Le début de l’histoire est ici
Deux prétendants
Après notre première virée libertine, lors de laquelle Gabrielle s’était abandonnée à Vincent sous mes yeux, nous avions envie de retenter l’expérience du libertinage, bien qu’en réalité, je voulais seulement voir Gabrielle libertiner. Nous avions confié les enfants et prévus une nouvelle soirée en ville, avec une idée claire : Gabrielle s’offrirait à un inconnu, et moi, je jouerais les voyeurs, enfermé. Elle m’a enfermé dans une cage de chasteté en métal avant de partir. Tout en accrochant la clé en forme de cœur autour de son cou, et m’a lancé avec un clin d’œil : « Ce soir, Grégory, tu regardes, et promis, tu vas adorer ! » Elle portait une robe noire ultra-courte, décolletée jusqu’à l’indécence, ses seins libres dessous, et des escarpins rouges qui galbaient ses mollets et faisaient ressentir la contrainte de la cage. Moi, en jean sombre et chemise ajustée, j’étais classe mais pas trop, je ne voulais pas attirer des convoitises de mon côté. Un petit resto rapide en ville puis, nous prenions la route pour aller découvrir pour la première fois, l’ambiance d’un club libertin. Nous avions choisi le « Soupirs et Désirs », un club échangiste plus cher que les autres mais réputé pour la qualité de sa clientèle, prêts à pousser notre jeu un cran plus loin.
À l’intérieur, l’atmosphère était glamour, lumières rouges, musique lounge, une tension sexuelle palpable. Gabrielle attirait déjà les regards et je lui ai soufflé : « Vas-y, trouve-toi un mec, éclate-toi. » Elle m’a répondu par un sourire espiègle et s’est avancée sur la piste, roulant des hanches. Deux types ont vite émergé. Julien, un grand brun d’une trentaine d’années, 1m87, chemise bleu nuit entrouverte sur un torse musclé, barbe de trois jours et Marc, un châtain plus fin, 1m83, chemise blanche moulante. Sans hésiter, ces deux inconnus se sont approchés et collés à Gabrielle. Ma chérie me jeta un regard et me fit lire sur ses lèvres avec un clin d’œil : « Ils ont l’air chauds, non ? »
Je m’attendais à ce qu’elle choisisse l’un des deux et non pas qu’elle flirte avec deux hommes. Mais sur la piste, ils l’ont entourée de leurs mains. Julien devant, Marc derrière, leurs corps collés au sien sur un rythme langoureux. Julien a glissé ses mains sur sa taille, frôlant ses fesses, tandis que Marc caressait son dos. Elle riait, joueuse, ses seins pressés contre Julien. Il a murmuré à son oreille, et Marc a effleuré son cou de ses lèvres. Je commençais à sentir la cage me serrer, un peu déstabilisé. Après un moment, elle s’est tournée vers moi, essoufflée : « Grégory, ils proposent d’aller câliner dans une alcôve, tous les deux, du moins tous les deux et moi. Si ça t’excite, j’en ai envie aussi » J’ai cligné des yeux, surpris, une pointe de jalousie m’a traversé, mais son regard pétillant m’a convaincu. J’ai bredouillé « Euh, ouais, si t’es partante… », elle a ri : « T’es trop chou quand t’es pris de court ! Allez, viens ! »
Ils l’ont guidée vers une alcôve isolée meublée d’une grande banquette, avec des rideaux noirs et une lumière rouge, qui offraient une certaine intimité. Je les ai suivis, je restais à l’extérieur, me postant à l’entrée avec une vue parfaite à travers une fente entre les rideaux. C’était parfait pour un voyeur, tout en me donnant l’impression de veiller sur elle. Gabrielle a caressé la clé autour de son cou, me taquinant : « Elle ne bouge pas d’ici, Grégory et reste bien derrière le rideau, je crois qu’on va vivre quelque chose ! » Julien et Marc se sont assis chacun d’un coté de ma chérie sur le lit, le spectacle commençait.
