma poitrine que le son devait couvrir celui de la musique de l’autoradio. J’étais un cocktail d’émotions, un mélange de terreur excitante et d’un désir pervers qui me faisait autant humecter ma cage que transpirer d’appréhension.
Mon Maître, mon complice, mon guide dans cette descente aux enfers du vice, arborait un sourire confiant. Ses lèvres pincées lorsqu’il me regardait révélaient une envie et une confiance qui me rassuraient autant qu’elles m’excitaient.
Il gara la voiture face au bâtiment des sanitaires. Le moteur arrêté, il me scrutait. Dans ses yeux, une lueur perverse, mais aussi une certaine affection et compassion, me rappelait que j’étais à lui et qu’un lien nous reliait l’un à l’autre.
« Prête à être ma parfaite petite pute, Louna ? » m’a-t-il lancé. Sa voix aux accents espiègles me donna des papillons dans le ventre et noua mes entrailles encore plus que ce qu’il aimait nouer mes poignets aux taux de son lit.
Il est sorti de la voiture et est venu, comme un gentleman, m’ouvrir la porte. Mais il m’a sèchement attrapée par le poignet pour me tirer sans ménagement de la voiture.
Ce geste me fit frissonner, me rappelant ma place de poupée docile et ce fantasme commun que nous nous apprêtions à réaliser ensemble, la soumise et son maître.
Depuis des semaines, il avait préparé cette soirée, orchestrant chaque détail avec un désir sadique mélangé à cette complicité perverse qui renforçait ma confiance en lui. Des annonces avaient été postées sur des forums glauques, des messages échangés sur des sites peu recommandables, et sûrement, des rendez-vous avaient été fixés avec des inconnus prêts à se pairtager le corps et la dignité d’une jeune petite sissy docile offerte.
Il m’avait décrit plusieurs fois ce que serait mon sacrifice afin de me conditionner et me préparer, alors que je le flattais avec ma bouche ou qu’il me faisait baiser par ma fuck machine. Je connaissais chaque étape, ce qui serait autorisé, ce que je subirais, et je l’avais accepté, portée par cette envie de soumission pour lui et ce besoin de me sentir avilie.
J’étais sa poupée formatée pour lui plaire, mais ce soir, je serais un jouet destiné à être brisé pour le plaisir d’acteurs et de spectateurs dont le casting prouverait que ma dignité devait être mise à mal, des hommes qui ne verraient en moi qu’un objet à souiller et une occasion de vider leurs couilles trop pleines, se défoulant en me faisant ce que leurs femmes leur refusent.
Pourtant, dans cette dépravation annoncée, la confiance entre mon Maître et moi était absolue, me donnant la force d’embrasser ce rôle, car même si d’autres allaient me baiser, je ressentirais comme si, mon dominant le faisait.
L’éclairage du parking dévoilaient ma silhouette à des hommes qui semblaient guetter mon arrivée : la robe rose très courte, mes bas déchirés et mes talons hauts roses à lacets qui me donnaient l’allure d’une prostituée.
Je me sentais nue, faible et vulnérable, comme une proie sous les regards de ceux qui rôdaient autour du bloc et de ceux qui restaient cachés dans l’obscurité dans leur voiture.
Sa main au-dessus de mes fesses, ferme et possessive, me poussait vers le bloc de toilettes. Le bruit de mes pas en talons semblait être comme ces coups de bâton qui annoncent le lever du rideau.
Passant devant les lavabos extérieurs, je nous voyais, lui sûr et confiant et moi comme un animal qu’on mène à l’abattoir. Mais plus je me rapprochais de l’entrée, plus mon cœur tapait fort et mon ventre bouillonnait de trac et d’envie.
À l’intérieur, l’odeur d’urine et de désinfectant à pas cher au parfum d’agrumes me sauta au nez comme pour bien me rappeler dans quels lieux sordides mon maître allait mettre mon corps et ma dignité à la disposition de salauds en rut et sans scrupule.
Il m’a poussée contre le mur des pissotières odorantes. Les carreaux reflétaient ma silhouette dans la lumière aveuglante des néons.
Tout était en train de commencer. Il a sorti une laisse en cuir noir et une paire de menottes en métal de son sac. Il a menotté mes mains et attaché la laisse à l’arrivée d’eau d’un urinoir.
