Le premier chapitre est ici. 

Après nos deux expériences passées, on voulait juste un week-end tranquille. On a loué un airbnb dans une petite résidence à deux heures de chez nous, dans un village calme, avec une maison et un jardin, idéal pour déconnecter. Pas de cage, pas de plan candauliste, juste du repos à deux. Gabrielle portait une robe d’été légère, blanche à fleurs, qui mettait ses formes en valeur sans forcer, et moi, un short et un T-shirt fun. En fin d’après-midi, on s’est installés sur la terrasse, pour l’apéro : verres de rosé, olives et petits toasts, pour un moment tranquille à deux. Mais au bout d’une demi-heure, ça s’est agité à côté ! De la maison voisine jaillissaient une musique à fond, des rires et toutes sortes de bruits ; une bande de mecs semblait être arrivée.

Des voisins bien trop bruyants

À travers la haie, un peu déplumée, on les voyait s’installer sur la terrasse d’à côté : cinq gars entre 25 et 30 ans, avec une allure de sportifs, torses nus pour certains, bronzés, en train de boire des bières et de se chambrer. L’un d’eux semblait fêter son enterrement de vie de garçon.

Ils nous ont repérés, et un grand brun, genre athlète, a lancé : « Hé, les voisinous, venez trinquer avec nous, notre pote va bientôt se marier, il faut fêter ça ! » On a hésité, mais ils ont insisté de façon sympa. Gabrielle m’a regardé, un sourire en coin : « Allez, Grégory, ça peut être sympa, non ? » J’ai ri : « OK, on y va, mais on ne s’éternise pas, on s’était promis un week-end détente en amoureux ». On a pris nos verres et on a rejoint leur jardin.
Une fois passés de l’autre côté, ils se sont présentés : Hugo, le brun baraqué, futur marié, 1m88, lyre apollinienne et pectoraux saillants ; Max, un blond tatoué ; Léo, châtain énergique ; Théo, un roux au torse poilu et Sam, un métis fin mais sec, 1m83. Que des jeunes robustes, qui partageaient ensemble leur passion pour le sport et la salle. Très vite, ils ont tourné autour de Gabrielle, hypnotisés par son décolleté. Elle riait, flattée, et moi, je matais en sirotant ma bière. « T’es trop belle dans cette robe, tu es une vraie MILF, mais c’est un compliment ! » a lâché Hugo avec un clin d’œil. Max a ajouté : « Greg, t’inquiète on rigole, c’est vrai que ta femme, elle est sexy et pulpeuse ! » Elle rougissait, excitée par leurs regards, et je voyais son côté joueuse refaire surface.

Le jeu de la séduction

Le début de soirée a remplacé la fin d’après-midi et les mecs, déjà chauds, se sont tous mis torse nu, s’amusant à faire gonfler leurs muscles comme pour un concours de bodybuilding. « On te montre nos armes ! » a plaisanté Léo en gonflant ses biceps et ses abdos. Gabrielle se régalait de ce festival de testostérone. Ma chérie s’amusait, lançant des « Pas mal, les garçons ! » avec un ton taquin, avant de me glisser : « Ils sont tous canons, ces jeunes hommes. Ça te dit si je m’amuse un peu aussi, si je joue à les faire baver un peu ? » J’ai souri, un peu surpris : « Vas-y, chérie, montre-leur que tu es une superbe MILF. » Elle m’a fait un clin d’œil espiègle et s’est levée pour danser au milieu d’eux, baissant volontairement son décolleté.

Les cinq l’ont entourée, leurs corps frôlant le sien. Hugo l’a prise par la taille, Max a glissé une main dans son dos, et les autres se sont rapprochés, riant et la chauffant. C’est rapidement monté d’un cran. Léo a relevé sa robe en rigolant, dévoilant ses cuisses, et elle a ri sans reculer. « T’es une tuerie, Gabrielle ! » a lancé Théo, torse nu contre elle. Elle me jetait des regards joueurs, comme pour dire : « T’en penses quoi, je suis au milieu d’athlètes ? » J’étais scotché, l’excitation montant. Hugo a proposé de quitter le jardin pour entrer dans la maison. On a tous rejoint le salon et mon pouls était à fond et je bandais comme un âne de la voir ainsi convoitée.

