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OthiKa – Premiere féminisation

Un samedi soir, dans un petit appartement en centre-ville, nous fêtions l’anniversaire de Julien, un ami de Thomas de longue date. Julien était un peu le chef de la bande, du style loquace et occupait tout l’espace de discussion facilement. Mais heureusement, il était drôle et intéressant et savait créer des ambiances festives ou lancer des débats originaux !

La table était un joyeux bordel, des bouteilles de vin à moitié vides, des verres à moitié plein et des assiettes remplies de pates bolo entre deux paquets de chips. Les rires fusaient, les verres s’entrechoquaient, et les discussions mêlaient souvenirs d’enfance et projections futuristes vernis d’une touche d’ébriété.

Puis quelqu’un a annoncé qu’un de leur ami d’enfance venait d’entamer sa transition de genre, c’est alors que la conversation a glissé vers les identités non genrées, puis, vers le travestissement.

Julien, porté par le vin et son enthousiasme débordant a lâché les mots sissy et femboys.

Il parlait de « trucs » découverts par hasard sur Insta et Twitter avec une légèreté et un manque de pudeur qui le rendent unique. Un silence intrigué a flotté une seconde, puis plein de questions sont sorties alors Julien a un peu plus dévoilé tout ce qu’il savait autour de la sissification. Finalement, nous avons vite compris qu’il n’avait pas découvert cela par hasard mais que les garçons féminisés l’attiraient !

Moi, Sofia, j’étais assise à côté de Thomas, mon homme depuis dix ans. J’écoutais Julien, mes yeux noirs pétillaient d’une envie d’en savoir plus. À 30 ans, avec mes cheveux bruns qui tombent sous les épaules et mon regard qui ne laisse personne indifférent, je sais que je dégage un charisme certain. Dans notre couple, c’est moi qui pousse toujours pour l’aventure, un road trip sur un coup de tête ou une idée coquine pour pimenter une soirée. Thomas, lui, avec ses 32 ans, son allure élancée de cadre dynamique et son calme discret, me complète parfaitement.

Mais ce soir-là, j’ai vu quelque chose dans ses yeux pendant que Julien parlait. Une lueur de honte, une pointe de vice, une pincée de frisson. Ses joues ont rosi, presque imperceptible, sauf si on le connait aussi bien que moi. Les mots « sissy », « sissification », « femboy » semblaient le toucher autrement, qu’une simple curiosité comme la plupart de ceux qui écoutaient. J’ai senti un secret, quelque chose qu’il gardait enfoui, et ça m’a intriguée.

La soirée a continué, pleine de rires et de musique un peu trop forte, mais les mots de Julien flottaient encore dans l’air, comme un billet d’avion pour une destination inconnue. Quand on a quitté l’appart de Julien, la nuit était douce, l’alcool brouillait un peu les sens de Thomas. J’ai pris le volant, un sourire malicieux aux lèvres, l’habitacle plongé dans l’ombre, seulement éclairé par les lumières de la route. Le silence s’est installé, juste troublé par le moteur et la radio légère en fond sonore. Puis, j’ai lâché, d’une voix enjouée et curieuse : « Alors, t’en penses quoi de tout ça ? Les mecs féminisés, tu imagines Julien en jupette ou même toi ? dis-je en riant.

J’ai vu Thomas tressaillir, comme si ma question était une punaise sur le fauteuil où il s’était assis. Il a détourné le regard vers la vitre, cherchant ses mots. « Euh… c’est… original, mais bon Julien en jupe, ça doit être quelque chose » a-t-il bredouillé, avec un rire nerveux. J’ai éclaté de rire, mes doigts tapotant le volant. « Moi, je trouve ça amusant bon peut-être pas Julien bien que comme il ne s’arrête jamais de parler il a déjà tout d’une femme. Mais un mec qui se maquille, qui porte des trucs de fille. Ça pourrait être super amusant, voire excitant dans un couple, non ? Imagine, toi en petite robe, en train de me servir un cocktail avec un tablier ! » J’ai lancé un clin d’œil, avec un rire espiègle. Je l’ai senti troublé, perdu entre gêne et autre chose, quelque chose de plus secret. Puis, dans un souffle, presque malgré lui, il a murmuré : « Si tu veux essayer une soirée comme ça, ça ne me dérange pas. Mais c’est vraiment si ça t’amuse. »