Avec juste assez de longueur pour me mettre debout et à quatre pattes, mais pas assez pour m’échapper.
Ma robe était relevée, exposant mon cul. Ma lingerie rose et noire tirée sur le côté pour dévoiler mon trou offert, lubrifié à l’avance par ses soins avant de venir. Il a enfoncé une chaussette sale, imprégnée de son odeur, dans ma bouche, avant de me coller un large morceau de scotch gris pour étouffer mes cris et me forcer à garder la chaussette.
Puis, il a sorti un marqueur noir et a écrit sur mon cul : « Trou à bourrer » et sur mon front : « Pute pour tous jus ». Il a craché sur mon visage, sa salive coulant sur mon maquillage pâle, comme pour marquer son territoire.
« Ce soir, t’es rien d’autre qu’un trou à bite et une chiotte publique, ma Louna », a-t-il dit d’un ton sévère, accompagné d’un sourire sadique.
Son regard possessif et sa façon d’agir, prouvant qu’il avait tout orchestré, me rappelait que j’étais en sécurité et sous son contrôle.
« Tout le monde va te passer dessus, et tu vas adorer ça, parce que tu sais que je vais bander de te voir être la pute de mâles peu ragoûtants et irrespectueux qui vont simplement se servir de toi. »
Il a sorti de son sac une sorte de klaxon et appuya dessus, c’était le signal pour rameuter ceux qui allaient bousiller mon corps et souiller mon amour-propre.
C’est là que le premier est arrivé, un colosse barbu, un routier aux mains calleuses, vêtu d’un blouson de cuir usé. Il a lancé un « bonjour » et un « OK, donc c’était pas du flan » à mon maître, qui lui a répondu : « Non, la pute est là, attachée, sers-toi-en bien, ne te gêne pas. »
Les yeux du routier s’allumèrent d’une lueur perverse, comme un prédateur flairant une proie facile. Il a souri, balayant mon corps des yeux, s’attardant sur mon cul exposé et ma cage de chasteté qui pendait pathétiquement sous la robe. « Putain, c’est une bombe ta chienne, j’espère que tu m’en voudras pas si je lui déchire le cul à cette pute », a-t-il dit en riant.
Je le trouvais moche, sale, vraiment pas attirant, mais j’étais là pour plaire à mon maître et non pas pour que ceux qui allaient m’utiliser me plaisent.
Il s’est agenouillé derrière moi, déchira à deux mains ma culotte rose et noire et d’un geste sec jeta le lambeau plus loin.
Je sentais l’air sur mon trou lubrifié. Il était sa cible et j’étais à sa merci. J’étais excitée de savoir qu’un inconnu allait me baiser ici, et si apeurée de me dire qu’il allait avoir aucune retenue et qu’il voulait juste me saccager pour vider ses couilles.
Il a craché une grosse quantité de salive épaisse directement sur mon cul, l’étalant avec ses gros doigts avant d’enfoncer trois d’entre eux sans ménagement, me faisant hurler dans la chaussette de mon maître.
La douleur était vive comme une brûlure, mais mon corps de salope soumise répondait. Mon cul remuait autour de ses doigts comme une invitation à me baiser.
« T’es déjà ouverte, sale pute », a-t-il dit en riant, avant que j’entende le bruit de sa braguette.
Je savais qu’il sortait sa queue, je savais qu’il allait me baiser. Appuyée contre le mur, cambrée, je ne pouvais pas voir sa queue, mais je l’ai sentie lorsqu’il commença à la frotter contre mon entrée, la lubrifiant avec son propre crachat et sa mouille de queue.
Puis, il m’a pénétrée d’un coup sauvage, son membre me déchirant en se plantant à son maximum.
Chaque coup de reins était un assaut, ses grognements bestiaux se mêlaient avec les claques sur mes fesses qui devenaient sûrement écarlates.
« Prends ça, sac à foutre », a-t-il hurlé au bout de quelques minutes, avant de jouir violemment en moi, son sperme chaud et épais inondant mon cul. Je gémissais muettement et je coulais dans ma cage comme ces filets de son jus que je sentais le long de mes cuisses alors qu’il retirait le pieu qui m’avait défoncée. Je me sentais béante et dégoulinante.
Je me suis retournée. Mon maître hocha la tête avec un sourire victorieux et je pus voir que la pièce s’était remplie.