Une partie à six

Dans le salon, ça a dérapé sans attendre. Gabrielle s’est retrouvée au centre, et ils l’ont guidée vers un vieux canapé, l’ambiance virant de festive à torride.
Ils ont pris les rênes comme une équipe bien rodée. Hugo a retiré son short, dévoilant son boxer et une bosse qui ne laissait aucun doute sur le désir qu’il avait pour ma femme. Max a suivi, en lançant « tu devrais faire comme nous Gabrielle ». Avec un sourire comme réponse, les garçons lui ont retiré sa robe fleurie. Puis, voyant qu’elle semblait partante, sa culotte et son soutien-gorge ont rapidement fini au sol. Ma chérie était nue au milieu de ces fêtards : ses seins lourds aux aréoles larges, son ticket de métro, tout leur était dévoilé. Je me suis calé dans un coin, sur un fauteuil, pendant que Hugo l’embrassait sauvagement, sa langue envahissant sa bouche, et que Max se collait derrière, mordillant son cou.

Elle a gémi, me lançant un regard taquin : « Un enterrement de garçon, ce n’est pas tous les jours, je vais les aider à en faire un moment inoubliable. »
Hugo l’a poussée sur le canapé, écartant ses cuisses avec ses mains puissantes. Sa barbe râpait sa peau quand il a plongé sa langue dans sa chatte, léchant son clitoris avec avidité. Max, à côté, malaxait ses seins, pinçant ses tétons jusqu’à ce qu’ils durcissent, pendant que Léo suçait l’autre, mordillant légèrement. Elle s’est cambrée, ses seins tressautant, et un premier orgasme l’a secouée, ses cris résonnant dans la pièce. « Oh oui, Hugo, vas-y ! » a-t-elle crié, me jetant un clin d’œil : « T’aimes, mon chéri, tous ces beaux gosses pour moi ? » Hugo a continué, aspirant son clitoris, ses doigts glissant en elle, tandis que Théo caressait ses cuisses. Ses gémissements m’électrisaient pendant que je matais, la main glissant dans mon short.

Elle s’est redressée, essoufflée, et a attiré Hugo et Max par leurs boxers avec un sourire vorace. Elle a libéré la queue de Hugo, épaisse et veinée, puis celle de Max, presque aussi imposante. « Regarde, chéri, les jeunes ils sont aussi durs que bien montés ! » a-t-elle ri. Elle a pris Hugo en bouche, ses lèvres s’étirant autour de son gland, suçant fort pendant que sa main branlait Max. Léo et Théo se sont approchés, et elle a alterné, passant de l’un à l’autre, sa langue dansant sur leurs veines, salivant, des filets coulant sur son menton. Hugo gémissait en poussant dans la bouche de ma chérie, ses mains dans ses cheveux, Max soupirait, et Sam se branlait à côté. Théo, en me voyant me toucher, a ricané : « Mate bien ta femme, car avec ta queue, je comprends pourquoi elle se laisse faire avec nous ! Les nôtres sont bien plus grosses que la tienne, et ta meuf kiffe ça ! » J’ai rougi, mais j’ai dû me retenir de ne pas en mettre partout. Elle les a sucés longtemps, les frottant à son visage, recevant des bifles jusqu’à ce qu’ils la soulèvent pour la poser sur le canapé.

Hugo l’a allongée sur le dos, en missionnaire, écartant ses jambes. Il l’a pénétrée d’un coup pendant que Max glissait sa queue dans sa bouche. Léo malaxait ses seins, pinçant ses tétons, et elle hurlait autour de Max, ses seins rebondissant sous les assauts de Hugo. « C’est bon, vous êtes trop bons les jeunes » criait-elle entre deux succions. Elle a joui vite, son vagin profondément rempli, pendant que Max gémissait. Hugo a ralenti pour demander si elle voulait du jus. « Oui, je veux du jus, plein de jus, j’adore ça » a-t-elle dit en remuant du bassin sur la queue plantée en elle. Alors Hugo a accéléré et il a joui, des jets chauds et épais jaillissant en elle, débordant sur le canapé. « Moi, je veux trop repeindre tes gros nichons », a dit Max tout en se branlant face à la poitrine de ma femme. Puis, avec plusieurs jets puissants et généreux, il a couvert de giclées crémeuses les seins de Gabrielle qui gémissait de plaisir et les serrait pour bien tout recevoir.

