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Mr Lapin Blanc

C’était un matin. Réveillée depuis peu, tu consultes tes messages, et l’un d’entre eux t’interpelle. L’expéditeur t’est inconnu et se fait appeler « Monsieur Lapin Blanc ». L’objet du message : « Rejoins-moi dans le vrai trou du lapin ». Ce titre mystérieux t’incite à ouvrir le message. En pièce jointe, tu trouves une vidéo intitulée « Comme Alice, suis-moi ». La curiosité, bien trop forte, te pousse à lancer le clip.

Un fond sonore s’élève, comme sorti d’une boîte à musique, et un personnage apparaît : un homme portant un chapeau haut-de-forme, une veste semblant tout droit sortie d’un cirque d’antan. Lorsque son visage s’affiche en gros plan, ses yeux se transforment en spirales hypnotiques. Une étrange impression t’envahit, comme si tu ne pouvais détourner le regard. L’homme commence à te parler : « Bonjour Tamara, je suis Monsieur Lapin Blanc, celui qui a creusé le terrier dans lequel tu es tombée. Désormais, tu es piégée, tu es à moi. » Puis ton esprit s’embrume. Impossible de dire si tu as vu la vidéo entière ni combien de temps elle a duré, car tu te retrouves debout dans ta salle de bain, sans te souvenir comment tu y es arrivée.

Tu penses à un moment d’égarement. « Ce n’est rien, peut-être un peu de fatigue », te dis-tu. Puis tu vois ton reflet dans le miroir : un serre-tête avec des oreilles de Minnie rose, un t-shirt « Fuck Doll », une jupe de pom-pom girl et des talons roses. « Je ne me souviens pas avoir mis ça, que m’arrive-t-il ? » te demandes-tu, inquiète. Le miroir change soudain, ton reflet se trouble, évoquant un tunnel souterrain. Un son, de plus en plus présent, résonne : c’est la mélodie de la boîte à musique entendue dans la vidéo. Du fond de ce trou, une voix s’élève : « Tamara, suis-moi, viens à moi, rejoins-moi, aie confiance, je suis Monsieur Lapin Blanc. »

Soudain, une main surgit, t’attrape, et tu sembles chuter de l’autre côté du miroir. La chute, lente et douce, est accompagnée d’images de toi, exposée, humiliée, défilant comme des vidéos porno. Puis la chute s’arrête. Te voilà les pieds posés sur un sol en terre, dans une lumière faible. Des chuchotements, des respirations emplissent l’air, sans que tu puisses distinguer qui est là ni ce qui se dit. Puis la lumière s’allume, te plaçant sous les spots, Tamara.

« Messieurs, bienvenue dans le fond de mon terrier. Pour cette nuit de rituel, je vous présente la reine des sissy salopes, dont le corps devra être utilisé jusqu’à épuisement. » Tu reconnais l’homme qui prononce ces mots : c’est celui de la vidéo. Il s’approche, fait une révérence en retirant son haut-de-forme. « Chère Tamara, depuis le temps que tu en parles, il était temps que tu descendes vraiment dans mon terrier. Pour fêter ta venue, je vais t’offrir à mes amis, à qui j’ai promis de prêter une parfaite fucktoy. »

Tu veux parler, mais les mots qui sortent de ta bouche ne sont pas ceux que tu voulais prononcer : « Oh, c’est un plaisir, Monsieur Lapin Blanc, je suis à vous. Mon corps et ma dignité sont là pour vous amuser et satisfaire vos amis. » « Good girl, good bitch. Pour l’instant, je vais m’asseoir dans mon fauteuil. Offre-moi un beau spectacle », dit Monsieur Lapin Blanc en sortant de sa poche une boîte à musique, dont il commence à tourner la manivelle.