Une foule d’hommes s’était formée, leurs rires moqueurs et leurs regards lubriques me transperçaient. Ils attendaient leur tour, certains se branlant déjà, leurs sexes à la main, d’autres murmurant des insultes : « Regardez cette fiotte », « Une vraie chiotte à camionneurs ».
Mon maître s’approcha de moi avec le marqueur et dessina un trait sur mon cul. « Ça c’est pour le premier, Louna. On verra combien de traits vont zébrer ton cul avant de rentrer. » me lança-t-il.
Un type plus vieux, au visage marqué par le temps et à la bedaine nourrie à la bière, a sorti son téléphone pour filmer, zoomant sur mon cul ravagé.
« Souris à la caméra, salope », a-t-il ricané, pendant qu’un autre s’approchait. Il a arraché le ruban adhésif de ma bouche et me retira la chaussette. Il essuya le sperme qui coulait sur mes cuisses avec sa main avant de me dire : « À genoux, chiennasse, lèche ce jus qui sort de ta chatte de pute. »
Je léchais un peu de sperme et de lubrifiant, un goût de honte lorsque tous applaudirent. Mais mon excitation grimpa d’un cran lorsque mon maître dit : « Bonne fille Louna, continue, tu m’excites. » Alors je léchais de plus belle en gémissant, en me tortillant du cul. Je regardais ceux qui se branlaient en me pinçant les lèvres pour les voir accélérer leurs mouvements.
« Ouvre grand, sac à sperme », a lancé celui qui tenait la chaussette, alors j’ai obéi.
Il a enfoncé sa bite épaisse dans ma gorge, m’étouffant avec son goût salé et viril. Ses mains empoignaient mes cheveux synthétiques pour guider mes mouvements. Je sentais des filets de bave couler sur mon menton, alors que le maquillage de mes yeux s’humidifiait lorsque j’avais le nez dans les poils pubiens et un gland épais et brutal dans la gorge.
Pendant que je me faisais limer le rouge à lèvres, un autre homme, maigre et grand, s’est glissé derrière moi, pénétrant ma chatte encore glissante du sperme du précédent. « T’es vraiment qu’un trou, juste un trou à pisse », a-t-il grogné, ses coups de reins brutaux faisant claquer sa peau contre la mienne. Et lorsqu’il tapait fort, je m’empalais la gorge sur la bite qui baisait ma bouche.
J’étais à quatre pattes, empalée devant tous ces hommes, mes mains menottées. Je sentais mon maquillage se désintégrer, ma dignité piétinée, mais j’étais tellement excitée, prête à jouir dans ma cage.
« Je vais vider mes couilles sur ta langue pour que tu sentes bien le goût de mon jus quand tu vas avaler, petite chienne », a dit celui qui me faisait pomper son jus avec mes lèvres.
Je hochais la tête pour manifester mon accord bien qu’en réalité je n’avais pas mon mot à dire.
Mon maître me montra le marqueur alors je suçais plus fort, je gémissais. Je voulais traire cette paire de boules qui tapaient mon menton pour être gratifiée d’un autre trait sur mon cul.
Ces va-et-vient étaient profonds dans ma bouche et je sentais que sa queue dure gonflait, comme pour prendre du recul afin de gicler bien fort. Et ce qui arriva, je gémis comme une traînée en manque, je suçais et aspirais son jus et gardais tout en bouche.
Une fois qu’il retira sa queue, j’ouvris la bouche pour lui montrer sa mare de sperme et il dit : « Avale chienne », ce que je fis en gémissant, toujours baisée par le grand maigre.
L’homme derrière moi me saisit par les épaules et me mettait des coups lents et puissants. « Maître, je vais jouir », dis-je et tout le monde se mit à rire. Je pouvais entendre : « Elle a du sperme dans le ventre et une bite dans le cul, ça fait jouir que les lopettes ça. »
Mon maître s’approcha et me colla une gifle. « Louna, t’es la pute de tous, mais je dois être le seul à te faire jouir et encore, seulement quand j’en ai envie. » me rappela-t-il.
Je serrai les dents pour ne pas hurler, car le gringalet ne payait pas de mine, mais sa queue tapait comme il fallait. « Tends ta langue » dit un petit gros en train de se branler tout en s’approchant de moi. À peine le temps d’obéir qu’il éjacula sur mon visage et ma langue, de longues saccades épaisses et chaudes, qui enterraient définitivement la qualité de mon make-up.