« C’est pas fini, ma jolie salope, va falloir faire plaisir à tout le monde, alors à quatre pattes la MILF » a dit Léo. Elle s’est exécutée avec hâte, preuve de son engouement. Léo derrière, Théo devant. Léo a claqué ses fesses, laissant des marques rouges, puis l’a pénétrée doucement, sa queue entrant lentement et sûrement dans cette chatte infidèle déjà foutue. Théo a pris sa bouche, ses mains tenant sa tête pour baiser sa bouche comme on baise une chatte. Elle hurlait de plaisir entre deux gorges profondes. Léo la baisait fort, ses seins ballottaient et Sam les malaxait, la queue dressée mais encore vierge des orifices de ma femme.
Sa bouche pleine, étouffant ses bruits de plaisir, je me branlais, pensant qu’elle avait joui encore une fois. Puis Léo a lâché aussi son orgasme, remplissant mon épouse qui ne pouvait contenir toute cette semence en elle. « Ça coule, il faudra nettoyer le canapé ! » a-t-elle gloussé avant de se faire empaler la bouche à nouveau par Théo. Il ne la ménageait pas. Je me disais que jamais personne n’avait baisé ses lèvres avec une telle intensité. Il a saisi fermement ses cheveux et a poussé sa queue tout au fond, ses couilles collaient au menton de ma chérie qui avait le nez dans les poils pubiens de Théo. Je me suis mis à jouir sans rien maîtriser quand j’ai compris qu’elle était en train de déglutir et que donc Théo éjaculait, planté dans sa gorge. Il a lâché ses cheveux et a essuyé les dernières gouttes de son nectar sur le visage au maquillage ruiné de Gabrielle. Elle, elle était essoufflée, le rimmel saccagé et de la bave sur tout le menton, ma femme avait un petit côté obscène qui maintenait mon excitation alors que je venais de jouir.

Ils l’ont relevée, posé sa poitrine contre la table, écartant ses cuisses sur lesquelles luisait un mélange de cyprine et de sperme. Sam savait que c’était son tour, alors il l’a pénétrée sauvagement, et elle jouissait, hurlant vers moi : « Regarde bien, ne rate rien, mon cocu ! » Sam pinçait ses tétons tout en besognant son sexe de femme mariée ! Les autres gars autour incitaient Gabrielle à jouir en criant en chœur : « Jouis, jouis, jouis ! » Ce qu’elle a fait au moment où Sam, l’attrapant par les cheveux pour la faire cambrer encore plus et terminer ses derniers allers-retours, lui a aspergé le fond du vagin de sa semence.

Le grand final

Après un moment de récupération et de grignotage, les garçons ont continué à profiter de Gabrielle. Sur le canapé, Théo l’a prise en cuillère, une jambe relevée, pendant que Léo s’agenouillait pour une fellation. Un autre pétrissait ses seins. Tous ont défilé entre les lèvres de la bouche et du sexe de ma chérie.

Enfin, Hugo l’a remise en missionnaire, Sam à ses côtés. Hugo la baisait brutalement et longuement, encouragé par des « Baise-la à fond cette MILF » ou des « Cette salope, elle doit être sacrément mal baisée pour accepter tout ça ce soir ». Elle hurlait sous un énième orgasme, et Hugo a joui une dernière fois, vidant ses couilles sans gêne en me regardant. Ça a duré une bonne partie de la nuit et je n’ai pas compté ses orgasmes. Pour ma part, j’ai joui une seconde fois lorsque Sam a baisé ses seins dans une branlette espagnole terrible et qu’il a éjaculé, toute cette crème s’étant écrasée sur le visage de Gabrielle.

Épuisés, ils se sont tous endormis en vrac sur le canapé, Gabrielle, nue, comblée avec du sperme séché un peu partout sur elle. Moi, je me suis affalé dans le fauteuil, encore sonné. Au petit matin, je fus réveillé par les gémissements de Gabrielle qui se faisait caresser. « Allez, la MILF, encore un tour ! » a lancé Max en riant. Mais elle a secoué la tête, vannée : « Les gars, je suis cuite, je suis toute engourdie de ce que vous m’avez fait hier soir ! » Hugo a insisté, joueur : « Juste un petit truc pour le futur marié, alors ? » Elle m’a regardé, un sourire espiègle : « OK, c’est juste pour toi alors ». Elle s’est agenouillée devant Hugo, l’a pris en bouche, et en quelques minutes, il a joui en se faisant pomper gouluement, un flot rapide qu’elle a avalé avec un clin d’œil. « Bon mariage, l’étalon ! » a-t-elle ri. Puis elle s’est relevée, a remis sa robe, m’a tendu la main : « Allez, Grégory, on rentre, j’ai besoin de repos et surtout d’un bain. »

On a fini le reste du week-end au calme et j’ai eu le droit qu’à une petite branlette car « Chéri, j’ai le sexe fatigué et la mâchoire ankylosée à cause de ces jeunes cochons. »