J’ai senti une vague d’excitation me traverser. « Sérieux ? Oh, t’es le meilleur ! Ok, samedi prochain, soirée ‘entre filles’ ! Je choisis dix trucs à acheter ou te prêter, toi, tu prépares la maison et le repas. Ça te convient ? » Il a hoché la tête, son cœur battant si fort que je pouvais presque l’entendre. Le reste du trajet s’est passé dans un silence chargé, chacun perdu dans ses pensées. Moi, j’imaginais déjà cette soirée, un sourire en coin, des idées plein la tête.

La semaine qui a suivi, j’étais comme une gamine. Je me suis plongée dans l’univers des sissy, passant mes soirées sur des forums, twitter, des boutiques en ligne, notant des idées avec une curiosité et une motivation qui se transformaient peu à peu en excitation. J’envoyais des messages atypiques à Thomas – « T’as déjà pensé à porter de la dentelle ? » ou « J’ai trouvé un truc qui va te rendre trop mignonne » et je riais en imaginant sa tête rougissante derrière son téléphone en plein réunion. Lui, il oscillait entre nervosité et anticipation, je le voyais dans ses regards fuyants quand il rentrait du boulot. Des colis arrivaient à la maison et je les laissais en vue sur la table du salon, et mes sourires énigmatiques le rendaient fou de curiosité. Je savais qu’il se posait mille questions, et ça m’amusait de maintenir le suspens.

Le samedi est arrivé, et la tension était délicieusement excitante tout en étant étrange, nous nous apprêtions à faire un saut dans l’inconnu et découvrir une autre facette de nous deux. À 17h, la maison sentait le wok de légumes sautés et bœuf épicé, la maison était parfaitement rangée, et des bougies parfumées diffusaient une douce lumière et une fragrance florale.

Thomas s’était isolé dans la salle de bain, suivant mes instructions comme un bon élève ou une bonne fille !

Allongé sur le tapis de douche, il appliquait une crème dépilatoire sur ses jambes, ses fesses, son torse. Je suis entrée, avec mes cartons dans les bras, un sourire malicieux sur les lèvres.

« T’es déjà prête à entrer dans le personnage, ma chérie ! » j’ai lancé en m’asseyant près de lui, effleurant son bras avec une tendresse taquine. J’ai déballé mes cartons avec une théâtralité exagérée : « Alors, on a une cage de chasteté rose, ne t’inquiète pas, c’est pour le fun, un plug en silicone avec un petit cœur rose, des chaussettes montantes rayées blanches et bleues, un ensemble soutien-gorge et string en dentelle bleue, une perruque bleu flashy aussi, une robe gothique noire avec des reflets bleutés, super sexy, du gel lubrifiant et je n’ai plus qu’à prendre mon maquillage ! Tu te sens prête à devenir une femboy pour moi ce soir, ma belle ? »

Thomas, rouge comme un cul après une fessée appuyée, a murmuré : « C’est, c’est beaucoup quand même, non ? » Sa voix tremblait, mais ses yeux pétillaient d’excitation. J’ai ri, caressant sa jambe encore enduite de crème. « T’es trop mignon quand t’es gêné. On fait cela pour s’amuser, tu resteras toujours mon Thomas chéri, même avec cette jolie petite culotte. Moi, j’adore l’idée ! Allez, on rince la crème, et on transforme mon homme en princesse kawai gothique ! »

Sous la douche, j’ai rincé la crème en retirant les poils avec la spatule dédiée avec des gestes doux mais assurés, dévoilant une peau lisse qui m’a fait sourire. Avec une tendresse autoritaire, je l’ai guidé pour me permettre de le rendre aussi lisse qu’une piste de curling.

Une fois douchée et séchée, j’ai tendu le string et il l’a sur ces cuisses devenues lisses, le soutif en dentelle a épousé son torse aussi glabre que possible et la robe gothique, légèrement évasée, frôlait ses cuisses nues.