Les mains de celui qui usait mon cul se cramponnèrent fermement, il me griffait, il perdait le contrôle, signe que ma chatte allait se prendre une seconde dose de foutre d’inconnu.
Il me ravageait comme une fuck machine en m’insultant tout en aspergeant le fond de mon corps de son jus. Sentir qu’un autre déchargeait dans le jus d’un précédent me rendait folle.
Il se retira et mon maître vint avec le marqueur, ajouter trois traits.
J’étais un peu comme un manège à Disney, dès que le wagon était vide, de nouvelles personnes venaient prendre place, mais ma bouche et mon cul étaient le wagon.
Mon maître avait ajouté quatre traits supplémentaires sur mon cul qu’un espèce de gros porc ponçait avec sa petite bite. Je le sentais à peine après toutes celles venues précédemment user mon orifice. Il bandait mou et alors que je finissais d’avaler le jus d’un routier, il se retira brusquement.
« Bon, j’y arrive pas, alors si je peux pas te tremper de jus, je vais faire autre chose » dit-il.
Il s’est relevé, me laissant à quatre pattes comme la chienne que j’étais, puis j’ai senti qu’il était en train d’uriner sur mon dos. Le jet chaud trempait ma robe rose, coulant jusqu’à mes talons, tandis que la foule éclatait de rire.
« Quoi ? C’est écrit ‘pute à tous jus’ sur son front, alors je lui pisse dessus à cette salope » dit celui qui prenait mon corps pour le fond d’un urinoir.
Je sentais son urine chaude couler entre mes fesses et descendre sur mes ovaires et ma cage. C’était dégradant mais mes gémissements trahissaient mon excitation.
« Alors pour ceux qui n’ont pas osé sauter ma petite pute de Louna, c’est le moment de lui faire un nouveau maquillage » dit mon maître à la demi-douzaine d’hommes qui restait.
Je savais ce que cela voulait dire alors je restais agenouillée, le dos bien droit, tirant la langue alors qu’un à un, ils se sont avancés, se branlant furieusement, certains posant leur queue sur ma tête ou mes joues.
J’étais une cible à sperme, à crachats et rien de plus, et ils me le firent bien comprendre lorsque leurs décharges crémeuses giclaient sur mon visage alors que mon maître comptait à haute voix : « Et une de plus, et encore une. » Je me frottais le cul à mes propres talons tellement j’étais excitée.
Je tendais la langue cherchant à attraper au vol quelques giclées, alors que beaucoup atterrissaient sur mon visage, ma perruque blanche, ma robe, formant une couche collante sur mon visage alors que mon parfum était désormais un mélange de sperme, de sueur et d’urine.
Alors que tous avaient fini de vider leurs couilles sur moi, un homme m’a forcé à ouvrir la bouche, y lâchant un jet continu d’urine. « Bois, salope », a-t-il ordonné, pendant qu’un autre urinait directement sur ma cage, le liquide dégoulinant sur mes cuisses.
Mon Maître, dans l’ombre, observait, un sourire de fierté perverse aux lèvres, mais ses yeux brillaient d’une tendresse possessive qui me rappelait que j’étais sienne, en sécurité dans cette dépravation qu’il avait organisée pour nous. Il s’est avancé et dit : « Ça suffit, elle a eu son compte, elle est pleine de sperme, de pisse, de sueur et de bave, c’est une lopette dépravée à la dignité brisée comme son cul. »
Il me fit mettre à quatre pattes et ajouta six traits sur mon cul avant de me saisir mon menton pour me forcer à croiser son regard, mon visage dégoulinant de fluides, mes yeux pleins de honte et d’excitation.
« T’es ma bonne petite poupée, Louna », a-t-il murmuré, comme un rappel de mon appartenance.
Il a craché à nouveau sur moi, sa salive atterrissant sur ma langue, mais ce geste était en réalité une marque de complicité, c’est lui qui serait le dernier à pénétrer en moi ce soir, comme pour faire tomber le rideau qu’il avait ouvert plus tôt.