Alors que la mélodie cristalline résonne dans la pièce, ton corps semble articulé comme une marionnette, et tu t’agenouilles sans pouvoir résister. À genoux sur le sol en terre, tu sens ton corps vibrer sous l’emprise de la musique envoûtante de la boîte à musique. Ses notes résonnent, agissant comme une chaîne invisible qui te lie à Monsieur Lapin Blanc. Tes yeux, voilés par une transe hypnotique, fixent le vide, mais ton corps agit de lui-même, comme une poupée docile. Ton maquillage commence à trahir ton état ; la situation, bien qu’incontrôlée, t’excite et te fait transpirer.

Trois hommes s’avancent. Sans un mot, tu tends les mains vers eux, tes doigts tremblants mais guidés par un instinct étrange. Tu défais leurs braguettes, baisses leurs caleçons de manière mécanique, révélant leurs sexes dressés. Le premier est épais, ses veines apparentes, vibrant dans ta petite main ; le deuxième, long et plus fin, tressaute à ton contact ; le troisième, massif, arbore un gland rouge d’où perle une goutte de précum. Ta volonté est absente, comme ton regard, mais tes gestes sont assurés. Tu commences à branler les deux premiers tout en approchant tes lèvres du troisième.

Étrangement, tu as l’impression d’être spectatrice de ce qui se passe, avec peu de contrôle sur ton corps. Pourtant, tu sens la chaleur des sexes dans tes mains, l’odeur de celui au gland humide si proche de tes lèvres. Ta bouche s’ouvre, engloutissant ce membre qui se sert de toi pour son plaisir. Ta langue glisse sur la peau chaude, et un gémissement étouffé s’échappe, trahissant ton plaisir alors que tu suces avec la ferveur d’une pute docile. Tes mains agiles caressent les autres, alternant entre mouvements lents et va-et-vient rapides. Tu passes d’un sexe à l’autre, consciente que tu es là pour les vider, ta bouche humide laissant des traces de bave luisantes. Le goût salé, la chaleur de ces pieux de chair, tout se mélange. Tu te sens absente et présente à la fois, et tu constates que la situation fait mouiller ton clitty dans ta cage de chasteté rose. Ton maquillage se dégrade peu à peu : le rouge à lèvres s’étale sur le contour de ta bouche, et des larmes, dues à tes pénétrations profondes dans la gorge, font couler le mascara en traînées noires sur tes joues.

Monsieur Lapin Blanc, assis dans son fauteuil, observe avec un sourire aussi sournois que pervers. La boîte à musique résonne à nouveau, et sa voix s’élève, à la fois autoritaire et rassurante : « L’un de vous doit se vider sur sa langue, maintenant. » Les deux hommes que tu branles te saisissent par les épaules, leurs doigts s’enfonçant dans ta peau. Tu sens leur force t’immobiliser, ton corps frêle. Le troisième homme commence à te baiser la bouche sans retenue, prenant tes lèvres comme une chatte qu’il peut fourrer à sa guise, puis il se retire. Dans un gémissement viril, il libère un jet épais sur ta langue tendue. Sa semence chaude et salée remplit ta bouche, et toi, tu gémis de servir de puits à sperme. « Avale, Tamara », ordonne Monsieur Lapin Blanc, des étincelles de vice dans le regard. Tu obéis, et tous peuvent te voir déglutir, une goutte s’échappant au coin de tes lèvres, traînant une nouvelle marque sur ton menton, te donnant un air encore plus obscène.

Les deux autres hommes te soulèvent comme une poupée désarticulée et te portent jusqu’à un petit meuble bas, conçu pour te positionner à la hauteur idéale. Posée à quatre pattes, comme une chienne, les cuisses écartées, ta jupe de pom-pom girl relevée expose ta cage de chasteté, symbole d’une virilité obsolète et inutile. Ton cul est offert, vulnérable, comme tout ton être. L’un des hommes, celui au sexe long et fin, se place derrière toi et te pénètre d’un coup sec. Tu gémis, ton corps sursaute de plaisir dans cette situation lubrique. De l’autre côté, l’homme au sexe épais guide son membre vers ta bouche. Tu le suces avec avidité, tes lèvres glissant sur ce membre de chair, solide comme un roc, tandis que le reste de ton rouge à lèvres continue à se dégrader.