Quand j’ai ajusté la perruque, j’ai remarqué l’étiquette de la robe de la marque « OthiKa » ; légèrement plissée et le « G » n’était pas visible

Alors, c’est ainsi que j’ai eu l’idée du prénom pour ma nouvelle chérie. : « Voilà, t’es OthiKa, mon petit cul, ça sera ton prénom de femboy ! »

Il a rougi jusqu’aux oreilles, un sourire timide aux lèvres. Puis, je me suis attaquée au maquillage, fond de teint léger, contour des yeux dans les tons bleu, rouge à lèvres très rose. En reculant, j’ai sifflé d’admiration. « Putain, t’es canon, ma chérie. Tu vas me rendre jalouse ma petite OthiKa ! »

Je l’ai prise par la main et guidée devant le miroir de la chambre, le faisant pivoter pour qu’il se voie. OthiKa, parce que c’est comme cela que je vais l’appeler ce soir, a eu le souffle coupé. La silhouette dans le reflet était à la fois étrangère et familière, gênante et naturelle, sexy et féminine.

La robe gothique épousait ses formes, les chaussettes rayées ajoutaient une touche fun, et la perruque donnait à son visage l’impression de sortir d’un animé japonais, Je me suis glissée derrière, mes bras autour de sa taille, mon menton sur son épaule. « Alors, OthiKa, t’en penses quoi ? » j’ai murmuré, mes lèvres frôlant son oreille. Il a dégluti, hypnotisé par son reflet. « Je… je ne sais pas. C’est… bizarre. Mais… j’aime bien, je ne me trouve pas trop ridicule, mais c’est vraiment bizarre. »

Sa voix vibrait de vulnérabilité et d’excitation. J’ai ri, amusée de la situation mes mains glissant sur ses hanches. « Bizarre ? T’es à tomber, ma belle. Attends de voir ce que j’ai prévu pour la soirée. »

D’ailleurs avant que tu sois ne sois trop excité, on a te mettre la cage de chasteté, lui lançais-je amusée ! Heureusement que j’avais regardé des tutos sinon nous serions encore en train d’essayer de savoir ce qu’on met en premier !

Je saisis ses testicules, elles étaient chaudes, et toute lisses, et une par une je les passais dans l’anneau, puis je pris son pénis et le glissa dans le tube. J’avais fait rapidement de peur que ma main sur son sexe, le fasse durcir ! Puis je fermai la serrure et mis la clé dans ma poche, avant de retourner dans le salon pour manger.

Nous avions diné des centaines de fois autour de cette table mais ce soir, c’était différent, il flottait dans l’air un parfum de nouveauté, d’excitation et de complicité amusante. OthiKa, assise face à moi, semblait sentir chaque frôlement de la robe contre sa peau. Les légumes sautés étaient parfaits, mais c’était mon regard qui le consumait. Je le dévorais des yeux, jouant avec cette nouvelle version de lui. Entre deux gorgées de vin blanc, je lançais des petite phrases taquines : « T’es trop élégante quand tu manges, OthiKa. Une vraie girl ! »

Puis, sans prévenir, ma main a glissé sous la table, effleurant l’intérieur de sa cuisse, frôlant dentelle du string et cage de chasteté. « T’es une bonne fille, ma chérie », j’ai susurré, un clin d’œil. Il a tressailli, son souffle coupé par l’excitation et la gêne. « La prochaine fois, on te met des talons, hein ? Imagine ces jambes en l’air, mon petit cul ! » j’ai ajouté, mon rire résonnant dans la pièce. Son sourire, timide mais réceptif me donnait envie de pousser le jeu encore plus loin.