Partie de sexe dans l’alcôve
Julien et Marc ont pris les rênes comme des habitués. Julien a viré sa chemise, dévoilant un torse musclé, des pecs saillants et une ligne de poils noirs filant vers son jean. Marc a suivi, ôtant sa chemise blanche pour révéler un torse fin mais sculpté, une peau légèrement hâlée sous la lumière rouge. Gabrielle se leva et fit face aux deux hommes assis, puis laissa tomber sa robe noire, exposant son corps en string et ses seins généreux. Je me tenais là, à l’entrée, la cage me serrant à chaque battement de cœur, pendant que Julien se leva pour l’embrasser sauvagement, sa langue envahissant sa bouche pulpeuse, et que Marc se plaçait derrière, mordillant son cou. Elle a gémi, me jetant un regard taquin : « T’as vu, Grégory ? Deux pour le prix d’un ! »
Julien l’a poussée sur la banquette de velours, retirant son string, écartant ses cuisses avec ses mains puissantes. Sa barbe râpait sa peau quand il a plongé sa langue dans sa chatte, léchant son clito avec une précision qui la fit gémir en un rien de temps. Marc, à côté, caressait ses seins, les malaxant doucement, pinçant ses tétons jusqu’à ce qu’ils durcissent. Elle s’est cambrée, ses seins tressautant, excitée, ses mots résonnaient dans l’alcôve. « Oh oui, Julien, vas-y ! » a-t-elle crié, en regardant la fente du rideau derrière lesquels j’étais caché.
Julien a continué, aspirant son clito, ses doigts glissant en elle, pendant que Marc suçait un téton, le mordillant légèrement. Elle a joui encore, comme cela, si rapidement, prouvant que d’être offerte à deux hommes, la rendait folle. Je voyais ses cuisses tremblantes autour de la tête de Julien, son plaisir me rendait humide dans ma cage alors que je restais là, impuissant spectateur.
Elle s’est redressée, essoufflée, et a tiré les deux par leurs ceintures avec un sourire joueur. Elle a défait le pantalon de Julien d’abord, et quand sa queue a jailli, énorme, 22 cm, épaisse, veinée, une vraie bête, elle a poussé un cri ravi : « Waouh, Grégory, t’as vu ça ? » Puis elle a ouvert celui de Marc, révélant une verge presque aussi imposante, 20 cm, droite et lisse, prête à baiser ma femme. « Deux surprises pour moi ! » a-t-elle ri, me jetant un regard espiègle alors qu’elle s’agenouillait. Elle a pris Julien en bouche, ses lèvres pulpeuses s’étirant autour de son gland, suçant goulûment pendant que sa main caressait Marc. Elle alternait, passant de l’un à l’autre, sa langue dansant sur leurs veines gonflées, salivant abondamment, des filets humides coulant sur son menton. Julien grognait, ses mains dans ses cheveux, tandis que Marc soupirait, les yeux mi-clos. Elle les a sucés longuement, jusqu’à ce qu’ils la repoussent, prêts à passer à la suite.
Julien l’a allongée sur le dos, en missionnaire, écartant ses jambes, pour se faire un passage. D’un coup puissant, il l’a pénétré, la remplissant jusqu’au bout, pendant que Marc s’agenouillait près de son visage, glissant sa queue dans sa bouche. Elle hurlait, des cris étouffés par le sexe de Marc. Ses seins rebondissant à chaque assaut de Julien, qui malaxait sa poitrine, pinçant ses tétons avec force. Elle a joui rapidement, encore, pendant que Marc gémissait enfoncée dans la bouche de ma femme. Julien a ralenti, giflant ses seins doucement, les faisant onduler, puis a accéléré, ses hanches claquant contre elle.
Sa cadence, son visage et ses grognements virils me faisaient comprendre qu’il allait jouir dans la chatte de mon épouse. C’est exactement ce qu’il se passa, une éjaculation massive, des jets chauds et épais jaillissant en elle, débordant sur la banquette en trainées blanches. Marc suivi le mouvement l’a suivie, se retirant de sa bouche pour éjaculer sur ses seins, des giclées longues et crémeuses recouvrant ses aréoles, quelques gouttes perlant sur son ventre.