L’homme derrière toi accélère, ses coups de reins sauvages faisant trembler le meuble, dont les grincements ne couvrent pas tes gémissements. Tu sens une chaleur monter en toi, ton plaisir s’intensifie. Soudain, un spasme te traverse : le lait de tes ovaires de sissy coule à travers ta cage de chasteté, s’accumulant en une flaque de vice sur le meuble. Au même moment, l’homme dans ton cul grogne de plaisir et, hurlant « Prends ça, petite pute ! », il éjacule, un torrent de sperme chaud inondant ta chatte. Comme pris dans le mouvement général, celui que tu suces se retire et libère des jets épais sur ton visage. Le liquide collant s’étale sur tes joues, ton nez, ton front, finissant de ruiner ton maquillage. Tes yeux, noyés de mascara, contrastent avec les rivières de jus blanc qui dégoulinent, semblant rivaliser avec les traînées de rimmel.

La boîte à musique tinte à nouveau, et toi, réagissant comme un automate, tu roules sur le dos. Monsieur Lapin Blanc se lève et attache tes poignets avec des menottes en fourrure rose, un élément si mignon pour la poupée souillée que tu es. Un homme noir, massif et musclé, s’avance alors. Sa queue, énorme et intimidante, semble défier les lois de la nature. Il se place entre tes jambes écartées, pose tes pieds sur ses épaules et te pénètre sans ménagement. Tu cries, ton corps semble déchiré par cette intrusion, mais tu veux qu’il reste planté dans ta chatte et qu’il te baise. Chaque coup de reins est une décharge électrique, et la douleur initiale est vite remplacée par un plaisir quasi orgasmique qui te fait trembler de la tête aux pieds. Deux autres hommes, postés de part et d’autre, se branlent sur tes petits seins, leurs respirations lourdes emplissant l’air.

L’homme noir accélère, son corps luisant de sueur, tel un gladiateur. Submergée, tu sens ton esprit se détacher encore plus de ton corps. Tu n’es plus que de la chair à plaisir, une salope offerte, un parfait fucktoy qui jouit de sa condition. Ton maquillage ne ressemble plus à rien : le rouge à lèvres mêlé de salive et de sperme, le mascara zébrant ton visage. Enfin, l’homme noir rugit et éjacule, un flot si abondant qu’il déborde, coulant le long de tes cuisses. Les deux autres hommes, presque simultanément, libèrent leur semence sur tes petits seins, leur jus aspergeant ton corps de femelle fragile.

Les hommes se retirent, te laissant étourdie par le plaisir et les secousses, ton corps luisant de sueur et de fluides. La boîte à musique tinte encore une fois, et tu te redresses, portée par une force invisible, tandis que du sperme s’échappe de ta chatte et ruisselle sur ta poitrine. À quatre pattes, tu rampes vers Monsieur Lapin Blanc, qui tient désormais une laisse rose apparue comme par magie. Il l’attache à ton cou, un sourire satisfait sur les lèvres. Entre ses jambes, tu lèves les yeux vers lui. Ton visage, parfaitement maquillé il y a encore peu, n’est plus qu’un tableau d’obscénité, et tes yeux semblent perdus dans un abîme, comme Monsieur Lapin Blanc t’a fait te perdre dans son terrier.

« Bonne fille, bonne bitch », murmure Monsieur Lapin Blanc, caressant tes cheveux. Épuisée, usée, mais étrangement apaisée, tu sens que ton esprit, comme ton corps, ne t’appartiennent plus. Alors, Monsieur Lapin Blanc prend la boîte à musique et… il attend que de ta bouche sortent ces mots : « Jouez encore votre mélodie », pour qu’une suite s’écrive…

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1 Commentaire

  1. Auroresissy

    Comme toujours une histoire magnifiquement écrite et totalement envoûtante, merci Fabrika

    Réponse

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