Après le dîner, j’ai décidé de faire monter la température. J’ai mis une playlist sensuelle, une playlist de lounge lent et romantique emplissait le salon, et je me suis installée sur le canapé, un verre de vin à la main. « Viens, OthiKa, montre-moi comment tu bouges », lancais-je, en me pinçant les lèvres. Il s’est levé, hésitant, la robe se balançant légèrement. Sous mon regard amusé, il a tenté quelques pas de danse, maladroits mais c’était tellement adorable. J’étais séduite et fière de lui, ou plutôt d’elle. Je me suis levée, mes hanches ondulant au rythme de la musique, et j’ai posé mes mains sur ses épaules. « Laisse-toi aller, ma chérie », j’ai murmuré, au creux de son oreille. Je l’ai guidé, mes doigts glissant sur ses bras, ses hanches, l’encourageant à se déhancher avec moi. La tension grimpait, nos corps se frôlaient, je sentais sa cage contre moi par moment et nos regards restaient liés. Dans un éclat de rire, je l’ai fait tournoyer, sa robe se releva dans un mouvement gracieux et féminin « T’es à tomber, putain », j’ai soufflé, mes lèvres frôlant les siennes dans un presque-baiser qui faisait battre mon cœur plus fort, juste un demi baiser car je voulais qu’elle garde encore ses lèvres très roses.

Le jeu s’est intensifié. Je l’ai attirée sur le canapé, m’asseyant à califourchon sur ses cuisses, jouant ses cheveux bleus. « T’es tellement sexy comme ça », j’ai murmuré, mes lèvres effleurant son cou pour la faire frissonner. « T’aimes être ma petite OthiKa, ma chérie » Il a hoché la tête, muet, le cœur battant. Je riais bêtement lorsque mes mains glissant sous la robe, explorant la peau lisse de ses cuisses, m’amusant à aller deviner sa cage du bout des doigts.

« On va s’amuser, ma chérie. Mais d’abord, je veux te voir rougir encore un peu, je crois que j’aime bien te voir fondre d’excitation et de gène, mon petit cul » J’ai attrapé une petite boite que j’avais cachée sous le canapé. De ce coffre à secret, je sorti un collier en velours noir avec un pendentif en cœur ! « Good girl », j’ai dit en l’attachant autour de son cou, mes doigts frôlant sa nuque. Fermer son collier était un geste pourtant si simple, mais dans ce contexte, il représentait une nouvelle promesse pour notre intimité de couple. Il était à moi, vulnérable et gêné, et j’adorais ça.

Je lui ai dit d’attendre dans le salon, avant de me rejoindre dans la chambre. Juste le temps de me changer et de passer une nouvelle nuisette noire transparente, sans rien dessous « OthiKa, petit cul, viens rejoindre ta maitresse dans la chambre ».

Elle arriva et je la poussais sur le lit, puis je la rejoins avec une grâce féline et une attitude dominante. Je me suis penchée sur OthiKa, mes lèvres effleurant les siennes, avant de plonger dans un baiser vorace. « C’est trop fun d’embrasser une fille avec du rouge à lèvres ! » j’ai lancé, mordillant sa lèvre rose flashy. Ma main a glissé sous la jupe, frôlant la cage de chasteté avec une curiosité avide. « Good girl, OthiKa, tu es ma poupée ce soir ! » j’ai murmuré de ma voix qui balançait entre douceur et autorité. J’ai attrapé le plug en silicone, que j’avais posé sur la table de nuit avec un sourire diabolique aux lèvres. « On va essayer ça, ma chérie. Tu me fais confiance ? » Il a hoché la tête, excité malgré une appréhension visible.

D’un mouvement de mains, je l’incitais à se mettre sur le dos puis, je lui demandais de cambrer pour me tendre son petit cul.  J’ai soulevé sa robe, écarté son string puis avec une lenteur sensuelle, j’ai appliqué le gel lubrifiant, glissant le plug avec une douceur assurée, écoutant chacun de ses frémissements « T’es tellement mignonne quand tu te laisses aller, que tu t’abandonnes à moi », j’ai dit, tout en caressant ses fesses lisses.

Je le fis se retourner à nouveau et m’installa au-dessus de son visage, mes cuisses l’encadrant. « Fais-moi jouir, ma chérie, montre-moi ce que tu sais faire avec tes lèvres maquillées ! » Il a plongé, sa bouche affamée par l’excitation, dévorant mon sexe avec une gourmandise flagrante Je pensais à son pénis, qui lui était en cage pour moi, et que pour elle, seul le plaisir qu’elle me donnait devait compter.