Ils l’ont retournée à quatre pattes, Julien derrière et Marc devant. Sans débander, Julien a claqué ses fesses, laissant quelques marques rouges, puis l’a pénétrée sans ménagement, sa queue glissant dans sa chatte trempée de son sperme. Marc a repris sa bouche, ses mains tenant sa tête pendant qu’elle le suçait profondément. Julien la baisait fort, ses seins pendant et oscillant, et Marc malaxait ceux-ci, les giflant plus fort alors qu’elle jouissait de plus belle , ses cris étouffés par la queue dans sa bouche. Ses orifices étaient pris d’assaut, utilisés et Julien jouist une deuxième fois, il remplissait encore ma femme, et cela devait être abondant car je distinguais un filet épais qui coulait et finit sa course sur le velours. « Ça coule partout ! » a-t-elle gloussé. Marc a suivi, éjaculant dans sa bouche, un sperme salé qu’elle avala en partie, laissant le reste couler sur son menton avec un sourire joueur. Telle une petite souris, je regardais la scène tout en restant caché.
Ils semblaient être infatigables car Marc dit que c’était à son tour de la baiser et les deux hommes échangèrent leur place. Marc plaça ma femme en cuillère, une jambe relevée, pendant que Julien s’agenouillait près de sa tête pour se faire sucer. Je sentis un courant électrique et un gonflement dans ma cage quand je pris conscience que ce qui rendait la queue de Julien luisante était un mélange de son jus et de la mouille de Gabrielle.
Marc pétrissait ses seins sans relâche tandis qu’il la baisait profondément. Julien a joui une quatrième fois, ses spasmes remplissant la bouche de me femme que je voyais déglutir. Marc pris un peu plus de temps, mais les nichons de ma femme dans ses mains, il finit par décharger au fond d’elle. Mais femme hurlait un énième orgasme, en sentant encore des pulsations qui lâchaient de la semence en elle. C’est après presque deux heures et de nombreux orgasmes que Julien et Marc se sont rhabillés et ont filé dans la foule avec un salut nonchalant.
Gabrielle, nue sur la banquette, m’a regardé avec un sourire complice. « T’as survécu à l’excitation, Grégory ? Deux, ce n’était pas prévu, mais avoue que t’as kiffé, pour moi c’était dingue ! » m’a-t-elle dit, joueuse, en caressant la clé. Elle s’est relevée, a remis sa robe, et on a quitté le club, encore chargés d’émotions. Je la sentais chancelante et un parfum de sexe et de sperme émanait d’elle.
Dans la voiture, elle m’a lancé un regard taquin : « T’es à cran, n’est-ce pas ? Allez, je te donne un petit bonus. » Son haleine portait l’odeur des pipes de la soirée et cette semence qu’elle avait avalé. Je m’arrêtais sur une aire d’autoroute déserte et Gabrielle sorti la clé, m’a libéré de la cage, et s’est penchée sur moi pour me prendre en bouche. Ses lèvres m’ont sucé avec une douceur espiègle, et je savais que j’étais le troisième homme qu’elle suçait ce soir. Inutile de dire que j’ai jouis en moins d’une minute, un soulagement explosif après des heures d’excitation. Elle a ri, essuyant sa bouche : « T’es trop mignon quand tu ne peux pas te retenir comme ça ! » Puis, avec un clin d’œil, elle me tendit la cage : « Retour à la case départ, mon chéri ! ». Je lui dis que la soirée était finie et que ce n’était pas utile, mais Gabrielle répondit qu’elle avait envie de prolonger ma chasteté. Alors j’enferma mon sexe et lui rendit la clé. Nous avons repris la route, sans rien dire, elle radieuse s’assoupissant dans le fauteuil, moi comblé d’avoir une femme aussi intrépide et salope.
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