Puis, il a ordonné d’une voix directive : « Montre-leur à quel point t’es pathétique. Frotte ta cage, salope, et jouis pour eux. »
Tremblante, humiliée au-delà de l’imaginable, je me suis exécutée, mes mains menottées saisissant la cage de chasteté, l’astiquant comme un mini pénis en métal. Les derniers spectateurs explosèrent de rire, leurs moqueries m’excitaient inexplicablement : « Regardez cette lopette, elle kiffe qu’on pisse sur sa dignité ! », « T’es même pas un mec, t’es rien qu’un objet sexuel et un défouloir ! »
Sous leurs insultes, ma libido prit le contrôle, m’abandonnant à la dépravation. Je frottais frénétiquement, mes gémissements pitoyables étouffés par les rires, ces goûts de sperme différent, mon anus palpitant, l’urine âcre qui séchait sur moi, j’étais dans une transe sexuelle.
Dans une alternance de honte et de plaisir, j’ai joui dans ma cage, un orgasme fort qui me fit hurler devant tous. Des petites giclées fuyaient au travers les trous de la cage, un filet de liquide s’échappait par-dessous sous les huées de la foule. « Quelle chienne pathétique ! » a hurlé un homme, tandis que mon maître filmait la scène, son rire résonnant dans mes oreilles. Mais il m’a lancé un regard complice, un clin d’œil discret, un signe que j’avais été à la hauteur de ses attentes. « T’es ma parfaite petite pute, Louna. Tout l’internet va voir quelle chienne j’ai fait de toi. »
Il remercia tout le monde et accrocha un billet de vingt euros avec un post-it : « Désolé pour le ménage à faire », destiné à l’employé qui devrait nettoyer le lieu.
Après ce qui m’a semblé une éternité, il m’a détachée. Mon corps était sale et endolori. Ma robe rose, autrefois provocante, était trempée de sperme, d’urine et de sueur, collant à ma peau comme pour perpétuer mon humiliation.
Mes jambes vacillaient, mes talons roses à lacets glissant sur le sol mouillé, mais mon cœur battait d’un bonheur honteux, pervers, un sentiment de plénitude dans ma soumission.
Mon Maître sortit de son sac un paquet de lingettes. « Déshabille-toi Louna, mets-toi nue et nettoie-toi un peu avec ces lingettes. J’ai pris de quoi te changer et tes habits sales, tu les mettras dans ce sac plastique. »
Je me suis nettoyée et changée, puis nous sommes sortis ensemble, main dans la main, sa poigne ferme mais rassurante.
Devant la voiture, il m’a poussé contre la portière, relevant ma robe pour inspecter mon cul béant, les mots « Trou à bourrer » et les quatorze traits à peine effacés.
« J’ai vu que tu avais aimé ça, Louna. La prochaine fois, je scotche au capot, et on invite tout un relais routier pour te déglinguer. En tout cas, une fois rentrée à la maison, tu donneras ta bouche pour que tu t’endormes avec le goût de la semence de ton maître dans la bouche. »
Assis dans la voiture, il m’a regardée, les yeux brillants de fierté et d’une affection sincère. « Contente, Louna ? » J’ai hoché la tête, incapable de parler, ma gorge encore pleine du goût salé des autres.
Dans mon esprit, malgré l’humiliation écrasante, une partie de moi frémissait d’envie à l’idée d’être attachée au capot. J’étais prête à être offerte, encore et encore, à la merci de tous, avec mon Maître comme guide, bourreau et protecteur.
J’étais sale, brisée, une poupée ravagée, mais jamais je ne m’étais sentie aussi vivante, aussi pleinement moi-même, que dans ce rôle de pute offerte et je souriais, m’endormant sur le fauteuil passager, ma tête sur son épaule.
Une histoire inspirée par Louna Femboy : son site , son twitter
Jolie histoire !!!!
Très beau récit. Mykie remplacerait volontiers Louna dans cette histoire !
Louna semble extraordinaire dan son rôle de salope soumise.
Je rêve d’être à la place de LOUNA pour satisfaire tous ces males
Félicitations pour ce nouveau récit magnifique.
J’espère que la chère Louna aura l’occasion de vivre cette histoire en vrai un jour !
Très bonne histoire, bien écrite et terriblement excitante
J’ai manqué l’audio description sur le Village, mais je n’y ai pas perdu au compte en découvrant les nouvelles aventures de Louna sur FabriKa Fantasmes !