Mes gémissements, d’abord légers, grimpaient en intensité petit à petit, mes doigts s’enfonçant dans sa perruque.  Je pouvais voir ses chaussettes rayées, sa robe, et sentir sa bouche et ses cheveux synthétiques entre mes cuisses. Je relevai sa robe et mis sur le côté son string, je voulais voir sa jolie petite cage rose, qui enfermait la virilité qu’il perdait pour cette soirée.

J’ai attrapé mon vibromasseur, le pressant contre la cage. Le bourdonnement a rempli la pièce, et ses tressaillements m’ont fait sourire. « T’es tellement sexy, ma bonne fille ! » j’ai lâché, observant chaque spasme. Je sentais son plaisir aux mouvements de sa langue, elle me dévorait le minou en gémissant, cela me rendait folle. J’avais vu que les sissy pouvaient jouir en cage et j’avais bien prévu de tenter cette expérience ce soir !

Pris dans le plaisir, j’alternais entre caresses tendres et mouvements plus appuyés. Je passais ma main sous la robe et sous le soutien-gorge, pinçant doucement ses tétons pour les faire durcir, sentant que son corps était désormais dépourvu de poils.

« Tu aimes ça, ma petite princesse ? » j’ai crié en remuant mon bassin sur son visage et sa langue délicieuse. Le vibromasseur dansait sur sa cage, ses gémissements se mêlaient aux miens. Dans un élan d’excitation « Oh, mon petit cul, t’es parfaite, une bonne fille pour sa maitresse ! » j’ai lancé, mes cuisses tremblantes alors que je me sentais prête à jouir, l’étouffant avec mon sexe dégoulinant sur ses lèvres. C’est lorsque que j’ai senti ma petite OthiKa se trémousser, tressaillir, frémir et aspirer mon sexe que j’ai compris que le vibro allait le faire jouir malgré la cage.

Puis il hurla son plaisir entre mes cuisses et lorsque j’ai vu le sperme jaillir, éclaboussant la robe et coulant sur la cage, je me suis mise à hurler, « Oh putain, oui ma petite salope ! » Le spectacle m’a propulsé dans un orgasme violent, mes cuisses serrant son visage maquillé. Je jouissais de voir sa semence sortir de cette cage, alors qu’il était totalement féminisé.

Essoufflés, on s’est écroulés sur le matelas, mon rire résonnant comme une douce mélodie. Je me suis blottie contre lui, caressant son visage barbouillé de maquillage et de ma mouille.

« C’était complètement dingue ! » j’ai murmuré, traçant des cercles doux sur sa joue. Thomas, encore tremblant, a avoué dans un souffle ,« C’était mon fantasme depuis toujours… » Je l’ai fixé, un sourire éclatant sur le visage. J’ai déverrouillé la cage, mes yeux verrouillés sur les siens. « T’es ma bonne fille, mon petit cul, ma chérie, et moi, je t’adore toi comme ça, ma petite OthiKa ».

Je l’ai embrassé doucement, un baiser plein de complicité, puis j’ai murmuré : « La prochaine fois, on essaie les talons, et peut-être un petit jeu de rôle en plus. Que pense-tu que je devienne Maitresse Sofia ? » Il a hoché la tête, un sourire timide aux lèvres. On s’est enlacés, nos corps chauds et désordonnés se fondant l’un dans l’autre, et on s’est endormis dans une étreinte moi en nuisette et lui dans cette robe gothique et souillée.

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2 Commentaires

  1. Aurélia

    Un plaisir à lire ce premier épisode ! Cette histoire me remémore tellement d’instants de vie… Une excitation à la fois douce et exhaltante!
    Merci à toi et vivement les prochains épisodes, j’ai hâte de découvrir jusqu’où iront Maîtresse Sophia et sa petite OthiKa joli cul…

    Réponse
  2. Éphémère

    Whaou vivement la suite

    Réponse

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